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Vérité pesticides

  • mathieua
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03 Abr 2014 13:53 - 03 Abr 2014 14:03 #74085 por mathieua
Respuesta de mathieua sobre el tema Vérité pesticides
Je me permet de resituer puisque c'est moi qui ait écrit ce petit papelard sur mon blog.

Je ne considère pas, loin de là, que les pesticides soient la seule cause de mortalité. Je ne suis pas assez idiot pour cela, et je ne connait personne qui le soit suffisamment. Caricaturer c'est pratique mais ça ne suffira pas à se comprendre...
Ne faisons pas ici les mêmes raccourcis médiatiques que l'on voit tristement apparaître entre les "représentants" de l'apiculture en ce moment. Merci.

Je précise donc pour ceux qui n'auraient pas compris : On peut aller à l'encontre de l'argumentaire pro-pesticides sans pour autant y voir la seule cause de mortalité. Je vous invite à bouquiner mon site pour preuve, vous y trouverez d'autres problématiques traitées : génétique, nourrissement, varroa, biodiversité...etc...

Soyez indulgent, je fais ce que je peux, mais n'hésitez pas à signaler les éventuelles erreurs, personne n'est parfait.

Pour finir, la "vérité", elle ne tombe pas du ciel, mais à mon avis la science peut nous aider à la trouver, non? J'ai donné mes sources, je veux bien causer mais pas sur du vent, si vous avez des sources qui contredisent mon papier, je les consulterai avec attention.

Aller, paix, amour, liberté et fleurs, comme dirait l'autre.
Última Edición: 03 Abr 2014 14:03 por mathieua.

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  • Pierrolefou
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03 Abr 2014 21:52 - 03 Abr 2014 22:53 #74109 por Pierrolefou
Respuesta de Pierrolefou sobre el tema Vérité pesticides
ca date du 29 on vas peut etre enfin savoir????
www.midilibre.fr/2014/03/28/des-millions-d-abeilles-decimees-par-intoxication,840983.php

une autre piste!!!
Vue intérieure du rucher enclos.
Jean-Luc est installé dans la Marne à Cernon, petit village situé sur l'axe Vitry / Châlons. Il est l'initiateur de ce projet portant à protéger les ruches des vents. Son expérience est basée sur plusieurs années de recul et le constat est là. Il y a moins de mortalités hivernales en protégeant les ruches des vents de l'hiver. Le fait de rentrer à l'intérieur du rucher enclos et déjà on a le ressenti de quelques degrés de plus à l'intérieur. De simples filets brise-vue de 1,50 m de hauteur maintenus par des poteaux en bois tous les 2,5 m et un petit micro climat se crée dans le rucher. Pour moi l'idée est vraiment très bonne et quelques projets pourraient voir le jour dans quelques uns de mes ruchers exposés au vent. Je vous laisse le soin de lire l'article de Jean-Luc Ferté publié sur le site d'Apimarne:

Le ''rucher enclos'' (Jean-Luc Ferté)
Rapport entre la dynamique sanitaire et les conditions matérielles des emplacements. Le remède aux mortalités hivernales : le « rucher enclos ».
Cher collègues, bonjour
Voici l’histoire d’un apiculteur dans les environs de Reims qui possède 3 ruchers. L’hiver dernier, les deux premiers ruchers situés en plaine, dans des petits bois, ont eu entre 50 et 60% de pertes : une hécatombe. Le troisième a la particularité d’être installé au milieu d’un enclos constitué de quatre murs. Celui ci a eu 1 ruche morte.
Quel apiculteur n’a pas été confronté au problème des mortalités. Quel est celui qui, possédant plusieurs emplacements, n’a pas perçu de grande variation de mortalité entre ceux-ci. Pour ma part, au cours de ma pratique depuis 26 ans avec 550 ruches, je me suis vite aperçu que les pertes hivernales de colonies variaient beaucoup d’un rucher à l’autre, toutes les ruches étant conduites de la même façon. J’ai alors suivi deux voies : la sélection des emplacements et leur aménagement pour le bien être des colonies et leur survie. Pour l’aménagement, j’en suis arrivé à la conclusion que la solution la plus aboutie, qui donne avec le recul des résultats probants: c’est le rucher enclos. Chacun peut l’expérimenter pour se faire son avis.

Pour installer ses ruches, souvent, on cherche un endroit paisible, protégé du regard, et aussi des éléments, par un écran de verdure, mais cette protection naturelle, satisfaisante en apparence, est rarement parfaite. Elle présente en réalité souvent des faiblesses cachées qui se manifestent surtout après la chute des feuilles. Le rôle du rucher enclos est de constituer une seconde enceinte rapprochée, artificielle, qui vient compenser les défauts, petits ou grands, de la première. Il se compose d’un brise vent de 1 m – 1,50 m de haut, qui forme une sorte de palissade à proximité immédiate des ruches (2 – 3 – 4 m) et qui ceinture complètement le rucher de près.
Dans la nature, chaque emplacement est particulier, cependant pour mes ruchers tests, l’effet de ce dispositif léger apparait net et rapide : chute des mortalités hivernales, rendement du rucher sensiblement accru, moins de dépopulations printanières, plus grande régularité entre les ruches, meilleure santé, moins d’agressivité, etc. Le rucher change de visage. Des reines qui ne faisaient rien, retrouvent de la vigueur.
C’est en classant régulièrement mes 24 ruchers de plaine, les uns par rapport aux autres, en fonction de la mortalité hivernale et des récoltes printanières que j’ai pu en mesurer l’impact. En effet, n’ayant rien modifié par ailleurs, après avoir enclos un rucher, j’ai pu constater, par la suite, pour celui-ci, une mortalité hivernale très faible et ceci de manière durable. Ainsi, mon meilleur rucher – enclos - atteint une mortalité hivernale de 1,2% en moyenne annuelle sur 14 ans ; soit 4 ruches mortes, au total, sur les 14 hivers de la période, « l’hiver » allant du 15 septembre au 10 Avril. Cette faible mortalité s’accompagne également, d’une hausse parfois spectaculaire dans le classement pour la récolte de printemps : Un autre rucher est passé ainsi de la vingtième place à la première, après avoir été mis enclos
Il est clair et évident, à la vue de ces résultats qui ne font que recouper de multiples indices et observations recueillies sur le terrain, qu’il y a un lien déterminant entre la dynamique sanitaire et les conditions matérielles des emplacements ; les bonnes pratiques apicoles étant supposées être respectées.
On peut expliquer de tels effets – hors zones de forêts humides – par un principe comparable à celui de la haie. On connait l’effet bénéfique de la haie pour les cultures (D. Soltners : L’Arbre et la Haie). Pour les colonies d’abeilles, il semble qu’il en aille de même avec un degré d’efficacité encore plus élevé. En installant des brises vent qui font le tour du rucher – le tour intégral, étant ce qu’il y a de mieux – on crée au centre, un îlot permanent d’air calme où le mauvais stress hivernal qui tue – vent, froid, air instable –, d’où qu’il vienne, est évacué, neutralisé. Et cela fonctionne très bien. Le rucher s’en trouve dynamisé
Les abeilles appartiennent au groupe des animaux poïkilothermes, c'est-à-dire des organismes dont la température interne reste dépendante de celle du milieu externe. Elles ne disposent pas d’un milieu intérieur autorégulé comme les vertébrés supérieurs. De ce fait, elles sont sensibles au climat, à tout ce qui peut refroidir ou réchauffer. Le rucher enclos fait office de milieu intérieur favorable pour l’ensemble des ruches qui intègrent le rucher.
En effet, il convient de faire attention à tout flux d’air, même extérieur à la ruche, qui viendrait soustraire les calories que les abeilles émettent l’hiver pour élever la température à l’intérieur de la colonie, car si cela se produit de façon continu, celle ci va s’épuiser et dépérir. Dans ces conditions, peuvent se produire les phénomènes d’affaiblissement et d’effondrement des colonies.
C’est en quelque sorte le contraire du moteur électrique où pour éviter qu’il chauffe, on lui adjoint un petit ventilateur à l’arrière, pour le refroidir.
Bien sûr, ce n’est pas de la haute technologie. En pratique, des filets brise-vent semi perméables, ou des filets brise vue, font l’affaire. On peut également procéder avec des palettes en bois dressées (effets moins garanti) ou encore mixer tout cela.
Ces aménagements, réalisés avec méthode, permettent de parfaire les défenses naturelles, de niveaux très variables selon les emplacements ; ces variations pouvant expliquer, en partie, les grands écarts de mortalités entre ruchers parfois voisins. On connait d’autres exemples de cette démarche : les ruchers couverts en montagne, les ruchers traditionnels dans les murs en pierre exposés au soleil du midi et abrités des vents du nord, etc. (1). Ce n’est que de l’écologie appliquée ou, en d’autres mots, le sens de la nature. On ne peut plus travailler sans filet et prendre des risques pour traverser la mauvaise saison en espérant que les choses se passent bien et, si on a manqué de chance, pleurer ses pertes et incriminer la terre entière.
Il vaut mieux réduire les mortalités que d’avoir à remonter son cheptel en achetant des essaims. Le concept de rucher enclos, relativement simple à mettre en œuvre, est un nouvel outil qui peut aider concrètement à faire d’une part, de fortes économies de mortalité et d’autres part, à améliorer l’état général des ruches reléguées aujourd’hui par la vie moderne, dans les rebus du territoire. Le surcroit de vitalité qui en découle pour les ruches, est surtout visible dans les zones hors vallée, plus froide et tardive. Bien sûr, il ne dispense pas de tous les autres soins de base. Les aides en ce sens, sont les bienvenues.
Avec le rucher enclos, l’apiculture dispose d’un nouvel outil qui s’avère de premier plan, pour toute lutte véritable contre les surmortalités et dénouer la crise.
Il est du rôle de toute association de développement apicole de soutenir la recherche de solutions efficace contre les mortalités qui restent un problème majeur. Je propose que, dans un premier temps, l’ADAEST préoccupé par ces questions, en relation avec le CNDA, suive et centralise les informations provenant des expériences de défense contre les mortalités afin de pouvoir produire, à terme un travail de synthèse qui fasse le point sur le sujet. Ce travail, dans le cadre d’une recherche multifactorielle voulu par le rapport parlementaire rédigé par Martial Saddier, pourrait être retenu et supervisé par le futur comité opérationnel sur l’abeille, chargé de définir les programmes de recherche pour abaisser la mortalité des pollinisateurs.
Pour le projet de recherche, il s’agit d’étudier et approfondir le rapport entre dynamique sanitaire et conditions matérielles dans lesquelles se trouvent les ruches. On peut imaginer deux types d’expérience.
1 – Comparer sur le terrain comme je l’ai fait, des ruchers enclos avec des ruchers non enclos. Noter l’état du rucher avant, après, etc.
2 – Expériences en laboratoire menées par une équipe pluridisciplinaire comprenant outre des spécialistes apicoles, des spécialistes des fluides et des thermodynamiciens:
1 – On place une première série de ruche dans une atmosphère calme, sans flux d’air, à une température donné. On répète l’expérience avec des températures de plus en plus basses pouvant atteindre - 20°, durant une période plus ou moins longue allant jusqu’à plus d’un Mois.
2 – On prend une autre série de ruches dans les mêmes conditions de température, de nourrissement, de durée, etc., et on expose l’extérieur des ruches à un flux d’air continu. On renouvelle ces expériences avec des souffles d’intensités de plus en plus forts jusqu’à plusieurs dizaines de Km/h. On peut faire varier également le taux d’hygrométrie. Et on regarde l’état des colonies à la fin !
Ces expériences en laboratoire, dont quelques pistes sont données ici à titre indicatif, devraient permettre d’établir, de manière formelle, le lien entre dynamique sanitaire et conditions matérielles des emplacements et également les seuils à partir desquels se produisent les syndromes d’effondrement. Toutes les ruches du monde passant leur vie en plein air, dans la nature, on comprend bien la portée universelle de cette recherche en matière d’apiculture. C’est tout un domaine de l’apiculture qu’il convient d’éclaircir afin de faire la lumière sur cette ténébreuse question de mortalité qui handicape la profession. Cela relève du travail de scientifique dont je ne suis.
Cependant, sans attendre, vous pouvez, chers collègues désirant avancer et ayant envie d’expérimenter, commencer ces essais sur le terrain. Dans ce cas, pourriez-vous retourner, si vous le souhaitez, vos observations au 03 26 21 31 30. Merci.
Última Edición: 03 Abr 2014 22:53 por Pierrolefou.

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  • ZAYA_26740
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03 Abr 2014 22:17 #74114 por ZAYA_26740
Respuesta de ZAYA_26740 sobre el tema Vérité pesticides
Re,
Pour une fois je vais essayer de faire l'unanimité, je pense qu'elles sont mortes en perdant la vie! :silly:
Bonne nuit..........................soyez sage

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  • astico81
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03 Abr 2014 23:49 #74117 por astico81
Respuesta de astico81 sobre el tema Vérité pesticides
Peut être qu'aujourd'hui nous pouvons entrevoir la cause multifactorielle jusqu'à 30% de mortalité de nos ruches, mais au-delà et qui plus est lorsqu'un ensemble de ruchers sont atteints dans une même localité ou région il convient d'admettre que le facteur pesticide reste la piste prépondérante.
Comment réagiraient nos ruches si elles n'avaient à faire face qu' à varroa?
Et oui nous n'avons plus le choix et lorsque nous sommes devant une cause multifactorielle il est peut être important d'éliminer la cause la plus facile; après tout c'est bien l'homme qui impose à l'abeille ces pesticides.
Nous sommes sans cesse montrés du doigt quant à notre capacité à bien gérer nos ruches, à utiliser les bons produits, à faire un bon hivernage.....jamais peut etre l'apiculture n'a été aussi pointue et les apiculteurs autant formés et avertis et pourtant la casse est là et bien là et nous acceptons résignés année après année de plus en plus de mortalité.
Et pourtant ce n'est rien car il est facile de prédire des fiches nécrologiques d'apiculteurs de plus en plus jeunes et de plus en plus importantes dans les prochaines années, sans parler de leur famille car les pesticides dont nous parlons aujourd'hui finiront il n'y a nul doute par faire quelques ravages sur d'autres animaux comme l'homme

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  • Pierrolefou
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04 Abr 2014 10:16 #74125 por Pierrolefou
Respuesta de Pierrolefou sobre el tema Vérité pesticides
bonjour
j ai connu l époque ou le varroa est arrivé, je l ai deja dit on traitait au taktic en gouttes sur langes , ensuite au fooger toujours avec du taktic, apres avec du klartan !!!!
ben on faisait encore de bonne recoltes sauf les écolobobo qui comptait les cadavres !!! et ils les comptes toujours!!!!
et on avait pas toutes ces orphelines et bourdonneuses et reines disparus.
il y avait aussi les pesticides et pas des moindres mais c etait des produits de contact qui n avait rien a voir avec la nouvelles generation que l on a actuellement.
pour moi le varroa fait d énormes dégats, par conter chez ceux qui maitrisent les traitements et qu il y est 30% de pertes ca viens bien d ailleurs.a+

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  • jeym1
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04 Abr 2014 11:42 #74129 por jeym1
Respuesta de jeym1 sobre el tema Vérité pesticides
Bonjour Pierro,
est ce que l'un d'entre nous peut nous procurer un tableau avec les différents traitements sur les principales cultures,
Trop souvent on voit des épandages en pleine journée mais ne sachant quel est le produit on est obligés de fermer nos g....
Grand merci.
Des abeilles qui marchent sur les herbes au pied de la ruche c'est quoi à ton avis?

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  • mathieua
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04 Abr 2014 11:53 #74130 por mathieua
Respuesta de mathieua sobre el tema Vérité pesticides
L'avantage des épandages c'est que ça se voit.

Mais les néonic ils sont souvent en enrobage de semences, et donc on ne les voit pas, mais ils sont là, dans la plante, et ramenés à la ruche via nectar, pollen, et guttation des plantes...
:(

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  • ardecho
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04 Abr 2014 12:22 #74133 por ardecho
Respuesta de ardecho sobre el tema Vérité pesticides
dommage que les cultivateur ne soient pas des écolobobo eux aussi, ça éviterait qu'ils utilisent des pesticides... :lol:

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  • delpe12
  • Invitado
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04 Abr 2014 13:24 #74137 por delpe12
Respuesta de delpe12 sobre el tema Vérité pesticides
Attention le frere à jean luc est marchand de brise vent!!!!

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  • happy culteur
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04 Abr 2014 16:40 #74150 por happy culteur
Respuesta de happy culteur sobre el tema Vérité pesticides
Rien et le 03/04 :





C'est pas nocif tout cela, retour de mes ruches hier soir ......
Adjuntos:

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  • jeym1
  • Invitado
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04 Abr 2014 17:09 #74151 por jeym1
Respuesta de jeym1 sobre el tema Vérité pesticides
Non! Sérieusement, les brises vents sont des facteurs très importants pour lutter contre les pertes hivernales. Rappelez vous vos formations! Position de la ruche : orientation par rapport au soleil et aux vents dominants.
Le vent est le facteur principal de refroidissement de la grappe avec affaiblissement des colonies et surconsommation de réserves...

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  • happy culteur
  • Invitado
  • Invitado
04 Abr 2014 17:50 #74153 por happy culteur
Respuesta de happy culteur sobre el tema Vérité pesticides
:(


Me suis trompé ( js si tu peux le bouger ) et ai posté sur manif 01/04 allez voir ce qu'un produit classé en peu toxique ( apparemment surflan ) peu faire sur une ruche.
Retour de transhumance en pollinisation un peu énervé.

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