6éme article écrit par l'I.A. : "Rédige un poème"
- Gilles Ratia
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Dans les champs de fleurs, aux douces couleurs,
Les abeilles s'affairent, sans cesse en labeur,
Collectant le nectar, cette perle sucrée,
Pour le transformer en miel, précieuse denrée.
Les apiculteurs, maîtres de leur art,
Veillent sur leurs ruches, avec passion et égard,
Ils connaissent leurs abeilles, leurs habitudes et leur langage,
Et travaillent avec elles, pour produire un miel de qualité sans pareil.
Les abeilles, créatures infatigables,
Butinent les fleurs, avec un zèle admirable,
Elles pollinisent les plantes, et assurent notre survie,
Leur travail acharné est une bénédiction de la vie.
Les apiculteurs, gardiens de l'abeille,
Sont les sentinelles de notre environnement, pareils,
Ils veillent sur nos amies les abeilles, avec dévotion,
Et protègent leur habitat, avec ardeur et passion.
Les abeilles, joyaux de la nature,
Symboles de l'harmonie, elles sont un trésor pur,
Elles nous rappellent l'importance de la diversité,
Et de préserver notre environnement, avec équité.
Les apiculteurs, protecteurs de la biodiversité,
Travaillent pour nous offrir le miel, aux saveurs raffinées,
Ils récoltent avec soin, cette précieuse substance dorée,
Et nous la partagent, pour notre plus grand bien-être.
En somme, les abeilles et les apiculteurs,
Sont des êtres irremplaçables, pleins de ferveur,
Ils travaillent ensemble, pour préserver notre planète,
Et nous offrir une vie meilleure, saine et honnête.
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- Gilles Ratia
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- jww
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Pierre de Ronsard – L’amour piqué par une abeille
Ode (L’Amour piqué par une abeille)
Le petit enfant Amour
Cueillait des fleurs à l’entour
D’une ruche, où les avettes
Font leurs petites logettes.
Comme il les allait cueillant,
Une avette sommeillant
Dans le fond d’une fleurette
Lui piqua la main douillette.
Sitôt que piqué se vit,
« Ah, je suis perdu ! » ce dit,
Et, s’en courant vers sa mère,
Lui montra sa plaie amère ;
« Ma mère, voyez ma main,
Ce disait Amour, tout plein
De pleurs, voyez quelle enflure
M’a fait une égratignure ! »
Alors Vénus se sourit
Et en le baisant le prit,
Puis sa main lui a soufflée
Pour guérir sa plaie enflée.
« Qui t’a, dis-moi, faux garçon,
Blessé de telle façon ?
Sont-ce mes Grâces riantes,
De leurs aiguilles poignantes ?
–Nenni, c’est un serpenteau,
Qui vole au printemps nouveau
Avecques deux ailerettes
Ça et là sur les fleurettes.
–Ah ! vraiment je le connois,
Dit Vénus ; les villageois
De la montagne d’Hymette
Le surnomment Mélissette.
Si doncques un animal
Si petit fait tant de mal,
Quand son alène époinçonne
La main de quelque personne,
Combien fais-tu de douleur,
Au prix de lui, dans le coeur
De celui en qui tu jettes
Tes amoureuses sagettes ?
(source "Au bon miel" pour le copié collé)
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- Lucas_Dupont
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- Gilles Ratia
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