Si depuis 2014 , l'esprit libéral à fait fondre la Pac , il n'est pas difficile de voir des marchés qui s'effondrent de maniére répétitive .
L'exemple de la production laitiére est significatif et visible . Ce sont 5% des producteurs français qui ont disparu en peu de temps .
Pour endiguer ce phénoméne , de nouveaux systémes de régulation vont etre mis à l'étude sous forme d'une épargne de précaution . Bon prix , on ne touche pas à la cagnotte , prix bas , on compense par cette épargne obligatoire soutenue par les fonds publics . Cette idée que j'avais émise , mais plutot par le privé ( négociants volontaires ) de proposer un prix plancher ( ex; 4 euros pour le colza ) permettrait à l'api d'étre sur de toucher ce revenu .
Tous les apis n'ont pas 20 , 30 ou 40 ans d'apiculture dérriére eux et donc de trésorie . Ce groupe de réflexion Momagri pourrait bien changer la donne au niveau des fluctuations des cours et ainsi rassurer les producteurs avec un revenu compensateur issu de leur cotisation .
Revoir dans le sujet de Gilles " Rapports sur le marché international du miel ", mon message n° 113998 , je m'en rapprochais , dommage que le privé n'ait pas saisi l'importance d'un tel dispositif sécuritaire pour l'ensemble de la profession .
Bonjour !
Ton idée est bonne.
Ici, ce qui se développe actuellement, ce sont les parrainages, avec du miel en contrepartie. Venant des particuliers et des collectivités locales ces parrainages permettent aux professionnels d'assurer à une partie de leur miel un prix de l'ordre de 15 à 20 euros le kg.