C'est un métier à protéger, comme les zazas et leurs environnement.
La grosse problématique des pertes de ruches comme dans le Languedoc. C'est qu'en parallèle, aucune étude ne sera mené pour calculer le montant des pertes dû à une mauvaise pollinisation (du milieu sauvage) et (culture, jardin, verger), biodiversité (pollinisation croisée). Qui pourtant sont réel ! Compensation à qui, à qui verser une somme ? Combien vaut l'environnement ?
Le fric n'est pas la solution. Mais on est peut-être aussi très loin d'un montant au réel dans ces cas. Augmenté encore d'avantage les contrôles de qualité d'aires, contrôle des calendriers de traitements. Payé des recherches dans ce domaine, créer une institution d'état pour fabriquer les produits de traitement agricole.
L'impôt sur l'apiculture à partir de quelques ruches est un non sens aujourd'hui au vu de toutes les problématiques.
ça ne sert à rien de donner, il ne faut déjà pas prendre pas prendre... Nous protéger de certaine importations...
L'argent verser est très loin à mon avis des pertes global subit par l'ensemble interaction des abeilles et du milieu environnemental et économique français.
