Analyser les miels
- samdu47
- Visitor
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- ian
- Visitor
La multiplication des analyses ne va pas faire monter les prix mais au contraire les faire chuter.
Lorsqu'un marché deviens important, de nombreux acteurs s'y interressent , et cela crée de la concurence entre labos d'ou baisse des prix
En vigne bio, des analyses de feuilles annuelles sont obligatoires par parcelles : les prix d'analyse ont chuté de ce fait. c'est devenu une routine et ca permet de bien mieux appréhender les éventuelles pollutions externes.
Mais attention aux artefacts des analyses: on a un pb en ce moment car ils nous trouvent une substance qui se révèle etre à la fois une molécule de dégradation d'un fongicide de synthèse ET une molécule naturelle produite par la feuille de vigne.....
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- beaujojo
- Visitor
Morgan, je suis bien d'accord avec toi, la qualité se doit d'être toujours meilleure et c'est ce que toute production agricole devrait se dire aujourd'hui. Je trouve que la tendance, quoi qu'on en dise, va vers ce fonctionnement en général même si c'est un peu lent.
Malgré tout, je trouve que le raisonnement est pervers. Mettre des normes et de la traçabilité partout, c'est faire exactement ce qui fait qu'aujourd'hui, on ne trouve plus que des multinationales qui participent d'ailleurs maintenant elles-mêmes à la rédaction des normes avec leurs experts.
A titre d'exemple que j'ai connu, la normalisation de la traçabilité et de l'étiquetage pour les engrais est réalisée avec des experts d'énormes structures, parce que ce sont les seules à pouvoir se payer un expert en réglementation à temps plein qui peut venir participer aux réunions à la Défense. Du coup, même sans le vouloir, certaines normes qui se voulaient faire évoluer les choses dans le bon sens, alourdissent considérablement les démarches et favorisent au final la monoculture de grosses firmes aux moyens conséquents ou devrais-je dire "monostructures". J'ai bien peur que ce genre de raisonnement plombe un peu plus l'apiculture à l'avenir et tendra à faire les mêmes erreurs que l'agriculture autrefois. Il est malheureusement très facile de construire des usines à gaz quand on veut faire de la qualité/traçabilité...
Alors oui, c'est très bien de vouloir monter en qualité mais je pense effectivement que pour ça que ça ne devienne pas malsain, il faudrait revenir vers un mot qu'on va bientôt enlever du dictionnaire : la confiance. Je ne pense pas, ne souhaite pas penser que le futur de l'apiculture se trouve dans les grosses structures de milliers de ruches ... ce serait triste pour la filière de faire les mêmes erreurs que dans les autres.
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- Risson
- Visitor
il faudrait revenir vers un mot qu'on va bientôt enlever du dictionnaire : la confiance
on peut supposer qu'un jour la confiance soit finalement réservée au petit api du coin qui a 5 à 10 ruches au fond du jardin ... ?
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- babillou
- Visitor
la discussion est surprenante
le dernier message traitant de la confiance me parait assez pertinent
je ne suis pas expert mais pour les professionnels qui vendent sur le marché, ne faudrait-il pas, au lieu d'un miel de "cépage", qu'ils s'orientent vers un miel de terroir qui forcément d'une année à l'autre est différent.
et là il y a matière à expliquer, à discuter, à échanger avec des clients, de la couleur, du goût, de la texture, voir même de la race de l'abeille qui a produit, de la maturation, de l'opercule gage de miel mûr, du lieu de production,... inutile de faire des analyses
pour ceux qui vendent en vrac, comme dans bien d'autres domaines, c'est les intermédiaires et le revendeur qui fera le prix, la marge, et vendra un miel d'assemblage à la qualité d'analyse irréprochable
irréprochable en effet,il faut gouter par curiosité le Lu..e de M..l dont il se fait tant de réclame, pour se rendre compte du miel analysé qui se vend en GS
bien loin d'un miel de terroir
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- cerise11
- Visitor
appel d une dame agée qui a acheté un pot de mon miel chez une revendeuse ..
elle m a fait jurer " sur la tete de mes enfants " que c etait bien du miel francais comme c était marqué sur l etiquette !!!
Incroyable ca ne m etait jamais arrivé !!
j avais deja eu droit au miel cristallisé qui etait peri ou auquel j avais rajouté du sucre .. mais celle la jamais !!
plus besoin d analyses !! suffit de jurer !!!
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- dom25
- Visitor
A écouter Étienne Bruneau lequel est en charge de la Commission Technologie et Qualité d'Apimondia :
reporterre.net/Pourquoi-est-il-difficile-de-detecter-les-fraudes-dans-le-miel
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- gfass
- Visitor
reporterre.net/Le-faux-miel-envahit-les-rayons-des-supermarches
D'où l'intérêt pour nous de mettre le petit drapeau bleu blanc rouge sur vos pots et de dire au plus grand nombre que quand le petit drapeau n'est pas là..... c'est bien souvent du miel chinois.
L'article dit que le faux miel envahit les rayons des supermarchés .....alors vite il faut se dépêcher d'offrir à la clientèle "un vrai miel français, 100% pur et naturel".
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- Apinoires
- Visitor
Et c'est pour cette raison que Mimiche à réagit aussi directement en dénonçant via médias interposés que + de 30 % des miels Français seraient aussi concernés !!
en fait la réponse afin que ainsi informé, pour le consommateur, si tous les miels sont concernés, dans le doute autant prendre le moins cher ?
Sauf que le problème (je crois) est que ceci auras permis d'autoriser de préciser le fameux: 100% naturel, ce qui va lui revenir rapidement dans la figure, puisque non seulement cette catégorie représente largement la majorité des miels produits en France, mais que désormais mieux informés par ce problème et désireux d'être dans les clous, par plus d'attention sur leurs pratiques, les apis présentant une qualité parfaite, seront de plus en plus nombreux !!
Et si il reste 10 ou 20% d'incorrigibles aux stimulations abusives (juste avant miellées) ou nourrisements pendant les fameux trous de miellée, tant pis pour eux, mais l'important est bien que sur les rayons des GMS, les consommateurs vigilants et informés puissent se rendre compte que le 100% (et Français), existe bien, (quoi qu'il puisse se dire) et est amplement représenté !!
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- blaireaudesbois
- Visitor
Mais on va voir rapidement que les adultérations, en définitive, c'est peanuts, car dés la saison prochaine ceux qui ont l'intention de vendre en fut au commerce éviteront de le dénaturer.
Par contre, le paramétrage des machines pour les produits chimiques présents dans le miel, pesticides agricoles et produits de traitement, continue. Famille M dispose de 100 000 analyses dans ses archives pour mener ce travail à bien. Et là, ça va mettre la porte trés basse pour vendre son miel. Car contrairement à l'adultération qui est un acte volontaire de l'api, nous sommes désemparés par rapport à la pollution agricole et par rapport au fléau des traitements du varroa.
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- ian
- Visitor
On pourrait retrouver du boscalid dans le miel par exemple ? ( fongicide floraison colza)
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- du luy
- Visitor
Diantre . Je sais cela fait 18éme , j'en profite avant qu'il disparaisse du dictionnaire ( ici dans le sens d'étonnement ).
Tu écris " le sirop ajouté dans l'extracteur ". Je fais de l'apiculture depuis 1974 , je n'ai jamais entendu parler de cela . Alors , soit tu l'as vu faire , soit tu l'as lu , soit tu le supposes .
Comme je l'ai précisé dans un autre sujet , je ne connais pas tout et j'aimerai si tu as un lien que tu nous le communiques .
Que des apis mettent un peu trop de provisions dans les ruches , est plus que probable , mais mettre du sirop dans l'extracteur est un scoop pour moi .
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- Apinoires
- Visitor
Ce qui est bien évidemment une éducation (récente) à refaire, pour ceux qui auraient pu la recevoir et croire ou comprendre qu'une colonie d'abeilles doit être nourrie exactement comme des canaris ou des pigeons pour ne pas mourir de faim, ce qui est bien évidemment complètement faux, sauf pour des colonies installées dans des zones déshéritées ou en trop grand nombre sur une zone à ressources limitées ?
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- gfass
- Visitor
En revanche son dernier paragraphe colle à plusieurs observations ou prédictions partagées plus avant. Il est vraisemblable que sous la pression des consommateurs, aidée par certains négociants, les contrôles vont devenir de plus en plus pointus.
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- ardecho
- Visitor
ils préconisaient tous deux des nourrissements au début du printemps et en hiver avec grosses plaques de candy maison de 3 ou 4kg pour tout le monde !
ils appelaient ça "lancer les colonies". ensuite on prend des cadres de couvain pour faire des essaims (attention essaimage !) et ces EA étaient nourris à leur tour (pour que ça aille plus vite).
je pense qu'ils se fichaient des éventuels remontées de sucre, ce dont ils avaient besoin c'était de récoltes vraiment énormes car les prix du miel étaient très bas.
d'ailleurs il y en a un qui allait chercher son sucre direct à l'usine parce que sinon ça coutait trop cher par rapport au prix du miel...
et puis ils mettaient de la tétracycline en cas de loque européenne
autres temps, autres moeurs...
ok pour les analyses mais le problème c'est en cas de printemps vraiment pourri (comme en 2016 et 2017) comment fait-on pour avoir des colonies en état de récolter en Juin/Juillet sans nourrir ? parce que quand les fruitiers, aubépines, acacia donnent zéro avec le vent froid et les gelées tardives, qu'est ce qu'on fait ? on les regarde crever de faim ?
surtout pour ceux qui ont une autre activité et qui n'ont ni le temps ni le matos ni les emplacements pour transhumer loin de chez eux...
sans parler des risques de vols à laisser ses ruches dans des coins qu'on connait pas bien dans un autre département
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- Apinoires
- Visitor
En exemple je peux te garantir en avoir constaté et reçu tout autre et surtout que majoritairement, pour la génération qui nous a précédé les nourrissements n'étaient pas souvent une préoccupation, mais plutôt à mettre au compte de l'apiculture "moderne" !!
je crois même pouvoir te dire au contraire que majoritairement en Provence (et même ailleurs), les colonies étaient récoltées (récurées) jusqu'à la moelle en fin de saison, et qu'en conséquence il leur incombaient de se débrouiller à refaire les réserves nécessaires pour pouvoir hiverner, mon oncle m'avait d'ailleurs très souvent dit, qu'il aura fallut les hivers des années 50 et surtout 1956, pour que certains réalisent enfin du besoin impératif de veiller à laisser aux colonies un minimum suffisant, même si à l'époque la nature était bien plus généreuse !! :woohoo:
pour ma part et pour ce qui m'a été enseigné à mes débuts, (sans nourrissements) pendant très longtemps ce fut limité à un contrôle strict en cours d'automne et qui se limitait à éliminer les colonies à reprise "poussives", (reines âgées ou décadentes) ce qui permettait au passage de disposer à chaque fois de quelques cadres bien utiles pour les redistribuer et favoriser l'hivernage à d'autres et ainsi réorganisé, ceci permettait à cette époque (sans varroase) de limiter les pertes à des niveaux presque nuls, certes bien aidé par une riche biodiversité et une pollution quasi nulle, je te l'accorde !!
Par contre, dès la reprise de la nouvelle année amorcée et dès que les températures le permettaient, pour les caisses les plus entreprenantes, (à destination être divisées), ces colonies une fois repérées, étaient déplacées sur les Amandiers et recevaient un nourrissement léger "au miel dilué" des cadres de miels pouvaient également être partiellement désoperculés, ce qui se poursuivait de la même manière ensuite sur les nouveaux essaims, si tout ceci semble remonter à mathusalem, ce n'est finalement pas si vieux et si j'ai moi même évolué dans ce registre pour ma partie élevage par des nourrissements "modernes" plus pratiques et bien moins chers, si on se retrouve en besoin impératif de nourrir en saison, on peut tout de même s'inspirer de certaines "vielles pratiques" qui par contre assureront toujours aucune adultérations ??
Mais c'est vrai, j'oubliais que toutes les bonnes rédactions sur le sujet, argumentent pour déconseiller formellement le miel au profit du sirop !!! :silly: :silly:
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- max16380
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- th1164@gmx.com
- Visitor
Peut être que ça va sauver le miel français !
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- Gilles Ratia
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- blaireaudesbois
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- thierry26/07
- Visitor
Une fois leurs compteurs se sont affolés,c’était quand le nuage de Tchernobyl est passé sinon il y a moins de radioactivité ici qu'en Bretagne.
Je ne défends pas le "milieu nucléaire ",des drames humains liés à cette activité existent ,j'en connais mais pour trouver de la radioactivité dans les analyses,il faudrait qu'il y est contamination du nectar ou du pollen autour des centrales,et ça j'y crois moins.
Jamais entendu parler des analyses dans le milieu viticole et" Ils en ont fait pour le vin mais ils ont décidé de ne pas en parler" ,c'est gros! Les viticulteurs que je connais,boivent leurs vins et ne vivent pas en combinaison,précautions minimales,indispensables qu'ils appliqueraient s'ils avaient connaissance d'une contamination radioactive.
Si ça ne coûte pas un bras,j'en ai que 2 prêt a faire cette analyse sur ma prochaine récolte et à vous informer des résultats....
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- ardecho
- Visitor
ceci dit je pense que tôt ou tard, vu leur âge avancé, il y en aura au moins une ou deux qui nous pèteront à la figure ou tout au moins se mettrons à fuir.
sans oublier les transports de matières radio-active, qu'est ce qu'on fait si un jour un train chargé de plutonium déraille ?
on n'y échappera pas, d'ailleurs je me dit parfois que je préfèrerai que mes enfants fassent leur vie dans un pays où il n'y a pas de centrales...
pour en revenir au miel je ne comprend pas bien cette nouvelle lubie de l'analyse sensé faire le tri entre les miels contaminés et les autres.
si on analysait l'organisme des consommateurs eux-même on y retrouverait à coup sur de quoi se faire très très peur !
voir les études réalisées sur les cheveux de personnalité il n'y a pas longtemps.
pourquoi le miel devrait-il être plus "propre" que les autres produits agricole ?
pourquoi est-ce qu'on analyse pas tous ce qui est vendu pour être mangé ?
vu que si on cherche on trouve, on a pas fini de se faire peur, et de la radioactivité il doit bien y en avoir vu que ça fait des années que le nuage de Fuku-schima tourne autour de l'hémisphère nord...
tiens à propos vous saviez que les américains stérilisent leur viande avec la radioactivité ?
il parait que les israéliens le font aussi avec leurs avocats, c'est pour ça que les noyaux ne germent pas, contrairement à ceux qui viennent d'Espagne (ça c'est vrai j'ai fait le test)
mais allons y analysont analysont, peut-être que ça fera bouger les choses, parce que là du toxique il y en a vraiment partout, j'avais lu que même les foetus dans le ventre de leur mère avaient déjà en eux je ne sais plus combien de substances chimiques toxiques, plusieurs dizaines je crois...
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- blaireaudesbois
- Visitor
tronçonneuses. La chaine tranche les lichens présents sur l'écorce et ceux ci avaient fixé la radioactivité. Le tout au fin fond des bois!
Si tu ajoutes à ça le nuage de Ruthenium 106, officiellement venu de l'Oural, qui est resté septembre et octobre au dessus du sud est, au point fixe juste sous le vent de qq centrales françaises, on peut se poser des questions.
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- max16380
- Visitor
@blaireaudesbois, tkt c le pinard ca rien de grave!
plus sérieusement en reprenant le sujet et comme dit ardecho il faudrai deja comparer different miel par rapport a d'autres produits agricole courant et aussi analyser les memes miels de different pays, par ex tournesol francais / espagnol / ukrainien / allemand / etc... et faire des comparaison via les agricos sur leurs types de productions culturale.
et la on avancerra vers qq chose de concret...
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- Apinoires
- Visitor
et je suis convaincu que ce n'est pas avec les miels qu'il sera le plus surpris ou encore mieux menacé de s'empoisonner ?
Tiens questions à 2 balles, qui sur le forum fait la démarche d'acheter son huile d'olive au producteur, plutôt qu'en grande surface ???
car à ce niveau, pour trouver et éviter les "mélanges (CEE ou Non UE), il vaut mieux bien chercher !! !:lol:
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- ardecho
- Visitor
Apinoires wrote: Oui Max, on peut certainement parler et comparer beaucoup de miels ....!! mais pour le consommateur il faudrait aussi lui faire comparer tout ce qu'il avale ??
et je suis convaincu que ce n'est pas avec les miels qu'il sera le plus surpris ou encore mieux menacé de s'empoisonner ?
Tiens questions à 2 balles, qui sur le forum fait la démarche d'acheter son huile d'olive au producteur, plutôt qu'en grande surface ???
car à ce niveau, pour trouver et éviter les "mélanges (CEE ou Non UE), il vaut mieux bien chercher !! !:lol:
excellente remarque Apinoires !
justement chez moi on ne tourne qu'à l'huile d'olive et je me faisait la reflexion en regardant les étiquettes : il n'y a effectivement que des mélange UE et non UE...
mais voilà ici l'huile d'olive locale chez le producteur elle coute dans les 15€ le litre et en magasin on trouve de l'italienne qui est bonne mais dans les même prix, du coup vu la consommation qu'on en fait on achète de la UE/ non-UE :blush:
donc je ne jette pas la pierre à ceux qui ne sont pas grands amateurs de miels et/ou qui n'ont pas beaucoup d'argent et donc achète du miel de supermarché.
d'ailleurs recemment sur les marchés j'en ai bien vu certains fuir devant mes pots de 500gr à 9€ :lol:
c'est sur que si on a de très petits moyens...
par contre ceux qui achète de la nourriture de mauvaise qualité pour pouvoir se payer des gadgets electronique là je comprend pas
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- louiseluc
- Visitor
En revanche le miel est produit partout
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- Apinoires
- Visitor
Si je partage et vous comprend très bien et si je peux encore mieux comprendre par ceux qui malheureusement sont obligés de se passer aussi bien de miel que d'huile d'olive, pour ceux qui en consomment, mais orientés uniquement par le prix, vu que ces 2 produits durent tout de même un peu, si le miel ou l'huile d'olive sont utilisés normalement, je ne crois pas que quelques euros supplémentaires par mois sur chacun de ces produits pourraient écrouler un budget ??
Surtout pour l'énorme différence de qualité, à la portée du premier venu !!
D'ailleurs, pour en avoir parfois gouté moi aussi, je me suis toujours demandé comment et par quel grand mystère, après mélanges, les négociants pouvaient parvenir à produire de telles "mairde" alors que dans tous les pays étrangers gros producteurs ou j'ai pu me balader, j'ai toujours pu apprécier des huiles très bon marché mais remarquables, !!
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- ardecho
- Visitor
je ne sais pas ce que tu appel une consommation "normale" de miel et et d'huile d'olive mais ce que je peux te dire c'est que chez moi ça part rudement vite ! :lol:
après il faut toujours faire des choix (l'art des choix ) parce que si on ne mange que des produits bio, locaux, etc... ça finir par faire quand même un gros budget !
pour en revenir aux analyses, on risque d'avoir de mauvaises surprises et comme d'habitude ça retombera sur la tronche de ceux qui n'y sont pour rien, tandis que ceux qui produisent et vendent les produits polluants continueront de couler des jours tranquilles sur leurs voiliers aux Bahamas
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- Apinoires
- Visitor
ardecho wrote: @Apinoires
je ne sais pas ce que tu appel une consommation "normale" de miel et et d'huile d'olive mais ce que je peux te dire c'est que chez moi ça part rudement vite ! :lol:
après il faut toujours faire des choix (l'art des choix ) parce que si on ne mange que des produits bio, locaux, etc... ça finir par faire quand même un gros budget !
pour en revenir aux analyses, on risque d'avoir de mauvaises surprises et comme d'habitude ça retombera sur la tronche de ceux qui n'y sont pour rien, tandis que ceux qui produisent et vendent les produits polluants continueront de couler des jours tranquilles sur leurs voiliers aux Bahamas
Ouais, je suis certes sans doute mal placé pour parler d'huile d'olive et surtout de consommation, puisque j'en ai été vacciné, chez mes grands parents par exemple, comme c'était un produit "maison" c'était carrément du 100% tout avec et je ne sais pas si tu as déjà mangé des frites à l'huile d'olive, mais ça peut surprendre !!
Sinon, même pour une famille qui consomme 1 pot de miel par semaine et 1 à 2 litres d'huile d'olive par mois (pour les assaisonnements), pour une différence de 4/5€ par unité, ça ne vas jamais chercher qu'un billet de 30€ mensuel, ce qui me fait dire que c'est plus une histoire de choix qu'un obstacle insurmontable même pour les foyers modestes, chez qui tu remarqueras que les pâtes à tartiner Nutella et le coca-cola font rarement défaut, tout comme les haltes plus ou moins fréquentes chez le Macdo du coin ?? :woohoo:
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