Etude de la production française de miel et de gelée royale

Je transmets le texte de Séverine Renault aux apinautes du forum d'Apiservices.

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Lancement d’une vaste enquête en ligne auprès des apiculteurs pour mieux connaître l’état de la production française de miel et de gelée royale.

L’objectif de cette enquête, qui devrait être reconduite tous les ans en cas de succès, est de constituer un véritable outil de suivi de la production française de miel et de gelée royale, avec des analyses par région et pour les principales miellées. Cette enquête concerne l’ensemble des apiculteurs. Un tel outil, totalement nouveau pour l’apiculture française, est essentiel pour une visibilité d’ensemble de la production et de ses évolutions.

Le questionnaire, qui ne prend que quelques minutes à remplir, porte sur les volumes de production et sur la vision qu’ont les apiculteurs français de l’année passée et des perspectives à venir.

Les données sont collectées par AND International, un bureau d'études indépendant spécialisé dans l'économie des filières agricoles, sélectionné par FranceAgriMer à l’issue d’un appel d’offres public.

Les informations individuelles transmises au bureau d'études sont strictement confidentielles, y compris vis-à-vis des administrations publiques. Seules les données d’ensemble issues d'un nombre suffisant d'apiculteurs seront diffusées. Ces résultats seront transmis aux répondants à l’enquête par courrier électronique et seront disponibles sur le site internet de FranceAgriMer.

Plus le nombre de participants à l’enquête sera élevé, plus les résultats seront précis et fiables.

C’est pourquoi nous vous encourageons vivement à répondre à ce questionnaire, en cliquant sur le lien suivant :

www.sphinxonline.net/etudes_and/ObservatoireMielFAM/formulaireinternetmielgr.htm

Cette enquête sera disponible en ligne jusqu’au 31 mars 2015.

Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter Séverine Renault ou Fanny Lardier à AND International (01.45.23.18.81 www.and-international.com )

Bien cordialement,

Séverine Renault

bonsoir
moi j aimerais qu il y est une enquete aussi serieuse sur les chiffres de l evolution du nombre de ruches qui crevent, ou sont bourdonneuses, orphelines ou qui décollent pas malgré des jeunes reines et du boostage.
l evolution aussi du nombre de sans valeur que vous trouvez a chaque visite qui vont vous rater la miellée et vous donner du boulot en plus pour la sauver temps et carburant.
aussi l evolution du temps qu on passe a faire de l elevage et des divisions tout ca dans des caisses de plus en plus petites pour pas trop ponctionner les ruches en productions car faut faire du miel aussi pour faire tourner la marmite.
evaluation du temps passé aussi a demander aux agris avec quoi leurs cultures sont enrobées ou avec quoi ils vont traiter pour savoir si on met les caisses ou on se barre en courant.
bon excusez moi pour le hors sujet , de toute facon les chiffres sont connus a la louche certe mais c est toujours la meme louche!!! quand on voit la conso de sirop augmenter d années en années et la production de miel baisser on a assez precisément la tendance.a+

Merci Pierrot. L'enquête que tu proposes, est bien plus importante qu'une enquête sur la production, où, comme d'habitude dans ce genre de questionnaire, ne répondront que les bons élèves, -qui risquent le burn-out-, avec des chiffres gonflés qui faussent la réalité.

C'est comme beaucoup d’enquêtes ,nous pouvons toujours nous demander son but exact et a qui serviront ces données .
Une chose est sure cela permet a des gens de travailler dans le virtuel et de dépenser de l'argent qui lui ne l'est pas.
Car tu as raison pierrot pour nous le problème est sur le terrain .

Pierrolefou escribió: bonsoir
moi j aimerais qu il y est une enquete aussi serieuse sur les chiffres de l evolution du nombre de ruches qui crevent, ou sont bourdonneuses, orphelines ou qui décollent pas malgré des jeunes reines et du boostage.
l evolution aussi du nombre de sans valeur que vous trouvez a chaque visite qui vont vous rater la miellée et vous donner du boulot en plus pour la sauver temps et carburant.
aussi l evolution du temps qu on passe a faire de l elevage et des divisions tout ca dans des caisses de plus en plus petites pour pas trop ponctionner les ruches en productions car faut faire du miel aussi pour faire tourner la marmite.
evaluation du temps passé aussi a demander aux agris avec quoi leurs cultures sont enrobées ou avec quoi ils vont traiter pour savoir si on met les caisses ou on se barre en courant.
bon excusez moi pour le hors sujet , de toute facon les chiffres sont connus a la louche certe mais c est toujours la meme louche!!! quand on voit la conso de sirop augmenter d années en années et la production de miel baisser on a assez precisément la tendance.a+

Pour tes chiffres "à la louche" pierrot, pas mal sont connus:

1/ on à tous lu 1,5 million de caisses en moins et 40% d'apis pour ces 10 dernières années !!
2/ pour le sirop on peut lire souvent des chiffres supérieurs à la production de miel, mais je ne crois pas que le candi y soit comptabilisé ??

par contre pour les non valeur, question épineuse car très subjective, toi et moi et la plupart des pros, allons considérer des caisses que d'autres au contraire continuerons de nourrir ce qui augmentera le chiffre ci-dessus (2) et diminuera les pertes annuelles relative à la réponse (1) on ne pourra donc que rester dans "la louche" pour des chiffres qui le resteront toujours autant ??

Bonjour,
Plutôt que la louche, je serai partisan de l'écumoire, , à moins que cette "enquête" soit juste un "fond de commerce" pour récupérer un maximum d'adresses.
Pour la gelée royale, le GPGR a toutes les informations requises pour faire des réponses béton!
Pour le miel, les syndicats professionnels sont les mieux placés!
En effet, les comptabilités réelles ne laissent aucune place à l'improvisation, la situation se dégrade, les frais augmentent en achats de reines, essaims et autre sirop, la marge diminue jusqu'à.............................................. l'arrêt de l'activité.
Les services fiscaux, chambres d'agriculture, banques, à mon avis, sachant que TOUT est tracé, ont déjà une nette tendance de cette dégradation.
Alors une enquête de plus pour savoir que Marcel Dugenou a pété deux ruches au fond de son jardin, pour ensuite entendre la litanie des soit-disantes causes possible à savoir, pratiques apicoles, races d'abeilles, format de ruches, nourrissement, traitement varroas, etc.
JE NE SUIS PAS INTÉRESSÉ, NON MERCI!
Bonne après-midi.
@+

Que notre société aime compter, calculer, faire des bilan, sécuriser..........conclure......
ça alimente des emplois de bureaux, un sentiments de maitriser, de connaitre sans être sur le terrain du coup forcément les décisions prises ne sont plus les bonnes!

Après les papillons, les tritons, les fleurs sauvages, compter les pollinisateurs sauvages.......

A quand la puce sur les ruches et le code barre "kilo de miel" sélectionné avec la douchette lors de la récolte avec suivi en temps réel au ministère.......des récoltes. :silly:

Sans être désagréable, je pensais que c'étais le but de l'ITSAP de s'occuper de tout cela.

La "science" participative surtout sous traité par une entreprise semble bien mal partit et bien étrange.

lorsque l'on désire quelque chose on vient le chercher,

et encore ça c'est une enquête non obligatoire ,mais au niveau pro avez vous des études statistiques obligatoire a remplir tous les ans ?
car dans ma profession tous les ans on a une fiche statistique obligatoire a remplir qui vient de la draaf et ils sont plutôt crampons pour la récup,surtout que je la renvois jamais et j'attend qu'ils m'appelle mini 3 ou 4 fois pour leurs donner ce qu'ils veulent en leurs demandant a chaque fois si ils ont rien d'autre a foutre :evil:

Bonjour à tous.

J'ai fait un test de réponse à l'enquête à titre de déclarant "Mystère" (méthode utilisée dans le cadre de certaines enquêtes).
(Sachant qu'il y a des champs obligatoires, il faut uniquement des réponses dans ces champs - Faux noms, adresses, numéros mails, faux nombre de ruches, récoltes "bidon", mortalités, etc., etc...)

Vous allez sans problème au bout de l'enquète jusqu'au point d'enregistrement.

Ce qui veut dire que l'on peut générer des centaines, voire des milliers de réponses dans le sens de ses intentions : Pas besoin d'être un "Hacker" chevronné !

A vous d'en tirer les conclusions sur la valeur de cette enquête !

C'est pour toutes ces raisons que je ne veux ni être fliqué ni m'inscrire sur une nouvelle liste de spammeurs professionnels , NON et NON !!!

A mon humble avis :

Si vous shouaitez continuer à être subventionné ou obtenir une aide à :

L'achat de caisses vides, ruchettes, matos de manut et transhumance, achat de reines et d'essaims, et en plus avoir des ADA de plus en plus efficace avec des ingés et des appuis techniques régionaux, il va falloir répondre a de plus en plus de questionnaires...c'est de cette manière que le montant de ces subventions sont définies!

Si vous voulez que l'ITSAP, l'ANSES, l'UMT PRADE ect... continuent leurs travaux d'investigations pour savoir enfin de manière scientifique, ce qui se passe dans la ruche et son environnement et pour peut être ( en restant optimiste ) trouver les solutions; il va falloir continuer à répondre aux questions!!

Vous voulez des aides et des budgets pour lutter contre Varroas? Que les municipalités distribuent gratuitement des pièges contre Nigrithorax? Qu'elles participent aux coûts de destruction des nids pour faire baisser la pression? Vous voulez aussi que votre région vous aide en participant à la lutte contre Cynips? Vous souhaitez aussi qu'il y ait une enquête d'épandage car vous suspectez une intox sur vos colonies?Je crois qu'il va falloir que nous répondions aux questionnaires...

De plus aucun organisme n'a aujourd'hui de stats factuelles et objectives concernant la comptabilité analytique d'une entreprise apicole. Concernant l'installation aidé JA, Il est demandé un PDE sur 5 ans, impossible de trouver quoi que ce soit, aucune données comptable n'est disponible!! L'élevage de reine combien cela coûte poste par poste? rien de comptable... Un essaim, un paquet d'abeilles ect.... aucune données comptable n'existent!! Est il plus judicieux pour tel élevage d'acheter des reines ou de les faire soi-même? aucune piste factuelle, a vu de nez... a la fourchette... Alors oui, répondons aux questions!!

Quel serait l'intérêt de biaiser ce genre d'enquêtes? Des questions sont maladroites, ou difficilement proche de la réalité ou amenant des réponses approximatives ( cf Non valeurs ) faisons remonter les infos pour faire améliorer les choses!!

Marre des "faut qu'on"; des "y a cas", des "faudrait que" ..... :evil:

je pense gwendal que les données comptables ,ils les ont car la validation des bilans annuels se fait dans les chambres d'agriculture(suad) et tu le sais les chambres d'agriculture (APCA) font parties de l'itsap .
il leur suffit juste de chercher un peu
les adas aussi ont des données (elles ont monté des dossiers pour les mae et fait un audit de la filiere .
je crois que parfois il faut éviter de croire que l'on peut attraper la carotte .

Gwendal, on n'est pas au pays des "Bisounours" !

Effectivement, il y a (et il va y avoir) de l'argent qui est mis sur la table, officiellement pour sauver l'apiculture !
Mais, c'est à qui va pomper ce fric ... bien sûr la main sur le coeur pour le bien des apiculteurs, mais aussi pour le profit de quelques officines (enquêtes, expertises, recherches, formations, etc.) . On peut poser la question : Quel retour pour l'apiculteur de base ?

J'abonde doublement à ce qui a été dit : les infos existent à divers niveaux.

Maintenant, je vais répondre un peu plus séchement, quand on connait la genèse de l'affaire.
Il y a 1 mois et 1 semaine dans le post 85624, j'ai ouvert le post suivant :"Enquête Production de miel et de gelée royale 2015" (la différence : le mot enquête a été remplacé par étude).
A l'époque, il y a eu 0 réponse et je ne peux pas croire que personne ne l'ai pas vu.
A priori au départ pour cet organisme enquêteur, l'objectif était de récupérer les fichiers des déclarations téléruchers (pour obtenir les adresses, numéros de téléphones et adresses e-mai), puis ils se sont retournés vers les associations et les syndicats départementaux (en arguant d'une mission officielle) pour obtenir leurs fichiers adhérents. J'ai en tête la réponse d'un syndicat départemental, qui a répondu : Si c'est une mission publique, j'attends le courrier de la DDPP pour nous présenter le projet. A ce jour, ce syndicat attend toujours le courrier de la DDPP, Devant les difficultés de la récupération de fichiers globaux (et pour des raisons juridiques majeures) j'annonçais qu'ils allaient solliciter Apiservices. Donc, dans ce cas, on est dans une stucture ouverte et ceux qui répondent sont des volontaires. Cela pourra être un apiculteur, un simple citoyen plus ou moins concerné et aussi pour ceux pour qui les apiculteurs sont des empêcheurs de tourner en rond (exemple : semenciers, entreprises phyto, etc.). Donc, ce genre d'enquête peut être orientée, alors que les données officielles existent à titre d'exemple dans les Chambres d'Agriculture, la MSA, les Services fiscaux, etc.. Par contre, il faut exploiter ces données et les traiter statistiquement.

A Agrimer, il y a sans doute personne de capable de le faire ?

A partir de la manière, dont cette enquête a été montée, je ne cache pas ce que je pense de tous ces organismes qui sont à l'affût de l'argent public.

télérucher, chambre d'agriculture, franceagrimer, ministère de l'agriculture, DDPP, ITSAP, ADA, institut de l'abeille, GDSA, c'est le millefeuille administratif,
on est obligé de prendre des consultants et des boites de sondage pour faire des enquêtes nulles qui pourraient être bien meilleure et fait avec ce que l'on a déjà.

bonsoir
le jour ou les pouvoirs public nous enverront un signe fort pour nous prouver qu ils arretent de nous prendre pour des c ^ns :evil: ,
je pense qu a partir de ce moment la ils pourront compter sur nous ou du moins sur moi.a+

Pierrolefou escribió: bonsoir
le jour ou les pouvoirs public nous enverront un signe fort pour nous prouver qu il arrete de nous prendre pour des c ^ns :evil: ,
je pense qu a partir de ce moment la ils pourront compter sur nous ou du moins sur moi.a+

pour toi et moi qui sommes des vieux bancs ça sera juste de tout voir, mais par obligation, j'en parlais aussi bien avec le gars de l'Adapi que avec Eric, (qui vient de faire construire un bâtiment de 500m2) les choses vont beaucoup changer !!!

pour exemple, ils ont vite étouffé leur réforme fiscale, sous forme "on touche pas à l'apiculture pour faire des vagues en ce moment" !!!

là j'ai un ami Architecte (blindé de tunes) qui vient d'acheter pour son fils un domaine sur le plateau (180ha dont 170 en lavandes) il m'a appelé pour me le dire et me demander si c'était normal que toute la journée, des apiculteurs téléphonent pour demander les emplacements ???
pour bien te dire que les jeunes qui ont envie de travailler y'en à encore !!!

PS: à mon pote déjà je lui ai expliqué qu'il réponde qu'on verra plus tard et qu'il ne savait pas si il allait faire un camping ou faire planter des truffiers !! :lol:
tu parles, si j'ai besoin de faire plaisir à quelqu'un, ça c'est pas un truc qui te tombe dessus tous les matins !!!

Afin que l'on ne m'accuse pas d'avoir un avis négatif par principe, je vais décortiquer le questionnaire.

Page 1. Présentation générale en justifiant cette enquête par rapport aux difficultés rencontrées ces dernières années pour l'apiculture.

Page 2. Fiche d'exploitation avec l'identité et le code postal.
Les numéros Numagrit et Siret ne sont pas obligatoires. Donc, n'importe qui peut répondre, même pas besoin d'être en France !
- Le nombre de ruches mise en hivernage 2013/2014.
L'accès aux fiches suivantes est fonction de la réponse sur l'activité que vous faites (miel, pollinisation, etc.)

Page 3. Production de miel.
- La quantité totale produite en 2014.
La suite est facultative.
- Le nombre de ruches mises en production au printemps. Attention à l'amalgame : la différence avec le chiffre mis à l'hivernage ne veut pas dire : pertes. (Exemple de celui, qui va faire en auto-production de élevage précoce - essaims artificiels)
- Les productions par type de miels
- Le type de commercialisation : pot ou vrac. C'est un peu succint ! (on occulte les circuits de commercialisation : vente directe, marché, magasins, etc...)
- Les évolutions de production et de cheptel depuis 2010

Page 4. Fiche - Opinion - Fiche facultative.
- Avis sur votre production (Mauvaise, Passable, Moyenne, Bonne, Excellente)
- Avis sur votre avenir (Très pessimiste, Pessimiste, Neutre, Optimiste, très optimiste)
- Avis sur la filière (les mêmes critères que la précédente)
On est dans le subjectif !

Page 5. Option facultative pour être destinataire de la synthèse.

Si, on ne tient pas compte de ce qui est facultatif, on a que 2 informations, avec une fiabilité faible, puisque l'on sait pas si les réponses proviennent d'un producteur ou de quelqu'un d'autre, puisque le système est ouvert à n'importe qui (sans le verrou du fichier N° DDPP, soit N° Département +0 - N° d'apiculteur dans ce département). :
- Le nombre de ruches mise en hivernage en 2013/2014 et la production globale de Miel (GR, etc. pour les autres options)

Les données de cheptel sont parfaitement disponibles et bien plus précises (verrouillage par le N°DDPP) avec Téléruchers avec en plus une localisation géographique. Il y a matière à faire de multiples analyses.
- La mobilité qui est dorénavant la base de l'apiculture (transhumances, déplacements des ruches, etc..) n' est pas prise en compte.
- Les pertes ne sont pas comptabilisées

Pour une enquête avec l'objectif d'identifier les difficultés de l'apiculture, on ne voit pas :
- Le taux de renouvellement des reines, etc...
- Les éléments qui pourraient donner des indicateurs majeurs au niveau des exploitations (pour les déplacements ; Km/ruche, pour les nourrissements : quantité d'apport/ruche avec le ratio nourrisement/miel, le temps de travail/ruche, etc., etc. Il y aurait tant de chose à analyser !

Pour ceux qui connaissent, les enquêtes GEM que nous avons depuis fort longtemps et à espaces réguliers avec de multiples paramètres, la question peut se poser :
Quel intêret pour une telle enquête ?
Même, si on me dit qu'elle n'est pas trop chère, je répondrais, qu'elle est encore trop chère, sachant qu'en plus AGRIMER est censé avoir ces informations.

Ou alors, le fait d'avoir supprimé la gestion des fichiers d'apiculteurs faite auparavant par les DSV (tenue du fichier et gestion des déclarations annuelles), le transfert vers les DDPP pour le fichier et le traitement des déclarations "papier" par délégation de service aux GDS + la télédéclaration par téléruchers et l'absence d'analystes à Agrimer, on soit devant un fiasco magistral.