Adultération des miels
- richard86
- Autor del tema
- Invitado
Les références en cause n'ont rien de surprenant !
Par contre, l'image "Miel" peut en prendre un petit coup, même si l'encart "Comment acheter des miels de qualité" fait la part belle aux Producteurs locaux (ce qui devrait nous réconforter pour la majorité des apis du forum).
Par contre, la qualité, cela ne se brade pas, çà ne se fait pas avec des pratiques douteuses. Le jour (s'il y a un nombre significatif de pratiques anormales), nous seront mis dans le même sac que les miels d'importation cités ... et, nous serons tous foutus ...
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- MichelV
- Invitado
Ben, effectivement, il me semble comprendre sur cette publication qu'il est conseillé de se rapprocher de son apiculteur local. C'est plutôt "bénéfique" pour nous non?
Et oui, il n'y a pas matière là à vouloir " brader" notre miel!?
Pourquoi serions nous mis dans le même panier que les miels frauduleux? Nos clients ne s'y trompent pas! (du moment où l'on reste réglo)
Et le bouche à oreille fonctionne très bien! Lorsqu'un client est satisfait, il revient, et ramène aussi son entourage.
Pour ma part, je ne me fait pas de souci. Oh non!!! :whistle:
Michel.
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- richard86
- Autor del tema
- Invitado
N° 528 Pages 54 et 55
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- richard86
- Autor del tema
- Invitado
Je suis tout à fait d'accord avec toi :
Le producteur sérieux qui a la confiance de ses clients ne devrait pas se faire trop de souci ...
Cependant, nous sommes dans une époque de communication, d'image, etc... Je pense qu'une mauvaise image "Miel" peut déborder et vite devenir un problème qui peut rejaillir sur la profession.
Un scandale, on sait pas toujours quand il commence, mais on sait encore moins quand il s'arrêtera !
Nous savons tous avec la crise et la pénurie, les mauvaises pratiques peuvent tenter bien au delà des conditionneurs incriminés.
On sait que sur certains marchés, il y a des vendeurs qui ne sont pas plus apiculteur que ton chien et qu'ils achètent du miel quelque fois bien au delà de nos frontières.
Je pense que cet article mérite beaucoup plus de réflexion et d'analyse des apis.
Je suis un peu surpris ... ou alors personne ne l'a lu ...
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- Thierry71
- Invitado
je voudrais bien lire ton fichier mais il n'y a rien ,sinon c'est vrai que la qualité a un prix au vu des heures de travail que cela représente pour faire un bon produit
a+ bonne journée
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- ardecho
- Invitado
les types qui passent 12h/semaine sur le marché en pleine saison et qui proposent 10 miels différents je me pose pas trop de question...
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- apipaca
- Invitado
pour ce qui est de l'impact de ceci, c'est déjà chose entendu, car si la démarche (de plus en plus constatée) des consommateurs à chercher et à acheter (de plus en plus cher) du vrai miel ne fonctionnait pas, le phénomène de la demande par rapport à une offre de moins en moins évidente avec les augmentations successives de ces dernières années, n'auraient pas obligés même les discounters à proposer eux aussi des produits hauts de gamme et provenant de l'apiculture traditionnelle.
ne soyez pas inquiet, sur ce point l'apiculture Française est sur la bonne voie, même si le miel (de qualité) peut encore sévèrement augmenter la clientèle est prête à l'accepter, et fort heureusement, paradoxalement plus les prix sont à la hausse, plus la demande est forte, le seul bémol de nos jours serait de retrouver des volumes et non pas des clients.
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- peloss
- Invitado
il existe des services qui sont chargés de controler tout celà , personnellement en tant que professionnel il est rare qu'une année s'écoule sans que je subisse un controle inopiné avec prélèvement des fraudes ou de la dsv,je tiens à préciser que je fais parti des personnes qui sont pour qu'il y ait ce type de controles,malheureusement il me semble que tous ces controles sont dirigé vers le monde professionnel (apiculteurs et conditionneurs)et rarement vers l'apiculture amatrice qui pourtant produit la moitié du miel français (corrigez moi si je me trompe)
la plupart des amateurs sont des gens sérieux et passionnés mais la faible proportion de controles dans cette branche de l'apiculture ouvre une porte à des personnes peu scrupuleuses qui en profite pour "faire de l'argent facile", attention je ne dis pas qu'il n'y a pas de brebis galeuses chez les professionnels !
il ne s'agit pas de monter les uns contre les autres mais plutôt d'essayer de faire comprendre que tout ça peut faire beaucoup plus de tort à l'Apiculture Française que la dénonciation de ces pratiques frauduleuses concernant les miels d'importations
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- peloss
- Invitado
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- Gilles Ratia
- Invitado
Il est clair que depuis des lustres le nectar des fleurs ne suffit plus et à voir la photo ci-dessus, l'image d’Épinal de l'apiculture n'est plus ce qu'elle était...
Si dans certains pays (tournons nos yeux vers l'orient) il est de coutume de faire du miel de sucre, à l'ouest les services des fraudes veillent et existe heureusement une éthique respectueuse de la qualité des produits de la ruche. Malgré cela aucun apiculteur ne désire vraiment que ses abeilles crèvent de faim pendant l'hiver, une saison caniculaire ou froide ou ne soient pas à leur optimum quand arrivent les miellées.
A défaut de nourrir avec du sirop de miel, ne serait-il pas temps de faire attention aux méthodes de nourrissement employées et surtout au calendrier afin d'éviter à 99,99 % les remontées de sirops - ou de candis transformés - stockés dans les corps de ruche vers les hausses ?
SVP veuillez expliquer ici vos meilleurs moyens d'y arriver. Par avance grand merci
Parmi les cinq fléaux majeurs de l'apiculture mondiale, l'adultération des miels est en seconde place et influe sur le portefeuille de TOUT apiculteur. Vous avez bien lu : "de TOUT apiculteur" !
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- max16380
- Invitado
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- gfass
- Invitado
Les apiculteurs de loisir devraient y revenir et retrouver le plaisir d'une apiculture dilettante qui respecte le tempo et la santé de l'abeille. Un miel de cru, de terroir, un miel toutes fleurs qui fluctue d'une année à l'autre en fonction des floraisons ça a autant de charme, de valeur qu'un miel typé monofloral et c'est particulièrement apprécié des consommateurs locaux comme des touristes et vacanciers qui rapportent chez eux, un peu de la région qu'ils ont visité. Pour le miel d'agave par exemple, ils choisiraient le Mexique, pour le miel de betterave des Hauts de France, miel de canne à sucre les Antilles etc...
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- du luy
- Invitado
Pour les nourrissements hivernaux et pre-hivernaux ;Pour les pre-hivernaux , à priori pas de soucis mais pour les hivernaux et sorties d'hiver , il va certainement etre impossible à l'apiculteur de calculer les provisions du corps de ruche avant la pose des hausses . Immanquablement , dans la plupart des cas , il y aura du nourrissement de remonté dans la hausse pour faire place au couvain , c'est mathématique .
Je ne pense pas que les apis vont s'amuser à retirer des provisions pour que le phénoméne de remontée n'existe pas . Dans le meilleur des cas si l'api ne nourrit pas avec des produits , il lui faudra disposer de ruches qui stockent un maximum de miel dans le corps comme des 10 ou 12 cadresDad , pour les Lang ou autres , ce sera plus difficle , car le corps ne dispose pas de place suffisante .
Pour les nourrissements en saison. La compléxité vient de la présence en masse du couvain dans les corps et pas d'apports dans les hausses . Si l'api désire sauver ces colonies qui font face à une période d'un mois de froid , pluie , vent , il lui faudra nourrir assurément . Si l'api mets plus que le besoin ( un calcul qu'aucun apiculteur n'est capable de faire ) il est certain d'obtenir du miel adultéré , s'il récolte cette hausse suite à une miéllée ( ex. l'acacia ) .
Une des solutions qui ne fait plus partie des logiques économiques apicoles est de laisser beaucoup plus de réserves de miel que de besoin . Certains vont dire " autant fermer la boutique " . Baisse évidente du Ca
Les apis en 12cDad nourrissent trés peu , ne faudra t'il pas dans les années a venir pour obtenir des miels " pur miel " laisser un stock tampon de réserve ? . Lorsqu'il s'agit de miel à 5 euros , la perte est de mini 50 euros ( en gros) mais pour des miels à 9 euros valorisés à 18 , 20 euros au détail , la perte est énorme et peu d'exploitation pourront supporter cela , c'est ce que disent les apis et qui n'est pas faux .
Par contre si le stock tampon n'est pas consommé par les abeilles , il n'y aura que trés peu de perte au niveau des récoltes à venir .
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- LAS87
- Invitado
Je nourri de moins en moins mais j'ai des récoltes médiocres comme cette année et je ne suis pas le seul.
Avec les problèmes récurrents climatiques de ces dernières années, l'apiculture sans apport sera moribonde!!!
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- ardecho
- Invitado
que tout soit déjà blindé quand la miellée arrive, il y a une différence.
je pense que le sirop très léger donné par petite quantité est consommé pour le couvain au fur et à mesure. peut-être pas à 100% mais le plus gros.
mais il y en a (j'ai déjà bossé dans des exploitation comme ça dans ma jeunesse) qui mettre des litres pour pouvoir tirer des EA et avoir des caisses qui débordent tout le temps.
dans ces cas là, c'est sur, avec des grosses quantité de sirop en saison, il y en a un paquet qui remonte dans les hausses...
c'est comme pour tout le reste, pour pouvoir se passer de nourrir, il faut une bonne saison avec une bonne météo, chose devenue trop rare
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- gfass
- Invitado
En fin de compte, dans un marché du miel déjà en pleine déflation, je vois bien venir le coup. Le mieux placé sera toujours le négociant qui, s'appuyant sur ses propres analyses, va minorer encore plus le prix d'achat de votre production en vous opposant simplement les résultats des analyses... sans discussion. Il peut même établir un barème pour faire propore.
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- stf
- Invitado
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- happy.bee
- Invitado
le nourrissage est peut être devenu a mon avis, une mode! car avec pompes, camions , nourrisseurs vendus par milliers cela s'est banalise a toutes les périodes et surtout au printemps pour relancer les colonies.
il est évident que les apis qui vendent a des conditionneurs ,s 'ils se voient pénalises par la présence de sucres exogènes dans leur production ,vont revoir leur copie ,comme se fut le cas pour les antibiotiques. le problème n’est pourtant pas nouveau ,mais il est subitement largement diffuse sur le national ,bien sur les conditionneurs avec cette démarche n'ont rien a perdre mais encore une fois l'apiculture risque de subir .
Mais finalement dans les productions agricoles, les évolutions techniques et surtout les nourritures industrielles ne sont-elles pas les causes de nombreux scandales sanitaires .
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- gfass
- Invitado
... Essayez avec ce lien dropbox.... on peut grossir l'image.
www.dropbox.com/sh/ma5l9inm7ex0vvx/AACYrrUARTroE5HM4bATwXYpa?dl=0
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- puyloubier
- Invitado
Qu'en penser quand le seuil de tolérance de présence des OGM est de 0.9%!!
La question n'est pas de laisser les apiculteur fralater le miel en nourissant avant les miellées ou en ajoutant du sirop dans le fut de miel, la question est de permettre au apiculteurs de nourir leurs abeilles l'hiver, de permettre le développement des colonies pour pouvoir faire du miel. Et compte tenu des changements climatiques observés, cela devient trés compliqué.
Que penser ensuite de la nécessité de fournir un miel "pur" a des artisans nougatier qui vont ensuite le mélanger au sirop de glucose pour faire le nougats de Montélimar. Cela n'a pas de sens!!
A vouloir chercher l'absolu on ne trouve que l'absurde!!!
Comme dans toute production il faut accepter une certaine "polution acceptable ", alors est ce 0.9 % comme les OGM???
Il va bien falloir mettre cette question sur la table des négociations
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- Apinoires
- Invitado
Pas forcément systématiques les remontées et donc ni mathématiques, soit dit au passage si la Langstroth se conduit en 2 corps et la Dadant avec sa 1° hausse ?..., d'ailleurs je suis assez d'accord avec Ardecho, il ne faut pas confondre nourrissement et NOURRISSEMENT ?
ardecho escribió: après il y a nourrir et nourrir, entre mettre des petits apports répétés de 1/2L ou 1/3L pour maintenir une ponte et une dynamique et remplir les nourrisseurs 1 fois par semaine pour
que tout soit déjà blindé quand la miellée arrive, il y a une différence.
bien souvent, je stimule mes colos dès la reprise (février) et je n'ai jamais eu le moindre problème ni soucis sur mes miels précoces : romarin (récolté fin avril/début mai) et le thym récolté juste après, miels que je fais systématiquement analyser, mais je précise je stimule et je ne nourris pas, !!
Et je pense aussi, puisque démontré (et donc que je n'ai pas inventé) qu'un nourrissement de stimulation n'impose pas du tout des qualités et encore moins un sirop épais, j'irai même jusqu'à prendre la liberté de dire (et ça je peux me l'approprier) que ceux qui nourriraient différemment: sirop lourd (pur ou presque) auraient soit des idées douteuses soit besoin d'apprendre leur métier, d'ailleurs je me suis toujours demandé qui avait pu avoir l'idée géniale et fort répandue du sirop 50/50, vu que aucun nectar récolté par les abeilles n'y ressemblerait ??? :silly:
Viens ensuite naturellement se rajouter les fameux "creux" ou "trous" de miellées et si on y rajoute effectivement les aléas météo avec sorties de butineuses contrariées, je comprends très bien qu'on puisse trouver réponse à nourrir toute l'année, mais si suite à cela pour certains les récoltes sont adultérées je ne les plaints pas !! :woohoo:
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- gfass
- Invitado
Je témoigne.... Je ne suis pas favorable au nourrissement et suivant ton conseil, j'ai pris l'habitude de donner une eau à peine sucrée au printemps dans un gros abreuvoir à volailles posé à quelques mètres du rucher. J'ai observé qu'effectivement, cette eau sucrée était bien prise et la stimulation de la ponte effective.
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- Apinoires
- Invitado
gfass escribió: @papynoire
Je témoigne.... Je ne suis pas favorable au nourrissement et suivant ton conseil, j'ai pris l'habitude de donner une eau à peine sucrée au printemps dans un gros abreuvoir à volailles posé à quelques mètres du rucher. J'ai observé qu'effectivement, cette eau sucrée était bien prise et la stimulation de la ponte effective.
Je te remercie et je peux rajouter pour ceux qui en douteraient ou l'ignoreraient, qu'un dosage très léger donne absolument les mêmes résultats en stimulation, mais effectivement pas le même poids aux caisses, ce qui à mon avis peut tout aussi bien se faire et très rapidement dès présence de miellée et naturellement si le volume des butineuses est bien présent lui aussi !!
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- gfass
- Invitado
Cette phrase relevée dans l'Apti'lettre a de quoi surprendre.
Le terme "'adultération" qui par définition se rapporte à une falsification volontaire motivée par une intention coupable de transformer un produit (quantité ou qualité) afin d'en tirer un meilleur prix est inadéquatement employé pour traiter du problème soulevé. Au sens juridique du terme, l'adultération est une fraude. Exemple celui qui ajoute 25% de sirop d'agave pour compléter ses fûts, commet une adultération.
Il aurait été plus adapté de parler de "l'altération" des miels induit de pratiques mal maîtrisées dans la production.
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- dom25
- Invitado
A Apinoires
A quel dosage de sucre / volume d'eau ? Je m'excuse du hors sujet Je n'ai pas voulu ouvrir un sujet juste pour cette réponse
Merci Apinoires
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- ardecho
- Invitado
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- cdsjo
- Invitado
Les seuls miels qui semblent poser problème sont ceux qui sont analysés, donc en majorité, ceux qui transitent par le marché de gros.
Les autres, on n'en saura rien et je n'en rajoute pas puisqu'on n'en sait rien.
Depuis que je suis dans le milieu, j'y ai vu apparaître une dérive qui est partie de vouloir maintenir un cheptel en état jusqu'à vouloir blinder comme le dit justement apinoires de façon à pouvoir bénéficier de chaque gramme produit lors de la miéllée ultérieure.
Lorsque la colonie développe à nouveau son couvain, elle remonte le'sucre transformé" de façon à se faire de la place.
Il n'y a pas dans cette façon de procéder de volonté de tricher mais ce mode de conduite pose problème.
Comme il n'est pas possible de maintenir les ruches en permanence sur une miellée qui donne, voilà la parade de l'apiculteur ; à trop vouloir bien faire on va au devant de problèmes.
Inutile de chercher ici une justification qui aurait pour but d'aligner les miels nationaux sur les autres ; ce sont deux marchés distincts et, dans les autres aussi on peut rencontrer des problèmes.
Le but est de mettre à disposition du consommateur un produit qui correspond à du miel et rien d'autre.
On laissera de côté les remplisseurs systématiques de nourrisseurs qui savent ce qu'ils font.
Il s'agit dans ce problème d'apiculteurs de bonne foi, qui pensent agir dans les règles de l'art et mettent à leur corps défendant, dans un premier temps au commerce puis au conso un produit non conforme
Je me doute qu'il est difficile de concevoir qu'une partie de sa production est déclarée invendable; c'est pourtant ce qui se produit.
Pour ce qui est de notre exploitation:
Le sirop est sorti des radars, donc non utilisé ; sont employés d'octobre à février des pains de candi.
Deux raisons à celà: la première est que l'exploitation a fonctionné sans aucun nourrissement il y a prés de 40 ans et qu'il y a un souhait que ça perdure.
Le seconde est d'ordre éthique.
Si je décris notre mode de fonctionnement dans ce domaine, ce n'est pas pour le poser en exemple mais pour témoigner de sa faisabilité au moins dans les régions de transhumance où les ressources naturelles sont suffisantes.
Il faut préciser que bien entendu lorsqu'il y a miellée, une partie de celle ci va occuper le corps, par conséquence pour une collecte identique, nous produirons quelques kgs de miel de moins.
Pour résumer, si on est de bonne foi et qu'on ne veut pas tromper l'acheteur, que ce soit un grossiste ou le consommateur sur le marché, il faut maîtriser parfaitement le métier pour savoir quand et comment on intervient si on nourrit.
Maintenir la ruche en état de fonctionnement Oui, nourrir un peu trop en prenant des risques, c'est vous qui voyez.
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- Apinoires
- Invitado
Oui assez bien résumé !!
Pour réponde à Dom 25,
dom25 escribió: A Apinoires
A quel dosage de sucre / volume d'eau ? Je m'excuse du hors sujet Je n'ai pas voulu ouvrir un sujet juste pour cette réponse
Merci Apinoires
Comme expliqué par Ardecho, avec environ un 1/3 de matière sèche et pour une quantité ne dépassant pas 1L, ça suffit amplement dans un but de stimulation et en bonne règle si ceci doit être rappelé, une distribution parfaite doit correspondre à un volume d'une manière à être absorbé dans la nuit, ce qui entend que les remplissages de nourrisseurs contenants ou avoisinants les 9 kg de sirop destiné à stagner plusieurs jours, voire à s'y épaissir seraient même à déconseiller et les distributions plus fréquentes à privilégier ?? (Lapalisse) :lol:
et je peux même rajouter pour le pratiquer moi même que en agissant progressivement, la partie sucrée ou % de matière sèche, peut très bien descendre encore bien en dessous 30%, toujours dans le but recherché (stimulation) , la concentration du sirop n'est donc pas du tout à rechercher puisqu'une stimulation à pour but de leurrer la colonie comme d'un soudain apport de nectar, qui déclenchera les rentrées de pollens et dynamisera aussitôt la ponte, !
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- gfass
- Invitado
Mais, avec cette analyse IRM qui semble plus pointue, ne penses tu pas que c'est un moyen de pousser le curseur un peu plus loin pour garder le contrôle des négociations?
J'observe cependant que selon ses propres analyses, les 40 échantillons de miel de montagne présentés passent le test haut la main... bravo!... Allez hop! tout le monde à la montagne :woohoo:
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- cdsjo
- Invitado
Je ne crois pas qu'il s'agisse de contrôler le miel français en particulier qui ne concerne qu'une part marginale des miels mis en pot, n'oublions pas que dans certains pays, je dis certains, la santé de leurs propres bébés vient après l'argent.
Il est de la responsabilité du conditionneur de s'assurer de la conformité d'un produit, l'image de marque de l'entreprise serait catastrophique si l'on trouvait dans le miel autre chose que ce que l'on doit y trouver.
Où je suis perplexe, c'est sur le fait que ce même mode de détection ne puisse être à disposition de l 'Etat et je sais qu'il n'y a plus de sous mais quand même !!!
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