Le Rush sur les ruches + Analyse de la production de miel 2015
- centrevar
- Invitado
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- gfass2
- Invitado
C'est sur que la modalisation profite plus au négociant qu'au producteur...du moins dans ce domaine.
Un question qui me turlupine .... comment espérer relancer la filière apicole française dans ces conditions qui de mon point de vue ne peuvent que s’aggraver dans l'avenir. :sick:
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- morgan
- Invitado
le miel hors zone UE doit etre clairement indiquer et pas en tout petit sur l'étiquette car la tromperie pour le client qui est pressé aujourd'hui est vraiment bien mise en oeuvre.je pense que le prix du miel cette année est un bon compromis entre producteurs et consomateurs et avec un bon étiquetage on peut écouler 20 000t de notre miel français a mon avis cdsjo. pour l'export j'avais un bon débouché sur l'angleterre et l'allemagne,danemark et pays du nord peuvent etre des marchés intéressant pour celui qui s'en donne la peine car ils ont un bon pouvoir d'achat notamment la finlande et la norvege
a nous et a nos syndicats de mettre un étiquetage sérieux
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- apipaca
- Invitado
et il suffirait de très peu pour que les choses change, il suffit de regarder pour le vin ou les alcools ou tout est devenu limpide !!
que demain on impose seulement que le mot "miel" soit dans les mêmes caractères que CEE et plus précisément pour le reste du contenant si c'est chinois ou d'Amérique du sud, ou encore des deux ??
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- th1164@gmx.com
- Invitado
du luy escribió: à th1164 ,
Tu as bien raison . Parce que la logique actuelle , c'est moins on produit , plus on gagne .
a cours terme , oui, mais
Je serai plus nuancé.
Mon point de vue est que chaque partenaire y gagne son compte en jouant le jeu.
ceci implique un cours du marché du miel plus harmonieux qui progresse sur du long terme et non chaotique passant de 1 € ( crise chinoise) à 10 € le kg ( "0" production ) depuis ces 30 dernieres années.
@ gfass
Un des problèmes de fond :
1) La population vieillissante de la profession / production de miel
Comment un jeune apiculteur pro peut il vivre de sa profession s'il n'a pas un soutien extérieur (salaire de son épouse par exemple) ?
La formation diplomante d'un jeune apiculteur ( 9 mois pour un bprea avec 1 mois de stage en entreprise ! ), on commence aujourd'hui à le palier par une formation suplémentaire en élevage de reine à Mazaugue ( meme si certains grincheux parmi nous, veulent tuer le "bébé dans l'oeuf " problème d'ego malheuresement !).
J'espère que les autres Cfppa vont suivre.
Une alternance en entreprise sur 2 ans ne serait elle pas plus adéquate ?
Un des problemes de fond parmi tant d'autres vient du forfait / réel
Le C.A des apis au forfait n'a pas été révisé depuis plusieurs décennies et il est basé sur 2 ans (système trop rigide au lieu de le baser sur 5 ans par exemple ).
Ceux qui a eu pour indicence en 2014 des blocages de vente de stock de miel dans certaines exploitations.d'ou une perte de marché chez les négociants qui se répercute aujourd'hui.
La retraite entre forfait / réel , peu de difference, c'est comme les "avantages du rsa / smic" ( c'est une mauvaise image mais je ne trouve pas mieux, désolé ! le paradoxe y est entre guillemets), d'ou une préference pour le forfait parmi nous.qui entraine une difficulté de reprise d'une exploitation par un jeune api par l'achat d'un capital.
D'autres jeunes créent leur exploitation( quel est le taux de réussite ? un sur trois ...
2) Manque d'information et de formation diplomante ainsi que le respect de l'abeille.
J'ai été témoin de cette situation.
Aujourd'hui, un nouveau parametre se révele, la paupérisation et une individualisation de notre société:
Beaucoup de personnes voient dans l'apiculture un Eldorado d'un revenu ou d'un revenu complémentaire ( toutes tranches d'ages confondus montent leur cheptel afin de "joindre les deux bouts" ou pas, et vendent leur miel sans connaissance du marché.
je ne leur jete pas la pierre. C'est un constat !
Cette situation risque de nous amener a une crise sanitaire par l'abandon de leurs ruches dans le temps.
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- apipaca
- Invitado
Tu es sur de ne pas tout mélanger ??...., que vient faire la formation dans l'analyse de la production 2015 ??
qu'un api soit très bien ou mal formé pourra (peut être) lui changer le volume de sa récolte, mais ne lui fera jamais vendre son "toute fleurs" à 8,00€ le kg si le marché est à 5,50€ ce qui est insuffisant et même si le gars à fait plusieurs stages pour apprendre à élever des reines, ça n'en fera pas pour autant un surdoué, il faut moins de 2 heures chrono à quelqu'un qui à une bonne vue et un cerveau normal pour avoir saisi le greffage et l'élevage des reines, par contre pour savoir juger d'un résultat et fixer une sélection, parfois il faut des années et ça je doute que ça puisse s'apprendre à l'école ??
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- th1164@gmx.com
- Invitado
si tu as de bonnes bases dans l'elevage et la capacité d'évaluer rapidement la reine.( C'est pour cela que je propose les formations s'effectuent sur deux ans en alternance ) , je pense que c'est la clé de la production, par conséquent tu as plus de chance de faire + de volume et de tirer un minimum de revenu a la ruche avec un cours minimun garanti du miel( d'ou le partenariat avec le négociant ) surtout lors des premieres années d'une creation d'une exploitation.
Dans un premier temps, on mise sur des productions de grande culture afin d'augmenter ton cheptel et garantir un minimun de production
Le seul facteur chance que l'on ne maitrise pas , c'est la meteo
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- happy.bee
- Invitado
si je devais conseiller un jeune ,je lui dirais plutôt de chercher une région de diversité et de valoriser .
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- ardecho
- Invitado
c'est sans doute pour cela que beaucoup d'autres fillières agricoles ont laissé à d'autres le soin de commercialiser
leur production; on voit le résultat, ils travaillent à perte et survivent avec des subventions
ceux qui travaillent en couple avec l'un qui produit et l'autre qui se concentre sur la vente ont fait un bon choix je pense.
j'en connais chez qui ça marche du feu de dieu !
après un marché c'est compliqué, chaque région est un cas particulier, chaque production aussi...
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- du luy
- Invitado
Je savais déjà depuis 3 mois ce qui allait se passer lorsque nous écrivions ces lignes d'échanges . Je ne suis pas trop dans les états d'âme mais franchement , demander du miel français en 2014 et le refuser en 2015 uniquement parce qu'il ( parait -il ) y en aurait trop .
Il aurait été judicieux que le négoce envoie un courrier informatif aux apis fournisseurs en leur disant que la récolte était bonne et qu'il ne pourrait pas prendre tout ce miel .Les apis se seraient alors organisés pour stocker ce miel afin de ne pas sentir un rejet froid à la limite du méprisant .
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