ITSAP (Institut Technique et Scientifique de l'Abeille et de la Pollinisation)
- Eric25
- Visitor
du luy wrote: à puyloubier
Aurais tu la gentillesse de me dire si mon calcul est bon concernant une taxe interpro au pot de miel ?
Si nous partons sur un kilo à 10e ttc + éventuellement 0,50 de taxe interpro , soit le kilo est margé à 10,50 soit l'api ne marge pas et perd 0,50 .
Dans le cas ou le kilo est margé , le Ca est augmenté artificiellement de 0,50 x par plusieurs tonnes . Donc dans le nouveau calcul micro BA , l'api se retrouve avec une somme imposable augmentée à cause de cette taxe .
D'autre part , rappele moi , lors de la taxe intermiel , si la taxe était prélevée en amont chez les fournisseurs de pots ?
Dis moi si tu penses comme cela .
Mais non du luy, arrête donc !!!! Tu vois bien que Mr puyloubier cherche des fonds pour financer sont institut..... avec t'on porte monnaie il est capable de faire n'importe quoi. Nous nous sommes fait enfumé une fois avec intermiel, c'est bon !!! ça suffit...
Après il est vrai que lorsque tu sort d'un institut (Cemagref) , il faut vite entré dans un autre, par contre il n'est pas nécessaire de nous embrouiller dans cette nouvelle galère. La profession n'a aucunement besoin de ces suçons
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- du luy
- Visitor
Gilles nous a offert le dernier article de Franck en bas à droite . Pas d'institut , pas d'évaluation des risques pesticides ? Pourtant l'Acta ne le fait elle pas déjà ? Tout compte fait , je me demande si ce ne sont pas les apis qui font les évaluations des risques depuis plusieurs décénies .
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- puyloubier
- Topic Author
- Visitor
0.5 euros pour 10 euros le kilo c'est beaucoup, on parlait de 0.10, mais bon ça ne fait jamais que 5% pas de quoi passer au réel.
et puis une fois l'institut financé, les solutions mises en oeuvre nous permettrons de tel rendements qu'on sera de toute façon tous au réel, voir a l'ISF
t'as raison au Cemagref j'y ait même travaillé 10 ans et je me suis installé apiculteur pour etre libre, de faire ce que je veux, de dire ce que je pense et de faire ce que je dis.
Au passage j'ai doublé mon revenu, et mes heures de travail aussi, et encore je compte pas les heures de bénévolat.
je réponds pas a certaines question car ce n'est pas a moi de le faire mais bien a nous tous (la profession, la filiére, bref les apis) et souvent il vaut mieux se poser les bonnes questions plutôt que donner des réponses a priori.
Intermiel est une expérience du passé, perso je vis dans le présent et me projéte dans l'avenir, mon passé est derrière moi.
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- Eric25
- Visitor
Nous avons tous fait le choix de cette profession pour la liberté, économique, de paroles et d'actions tu le souligne.
Certains Apiculteur, d'autres chef d'entreprise, chacun selon ces ambitions.
Je respecte bien t'on point de vue, mais imposé la charge financière, j'ai du mal.
Tout comme toi je fais partie de cheville ouvrière d'une ADA et je vois les financements différents, c'est peut-être mon point de vue de chef d'entreprise.
Les Apiculteur on besoins de structure plus proche du terrain, autonome et non adossé à certaines structures malheureusement.
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- du luy
- Visitor
Et bien pour nous aussi le passé est derriére , c'est bien pour cela que nous en tenons compte .
Ce que tu sais faire aujourd'hui en apiculture t'a bien été transmis par des apis qui avaient un peu d'anciénneté et pas des adolescents .
Pour l'Itsap , idem , nous en connaissons les dangers . Que fait l'acta dans l'institut et je ne parle pas de la biodiversité . Si le désir profond était de l'améliorer , nous le saurions depuis longtemps .
Perso , je ne doute pas une seule seconde qu'il faille faire quelque chose , mais pas en empruntant le plus mauvais chemin .
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- puyloubier
- Topic Author
- Visitor
Cela n'est pas le plus important, l'important ce sont les faits, pas l'habit. Nos ADAs sont aussi "installées" dans les chambres régionales, ellles n'en sont pas moins indépendantes.
L'important est ce que fait l'ITSAP, pas ce que l'on en dit, pas ce que Intermiel ou l'ITAPI ont fait ou ne pas fait. On ne refait pas le passé.
Alors pour la simple raison que l'ITAPI et Intermiel ont échoué il ne faudrait pas envisagé l'avenir??
Les raisons de ces échecs s'inscrivent dans le passé, mais le contexte, les lieux et les personnes sont différentes, trop peu de choses communes pour prendre "exemple du passé". Il n'y avait ni varroa ni le frelon ni Aethina Thumida, le commerce international n'était pas celui actuel, etc Je ne vais pas vous faire une liste a la Prevert, mais l'école primaire que j'ai connu ma permis d'apprendre a lire écrire compté, alors qu'aujourdh'ui je regarde mes enfants utiliusés des moyens de comunication et des outils qui n'existait pas.
Le monde change, devons nous rester figé dans le passé!?
nous évoluons par contre dans un monde de plus en plus contraint, administré et policé ou souvent le simple bon sens et la convivialité n'ont plus court. Il nous faut les outils pour nous défendre pour faire entendre nos interêts. ce n'est pas seuls avec nos petits moyens que nous nous defendrons. des manips comme le vol de non retour nécessite des moyens techniques, humains et financiers que de simple ADAs ne posséderont jamais. C'est pourquoi il nous faut nous grouper pour etre solidaire et faire ensemble , pas les uns a coté des autres.
Oui je suis d'accord, si l'ITSAP a été batti sur l'ancien CNDA et avait l'ambition de devenir l'institut au service des apis, ce n'est plus tout a fait le cas et il nous faut réagir pour redresser le cap, redonner a notre institut une véritable feuille de route. L'Institut et ses chercheurs doivent etre au service de ceux et celles qui l'ont construit et mis en oeuvre. aujourdh'ui, on me répond que non que ce sont les financeurs qui décident, que les chercheurs sont légitime pour faire valoir et faire reconnaitre leur travaux. Alors c'est un fait, nous l'avons mis en place mais il nous échappe, le CA n'a plus de capacité de décision sur les programmes, n'a plus de capacité d'orienter les travaux ou de demander les actions de transfert pour et vers les apiculteurs.
pourquoi?
Ce sont les financeurs qui décident, les chercheurs et les salariés qui veulent défendre leur travail (et cela ne remet pas en cause ni la qualité ni l'interêt) tout cela est cautionner par le comité apicole!
Dont acte!
Que voulons nous??
un institut capable: nous avons en son sein des personnels compétent et de qualité
Un institut avec des moyens: ce n'est pas le cas, il est dépendant a 100% du bon vouloir des pouvoirs public
un institut a notre service: Ce n'est plus le cas.
Mais cela peut changer, les statuts impose que le CA soit majoritairement tenu par des apis pro
A nous de le financer pour imposer le sens des travaux et imposer leur transfert
Aretons de pleurer sur notre sort et de réclamer des aides et prenons nous en main, comme nous savons le faire chacun dans nos exploitations.
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- du luy
- Visitor
Tu me dis que l'acta ne fait pas partie de l'itsap , par contre elle est dans le conseil d'administration ?
Pour la taxe , éventuellement 0,10 par kilo la premiére année et 0,20 la deuxiéme , et ainsi de suite . Un classique
N'y avait il pas également des taxes prévues sur les aides agrimer ou autres .
Je m'autorise aussi a penser qu'au niveau départemental , les aides pour les laniéres passeront à la trappe dans les années a venir ( financement des associations ) . Donc bidouillages multiples et variés , recul prévisible .
Tu écris " arrétons de pleurer sur notre sort " . Je crois qu'en 43 ans de métier , je n'ai jamais dézingué avec mes abeilles une seule exploitation agricole . Je sais aussi que des apis pensent que les produits phytos ne sont d'aucun danger pour les abeilles .
D'autre part , au regard des 9000 inscrits sur le site , je vois bien que seulement une vingtaine pose des questions pour en savoir plus sur l'itsap . Que peu d'apis ne rechigneront pas à verser des dimes pendant quelques années pour s'aperçevoir ensuite que cette structure ne convenait pas aux besoins réels et urgents .
Ceci dit , merci à toi pour tes réponses parceque les autres " instituteurs " n'ont pas l'air bien courageux .
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- puyloubier
- Topic Author
- Visitor
merci de prendre connaissance de ces informations et de diffuser au plus large
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- equipeITSAP
- Visitor
Vous trouverez dans ce message et en document attaché une lettre ouverte que nous souhaitons vous adresser afin de vous alerter sur la situation de l'ITSAP-Institut de l'Abeille.
Sincèrement,
L'équipe des salariés ITSAP
Avignon, Chizé, Toulouse, Paris
Le 04 Octobre 2017
Lettre ouverte aux acteurs de la filière apicole
Tic-Tac, Tic-Tac, Tic-Tac….
Un compte à rebours a commencé…
A son terme, l’Institut de l’abeille pourrait bien disparaître.
Un décompte ironique à l’issue duquel vous autres, apicultrices et apiculteurs français, commerçants des produits des abeilles, perdrez l’instrument voué à défaire les difficultés d’une apiculture que vous décrivez comme étant toujours plus technique et confrontée à de multiples contraintes environnementales.
Un épilogue sinistre au bout duquel, nous autres, la trentaine de femmes et d’hommes, qui participons à forger les outils d’une apiculture que l’on souhaite plus performante et plus durable, serons privés de nos métiers.
Le ton est grave, il fait écho à une situation qui l’est tout autant. Bien qu’avertis depuis plusieurs mois que l’Institut de l’abeille est au bord du dépôt de bilan, les représentants de notre filière et les décideurs des pouvoirs publics n’ont pas réussi à trouver le compromis permettant de pallier durablement cette situation. A quelques semaines de ce qui pourrait être la fin, nous nous sentons abandonnés par ceux-là mêmes qui nous ont poussés à nous engager dans les multiples projets qui pèsent aujourd’hui sur notre équilibre financier.
C’est pourquoi, nous, salariés de l’institut de l’abeille, avons décidé de réagir en vous adressant directement ce message, vous qui faites partie des nombreux acteurs de notre petite filière. Un message qui dépasse les considérations idéologiques et économiques ou les habituels positionnements d’appareils. Notre message s’inspire simplement de ce qui conduit le travail des techniciens et des ingénieurs des associations régionales de développement apicoles et de l’Institut de l’abeille : la nécessité d’être utile, le besoin d’être efficace et l’obligation d’être sincère. Nous l’adressons à toutes les apicultrices, à tous les apiculteurs et à toutes celles et ceux qui gravitent dans l’univers des abeilles, car nous pensons qu’à travers nos actions en faveur de la formation et l’installation des apiculteurs, au service de la santé et de la protection des abeilles et au profit de la qualité des productions apicoles, nous agissons finalement au bénéfice du plus grand nombre. Notre démarche est simple et transparente : partager avec vous une esquisse de nos métiers, de leurs portées et de leurs exigences, souligner ce qu’ils représentent afin de vous inciter à réagir pour éviter que l’Institut de l’abeille ne disparaisse en silence.
Si l’apiculture est incontestablement pratiquée par des gens passionnés, il est tout autant incontestable que les métiers de techniciens et d’ingénieurs apicoles appellent eux aussi à la passion. Mais une passion raisonnée par les garde-fous des sciences qui encadrent les activités de recherche et de développement d’un institut technique responsable et crédible. Car notre vocation n’est pas d’imaginer des gadgets ou d’apporter un simple point de vue personnel. Notre responsabilité est de concevoir des outils durables, fiables et adaptés et de fonder des informations claires et objectives. Des outils et des informations sur lesquels ceux qui pratiquent l’apiculture, ceux qui orientent les recherches et les politiques publiques et ceux qui élaborent la réglementation peuvent s’appuyer pour mieux décider et mieux agir. Nous sommes conscients de cette responsabilité, nous supportons son poids tous les jours car le colossal enjeu de notre travail en vaut la peine : contribuer au redressement d’une filière apicole en difficulté.
Pour répondre à cet enjeu nous sommes vigilants à ce que nos travaux répondent aux questions qui s’expriment depuis les exploitations apicoles et à ce qu’ils s’inscrivent dans les dernières avancées scientifiques et techniques. Nous mettons nos compétences et notre motivation dans la recherche de financements, qui sont principalement publics, afin de pouvoir les concrétiser. Et nos efforts sont régulièrement récompensés puisque chaque année, nous sommes lauréats de projets qui nous permettent de travailler sur des problématiques aussi complexes que pressantes.
L’objectif de ces travaux ?
- Protéger les abeilles en diminuant l’influence des facteurs de stress que sont l’exposition aux pesticides, la diminution des ressources alimentaires et de leur diversité, les parasites et prédateurs et plus particulièrement la prolifération du frelon asiatique, ou la menace de l’arrivée d’Aethina tumida.
- Participer à la progression de vos performances en perfectionnant les techniques d’élevage et de sélection, les moyens de diagnostic et de lutte contre Varroa et en produisant des références technico-économiques visant à améliorer les outils de formation et à faciliter les installations.
La diversité des situations et des problèmes rencontrés sur les ruchers et dans les exploitations entraîne une multitude de questions sur lesquelles nous devons travailler simultanément. Une partie de ce travail est faite dans la lumière, sur le terrain, grâce à plusieurs d’entre vous et en collaboration avec des dizaines d’acteurs de la recherche et du développement apicole et agricole. Il s’agit d’expérimentations, d’études, ou d’enquêtes au travers desquelles nous essayons de décrire et d’expliquer vos problèmes et de leur trouver des solutions. Ce travail requiert toujours de l’inventivité, de la minutie et de la persévérance. Et comme dans tout autre secteur de la recherche, il n’offre jamais la garantie que les efforts consentis aboutissent à des progrès perceptibles ou rapidement utilisables. Les moments passés avec certains d’entre vous sur les ruchers ou dans les exploitations sont aussi l’occasion de vous découvrir dans vos activités, d’écouter vos témoignages et de remarquer vos innovations. Ils nous permettent finalement de mieux s’imprégner de vos difficultés et de leurs conséquences.
L’autre partie de notre travail est moins visible, elle est passée devant nos ordinateurs et à nos téléphones, dans les salles des ministères, d’agences et d’instances nationales ou internationales. Dans ces lieux, où se réunissent des groupes de travail, des commissions, des comités de pilotage ou d’orientation, notre travail est d’argumenter de façon crédible et convaincante afin d’orienter les prises de décision en direction de mesures et de dispositifs favorables aux abeilles et aux apiculteurs. Ce sont des moments où il faut être attentif, combatif et inspiré pour être entendu et faire valoir vos intérêts sur un plan technique et scientifique. Et lorsque les discussions se durcissent et que nous sommes personnellement interpellés, il nous arrive parfois d’avoir le sentiment de monter au front pour défendre une activité dont une partie des bénéficiaires nous a pourtant reniée.
Après bientôt 10 ans d’existence, nous avons enregistré des succès et essuyé des revers. Nous sommes autant fiers du travail réalisé avec nos partenaires que lucides face à l’ampleur de la tâche qui reste à accomplir. Depuis la création de l’Institut nous avons contribué à la construction d’une structure reconnue, intégrée dans le réseau des acteurs européens du développement apicole et sommes arrivés à former une équipe unie, complémentaire et toujours motivée. Mais nous savons aussi qu’en dépit de cela, nos travaux n’ont pas toujours su ou pu apporter les réponses à vos questions et sommes conscients qu’il y ait pu avoir des déçus. Nous sommes aussi conscients que notre stratégie nécessite, plus que jamais, d’être ajustée afin qu’elle s’adapte aux évolutions de l’Institut et lui permette de mieux concrétiser ses actions et d’améliorer sa communication.
Aujourd’hui, tous nos efforts ne doivent pas être réduits à néant parce que quelques-uns n’auront pas réussi à s’entendre. Nous, l’équipe des salariés de l’Institut de l’abeille, ne voulons pas devenir l’avorton d’une expérience qui aurait mal tourné ! Que deviendront les travaux accomplis, les connaissances acquises, les compétences développées ? Que deviendront les attentes de ceux qui comptent sur nous ? Qui produira les arguments scientifiques et techniques dont a besoin notre filière pour faire évoluer les politiques agricoles ? Qu’adviendra-t-il, aux yeux des décideurs et des consommateurs, de la crédibilité d’une filière affaiblie qui aura laissé disparaître son institut technique ?
En vous adressant ce message d’alerte, nous nous en remettons à vous tous, les apicultrices et apiculteurs, de loisir et professionnels, sédentaires et transhumants, au forfait et au réel, en conventionnel et biologique, syndiqués et non syndiqués, pro-buckfast et anti-buckfast, favorables et réticents aux IGP, détaillants et grossistes, à tous les acteurs de la filière apicole de France métropolitaine et ultra-marine, pour essayer d’éteindre la mèche qui brûle et raccourcit de jour en jour.
Si vous estimez que l’instrument voué à développer l’apiculture française et les métiers de ceux qui l’animent doivent d’être sauvés, diffusez ce message, manifestez votre soutien et agissez en notre faveur en :
- Signant la pétition « l’institut de l’abeille en voie de disparition » : chn.ge/2xtgmZT
- Interpelant les pouvoirs publics et les représentants locaux et nationaux de la filière apicole
- Participant financièrement à la création d’un fonds de roulement : cpc.cx/kga
Les informations concernant nos actions sont accessibles au lien suivant : dev-itsap-en-peril.pantheonsite.io/
Nous espérons continuer à travailler à vos côtés pour progresser vers l’apiculture de demain.
Sincèrement,
Les salariés de l’ITSAP
ALLIER Fabrice, AULANIER Félicie, AZZOPARDI Myriam, BASSO Benjamin, BELLANGER Solène, BERI Constance, CARRERA Edda, CHAUMONT Thibault, DANGLEANT Alexandre, DELAMOTTE Albéric, FERRUS Cécile, FERT Paul, FOURRIER Julie, GAILLARD Céline, GOURRAT Marine, GUIRAO Anne-Laure, KIM Delphine, KOUCHNER Coline, LAMY Pierre, LOPERS Loïc, POINTEAU Sophie, RICARD Fabien, SERARD Philippe, SUDAN Antoine, URRUTIA Virginie, VALLON Julien, VIALLOUX Fabien, VIDAU Cyril
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- gfass
- Visitor
Bienvenue sur le forum le plus visité de notre beau pays voire de l'Europe entière et même au-delà.
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- gfass
- Visitor
C'est ici.
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- equipeITSAP
- Visitor
Notre post sur le forum d’Apiservices n’a pas pour objectif l’ouverture d’une « messagerie » par laquelle nous pourrions répondre à chacune des nombreuses questions que se posent les apiculteurs.
Bien que votre initiative soit estimable et intéressante, notre organisation actuelle ne prévoit cependant ni les moyens humains, ni la disponibilité qu’il faudrait pour apporter des réponses complètes et correctement argumentées aux innombrables questions postées sur les forums dédiés à l’apiculture.
En revanche, nous avons l’habitude de répondre à toutes les questions qui nous sont adressées, soit par téléphone soit via le site internet de l’ITSAP ( itsap.asso.fr/contacts-2/ ).
Notre message a simplement pour objectif d’informer le plus grand nombre sur la situation de l’institut de l’abeille.
Nous vous remercions pour votre compréhension.
Sincèrement
L’équipe de l’ITSAP
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- Eric25
- Visitor
C'est bien votre problème depuis le début, fallait réagir plus tôt, bon nombres ne vous soutiennent plus, il est bien trop tard malheureusement.
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- ardecho
- Visitor
comme vous beaucoup d'api ne sont pas loin du chômage, on pourra parler abeille au pôle-emploi
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- puyloubier
- Topic Author
- Visitor
Bien sur qu'il est encore temps d'agir, encore faut il le vouloir!
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- du luy
- Visitor
Des cires polluées, des cultures traitées en masse , des miels aromatisés aux pesticides avec des syndicats qui demandent encore à leurs adhérents ce qu'il faudrait faire pour s'en sortir !
Des audits ,des camemberts de résultats d'analyses , tout ceci est ridicule . Le vrai besoin des apis est de ne pas voir dézinguer leur travail en quelques jours.
Pour moi ce qui est affligeant , c'est plutôt de se demander encore à ce jour la raison pour laquelle nous en sommes là et certainement pas les propos des deux apis qui eux travaillent durement pour vivre de ce métier.
Alors évidemment les gens rémunérés qui sont dans des bureaux pour faire d'interminables constats , ça irrite un peu .
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- Eric25
- Visitor
Je vois que l'air de la campagne ardéchoise te fais le plus grand bien.
Mr puyloubier,oui il est encore temps d'agir, mais nous n'avons plus envie.
Les contributions pour 2018 font parties des budgets, 2019 c'est beaucoup moins sur, faudrait vraiment un revirement de situation.
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- puyloubier
- Topic Author
- Visitor
de tirer sur l'ambulance, bravo!
pour ce qui est de bosser dur, personne ne dit le contraire, cela n'interdit pas de dire des sotises.
L'Institut existe, les compétences sont là, ce qu'il faut améliorer, ce sont les sujets de recherche et la transmission aux exploitations, mais comme je vous l'ais déja dit ce sont les financeurs qui décident et qui choisisssent, quand les apiculteurs metront enfin la main au porte monnaie aliors ils pourront choisirs les sujets de recherche et demander justement des aplications pratiques.350 euros par apiculteurs et pas an serait génial pour financer ce boulot ce n'est que le prix que l'on paye pour un emplacement de ruches,voir trois plein de gasoil. Et si l'on tient compte de la déduction fiscal 350 euros donnés ne vous coute finalement que 100 euros. Alors il ne s'agit pas de moyens mais d'envie! envie de donner et envie de s'y investir pour que ca bouge!
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- ardecho
- Visitor
www.leparisien.fr/economie/un-agriculteur-sur-trois-gagne-moins-de-354-euros-par-mois-12-10-2016-6197463.php
surtout pour nous...
si on tiraient vraiment des avantages du boulot de l'Itsap, il n'y aura même pas besoin de demander, on cotiserait de nous même, les gens payent quand ils retirent
quelque-chose en échange, c'est comme ça que ça fonctionne normalement.
tu peux pas dire aux gens filer nous des sous pour qu'on puisse continuer de bosser.
moi j'ai fait 8kg/ruche en 2017 avec cette p..... de sécheresse, qui c'est qui va me donner du blé pour que je continu ? l'état ? tes copains ?
pourtant mes ruches sont utiles, elles pollinisent la forêt et les fruitiers de tout un tas de producteurs locaux. et alors ???
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- Eric25
- Visitor
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- puyloubier
- Topic Author
- Visitor
je viens de vous expliquez que compte tenu de l'avoir fiscal donner 350 euros ne vous coûte que 100 euros, Quand au bénéfices du travail des salariés de l'ITSAP, il suffit d'aller sur le site et de lire ou d'y participer, je ne citerais que le" vol de non retour" pour exemple et vous laisse découvrir les autres. mais bien sur je suis d'accord il y a aussi des travaux dignes de désinterêts, voir peut être inutiles. Mais comme pour l'instant on ne finance rien! que peut on dire?
bref on peut aussi proposer 1 euros par ruches, qu'est ce que c'est 1 euros par ruche???, même 50 cent suffiraient
je vous laisse bien sur trouver tout les arguments qui s'y oppose je vois que vous êtes prolixe dans ce domaine
pour ce qui est de passer des annonces pour acheter du miel, il s'agit de commerce, certains ont du miel et d'autres des clients, entre les deux il y a un échanges qui s'apelle du commerce. Et puisque je suis gérant aussi d'une entreprise de commerce je peux acheter et revendre du miel, comme d'autres. Le miel que je produit sur mon exploitation je le vends comme le mien car je suis aussi exploitant. et produit du miel de mes ruches en travaillant ,n'est ce pas Eric 25.
allez passez un bon dimanche et soutenez la cause, essayer de construire de proposer plutôt que critiquer. Vous verrez ca fait du bien d'etre dans le positif! de se projeter,et d'agir plutôt que se plaindre.
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- Apinoires
- Visitor
Oui ça paraît simple comme tu nous le dis, sauf que comme le souligne ardecho la filière sollicité n'à pas forcément les moyens et surtout pour une dépense qui ne lui paraît pas une priorité ?
Et tu sais tout aussi bien que moi que l'apiculture va mal ou pas bien du tout, !
L'adapi risque d'en tirer la leçon et va connaître en liaison les mêmes soucis si les caisses sont vides et le demeurent, mais à qui la faute, pas à nous tout de même ???
à l'Adapi on cotise et en plus nous payons nos labels et étiquettes, mais pour l'ITSAP, c'est bien beau de vouloir tout azimut tout régenter, mais comme disait les anciens "quand on n'a pas les moyens on se fait discret" !!
Si tu souhaites mon propre avis et pour comparer ce qui est comparable, en étant producteur et éleveur, le boulot ne manque pas et moi aussi j'aurais besoin d'un bon élément pour seconder mon fils et occuper de plus en plus ce que je ne pourrais plus ou de moins en moins faire, là j'arrive d'un bon break et depuis que rentré, je ne sais plus quel jour nous sommes ?
tu penses sérieusement que si je demandais à mon tour dans deux ou trois ans, une aide pour comment payer la MSA pour un salarié supplémentaire si je n'y parvenais pas, ça sera entendu ?,
Alors que peut être et plus probablement, il me sera répondu que les erreurs de gestions ne sont pas forcément à partager collectivement ?
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- puyloubier
- Topic Author
- Visitor
L'ITSAP ni l'ADAPI ne sont des entreprises et ne sont pas gérer comme telle, comme tu as pus le lire dans les explications données par les salariés dans leur blog, l'itsap fonctionne en répondant a des appels a projet financés par des fonds publics, et l'ADAPI fonctionne aussi par des subventions publique (essentielement régionale) et un peu de cotisations. Et justement c'est le décalage entre le besoin des fonds pour travailler et le moment ou on touche les ubventions qui pose probléme, l'erreur de gestion (si on peut résumer ainsi) vient de cette difficulté d'avoir a réaliser le travil que l'on te demande de faire avant même de toucher l'argent qui te permet de la faire. Pour ton exploitation quand tu as démarrer tu avais soit un peu d'argent de coté soit tu as emprunté, et tu as progressé en faisant du bénéfices. pour l'ITSAP et l'ADAPI ce n'est pas comparable car on ne fait pas de bénéfices sur les projets, il faut justifier de toutes les dépenses pour toucher les subventions et faire des éconimies de dépenses sur un projet ne permet pas de dégager de marges, on 'n'est pas dans un systéme économique, mais dans le cadre de contrats, et ces contrats prévoit une part d'autofinancement qu'il est bien difficile de réunir.
Pour l'ADAPI, les apiculteurs peuvent devenir adhérent en ne payant qu'une cotisation symbolique a une structure (de l'ordre de 50 euros) ce qui est plus que symbolique. Pour les étiquettes c'est une autre chose, c'est une redevance pour labelisé ton miel et cxela est trés rentable économiquement, un miel de lavande IGP Label rouge se négocie entre 9.5 et 10 euros alors qu'un miel de lavande de france se y trouve a 7.00 euros sur le marché de gros. Cotisé a l'IGP et acheté les étiquettes est plus que rentable économiquement cela est indéniable, et pourtant ce service est encore loin d'etre économiquement équilibré il nécessite encore l'aide de subventions publique pour etre équilibré; Vous trouvez cela normal??
donc pour revenir a nos histoires, la situation de l'ITSAP n'est une "erreur de gestion" mais provient d'un manque de trésorerie initiale qui ne permet pas d'assurer l'avance des fonds, et aussi un manque de ressources propres (de cotisations) L'etat passe des commandes a l'ITSAP mais ne lui donne pas les moyens de fonctionner; Les apiculteurs critiquent l'ITSAP en disant qu'il ne réponds pas a leurs attentes mais ils ne veulent pas cotiser.
Aujourdh'ui, il y a une équipe de salariés compétentes qui a construit un réseau de travail et établi des liens avec beaucoup d'autres équipes et qui est menacé. Je crois que l'on a rien a gagné a la laissé couler mais beaucoup a perdre et que avec peu d'investissement individuel on peut reprendre la barre et influer sur les programmes a venir. Encore faut il le vouloir et s'en donner les moyens.
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- ardecho
- Visitor
plus sérieusement on tourne un peu en rond : tu prend l'exemple du non retour de vol, oui c'est super mais c'est quoi notre problème ?
ce sont les pesticides. est-ce que l'Itsap peut empêcher les épandages ? cet exemple est assez symptomatique !
et je vais te dire ce que je pense de ton problème de financement :
en effet on pourrait donner 1€ par ruche, c'est pas la mort et si ça peut nous donner des études sérieuses à brandir face aux lobbies (même si c'est peine perdue je pense mais bon...)
mais là où je trouve que ça ne va pas c'est que la santé et le maintient des abeilles ne concerne pas que las apiculteurs, bien loin de là !
ça concerne tout le monde vu que sans abeilles pas de pollinisation et donc rendements agricoles en chute libre, milieux naturels, forêts, landes, garrigues, prairies foutus, tout un tas d'aliments qui disparaissent, écosystèmes par terre et j'en passe...
quand mes voisins récoltent des chataignes, des cerises ou des pommes, ceuillent des mûres pour faire des confitures c'est à mes abeilles et celles de mes collègues qu'ils le doivent, alors pourquoi ils ne cotiseraient pas eux aussi ?
donc c'est d'intéret public que de travailler sur l'abeille donc c'est à l'état (les contribuables) de payer !
moi je fait déjà ma part du boulot, j'agis comme tu dis, vu que je me casse le c.. depuis des années (comme toi et bien d'autres) pour maintenir un cheptel d'abeilles avec toutes les contraintes que cela impose.
quand je vais bosser aux ruches pendant les ponts du mois de mai et que je sent l'odeur des barbecue en passant, je me dit que ouais moi je fais ma part du boulot et ceux qui boivent une bière devant leurs saucisses pendant que les abeilles bossent gratos dans leurs fruitiers, ils peuvent bien donner 1€ de plus aux impôts pour financer l'Itsap, non ?
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- du luy
- Visitor
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- happy.bee
- Visitor
Dans institut technique ,il y a technique ,cette même technique qui détruit le monde par soucis de productivité et de richesses.
Quelle dilemme vouloir réparer avec le même outil, que celui qui casse, ce qui a la base fonctionnait ( sans outil) .
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- puyloubier
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pour le service de pollinisation des abeilles, il y a les MAEC qui prévoit que l'apiculteur qui s'engage dans la démarche puisse effectivement toucher une aide européenne pour ce travail rendu a la collectivité, ce n'est pas rien 20 euros par ruches engagée plafonnée a 7500 euros par exploitation et par an; c'est vrai que depuis 3 ans cet argent est bloqué par l'europe, mais on finira bien par la touchée cette aide.
pour ce qui est du travail des abeilles il faut se méfier de ce discours car désormais dans de nombreux parcs nationaux et conservatoires il faut se battre pour conserver nos emplacements, les écolos veulent virer les ruches qui feraient concurrence aux pollinisateurs sauvages!!!! En clair pas besoin des abeilles domestiques.
Notre problème pour nos abeilles vient essentiellement de la dégradation de notre environnement (arrivée de parasites, pesticides, sécheresses, pertes de ressources) beaucoup de ces problémes ne sont pas de la responsabilités des apiculteurs (même si on participe aussi au bordel général) ni de leur ressort pour en sortir (passé au bio en api ne réduit pas les pesticides épendus)
Mais nous sommes les premiers concernés et les premiers impactés. en ce qui me concerne quand j'ai un probléme, exemple d'un riverain qui me demande d'enlever les ruches a cause de sa piscine ou de ses chevaux, je n'attends pas que la légilslation lui impose de respecter mes ruches et d'accepter la petite gêne , voir de mettre un abreuvoir dédié pour mes ruches, je vais le voir et je discute, certains mette des abreuvoir, certain menace mais dans ce cas je sort l'argumentaire juridique, d'autres guelent mais finissent par laisser tomber. Bref je me prends en main et n'attends pas que les autres le fasse pour moi.
Le conservatoire du littoral voulait enlever les ruches de son territoire, nous sommes allés les voir nous avons étudier ensemble pendant trois ans la question, avons établi une relation de confiance et de compréhenssion, et conserver nos emplacements.
il ne faut pas attendre que les autres résolvent nos problémes, c'est a nous de le faire. pour ce qui est de la réduction des pesticides voit ce que l'affaire du roundup génére comme réaction, pourtant c'esst bien suite aux multiples études et constats qu'on en est arrivés là. L'etude sur le vol de non retour est aussi un bon exemple puisque les critéres d'homologation des pesticides sont actuellement réétudier pour prendre en compte cet aspect. ce n'est pas encore fait hélas cela prends du temps, mais vous ne le savez pas c'est la même équipe de l'ITSAP qui travaille sur ce sujet et fait avancer cette cause. leur défaut c'est de ne pas assez communiquer, le défaut des revues apicoles est de ne pas assez valoriser le travail de l'ITSAP.
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- du luy
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Si tu regardes la chute permanente des récoltes , tu comprendras aisément qu'à ce rythme là , le point de non retour va vite être atteint .
Alors une taxe supplémentaire ne serait pas la bienvenue , les apis en ont ras le bol .
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- puyloubier
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quand on n'a plus d'argument, on cherche a décrédibiliser son interlocuteur, peut etre que toi aussi cher retraité tu es loin des préocupations des actifs et des jeunes qui s'installent??
Tu vois sur ce terrain on peut jouer au ping-pong longtemps.
Un peu de sérieux, la question n'est pas le niveau de cotisation mais bien l'envie.
qui a mis en place les IGP et signes de qualité?
Qui a négocié les MAE?
pour ces seuls 2 points les apiculteurs pros retire largement bénéfice de leur cotisation a nos structures syndicales associatives ou technique. Financer une ADA ou un Institut ne se mesure pas en bénéfices direct mais c'est sur le long terme que l'on prendra conscience du travail et de l'amélioration que cela apporte sur nos exploitations. Une entreprise qui n'investit qui ne se modernise pas qui ne se projéte pas est vouée a l'échec, c'est valable aussi pour nos exploitation, on le voit on est en concurence avec les miels etrangers et les conditionneurs nationaux ne nous font pas de cadeaux.Qui va travailler pour comprendre les troubles des abeilles, chercher des solutions techniques (comme pour le piegeage du frelon, par exemple) si ce n'est un Institut scientifique et technique. et il faut le financer. Si les apiculteurs le finance; ils le gouverneront; si non on pourra stoujours continuer a pleurer et critiquer le boulot fait et financer par d'autres.
Bien sur chez moi de nombreuses exploit sont a l'agonie, des jeunes cherchent un deuxiéme boulot l'hiver, mais ils continue de cotiser de se former et de s'informer pour avancer; Ce n'est pas en restant seul dans son coin face aux difficultés que l'on avance. Les apiculteurs doivent enfin etre solidaires et actifs ensemble. Il ne suffit pas de financer, il faut aussi participer aux expés, mettre ses ruches a disposition, venir aux réunions, s'investir dans les CA, donner son avis ailleurs que seulement sur les forums du Net. m^me si cela peut faire avancer les idées.
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- du luy
- Visitor
Pas de chance ,4 fils apiculteurs et je suis encore bien dedans , crois moi .
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