3. InterApi - Vos propositions projets de recherche (sanitaire, sélect., etc.)
- Gilles Ratia
- Autor del tema
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- frederic64
- Invitado
Mais on peut déja trouver quelques pistes
Pour moi augmenter les surfaces agricoles biologiques,en effet les abeilles meurent forcément de pesticides et donc peuvent moins produire de miel.Avec l agri bio on élimine une partie du problème des pesticides.
Faire encore et encore de la formation sur le sanitaire et les maladies de la ruche.Chaque apiculteur doit maitriser la question sanitaire.
Financer un institut qui réponde aux problèmes de ces maladies avec une contribution des apis mais avec des comptes a rendre également de cet institut et de l information sur les travaux en cours
Remboursement ou aide par l état des produits combattant ces maladies (varroas etc)mais aussi concernant le frelon asiatique je pense que beaucoup d apis amateurs par difficulté d approvisionnement ou meme financières prennent le risque de ne pas traiter et donc de contaminer aussi leurs collègues.
Subventionner les agris ou du moins les motiver a ensemencer des engrais verts melliferes
Développer les ruchers écoles ou les formations agricoles avec des modules d apiculture
Inciter les gros conditionneurs francais a acheter francais
Faire un miel de qualite pour également valoriser ce miel a l exportation
Et surtout que chaque apiculteur s implique et donne son opinion sur tous ces sujets en étant constructifs
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- ardecho
- Invitado
perso en 2012, 2016 et 2017 c'est la météo hors-norme qui m'a plombé ma production...
en 2015 avec des conditions correctes les récoltes étaient au rendez-vous, en 2017 pas de pluie, pas de miel...
si l'interpro peut trouver une dance de la pluie efficace...
plus sérieusement je pense que c'est sur ce point là qu'il y a le moins de marge de manoeuvre :
pollution chimique + diversité florale en berne + météo extrêmes = récoltes en chute libre !
on a beau être formé, avoir les abeilles sélectionnées, s'il fait 40°C et que tout est grillé les hausses restent vides
les solutions doivent venir de la société tout entière.
mais c'est sur que si on pouvait diminuer les phyto ce serait déjà un grand pas, faudrait en parler à la fnsea :whistle:
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- frederic64
- Invitado
favoriser des semences :exemple certaines semences de sarrasin sont melliferes et pas d autres
Travailler avec les communes,j ai vu récemment que des communes avaient le label ami des abeilles(apicité) c est un bon début et cela doit etre dévelloppé
En bref déja commencer par augmenter la biodiversité le potentiel mellifere et diminuer les pesticides.Et pour en arriver la il faut développer l agriculture bio et ne pas arreter les subventions.
En cela l agriculture biologique ne peut etre que bénéfique aux apiculteurs;
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- Dupas
- Invitado
En 2000 les varroa étais bien présent mais ça niellais ...
IL faut repenser a des systèmes agricoles ou les abeilles peuvent trouver de quoi ce mettre un truc sous langue...des semences plus mellifère...
La plantation d'arbres d'essences mellifère voir d’essences étrangère, avec la participation d'ONF pour anticiper sur les conséquences du réchauffement climatique.
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- puyloubier
- Invitado
Par contre inciter les plants de gestion qui protège et favorise les arbres mellifères, ce sont des actions a mener localement en concertation
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- max16380
- Invitado
moi j'en ai ras le bol de me faire raquetter par toutes ces charges, a peine tu met 3 sous de coté on t'en demande 4
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- max16380
- Invitado
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- frederic64
- Invitado
Evidemment que semer du sarrasin a coté d un plateau de lavande est contreproductif mais tu as bien compris que c est un exemple et la lavande ne pousse pas non plus dans toute la france.Le miel francais ne se résume pas a la lavande
Si le miel de sarrasin se vend mal c est peut etre qu il faut le valoriser et proposer une offre plus diversifiée également de miel.
La région PACA a la lavande,je pense que des régions de l ouest seraient bien contentes d avoir des semences de sarrasin vraiment melliferes et de travailler sur ce miel
L idée par cet exemple n est pas de se cantonner au sarrasin mais de faire en sorte que le potentiel mellifere sur le territoire soit plus important et bien évidemment a des périodes qui n entrent pas en concurrence avec des miels que l on peut vraiment valoriser et qui se vendent facilement.
Favoriser et protéger les arbres melliferes est une tres bonne chose mais n oublions pas le potentiel des grandes cultures.Inciter ce genre de cultures sans faire n importe quoi comme tu le dis si bien est réalisable si c est fait en concertation avec tous les acteurs et avec une approche globale
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- ardecho
- Invitado
il est intéressant de voir que les problèmes de production pour certains api viennent bien du milieu et non pas des abeilles en elles même ou des pratiques apicoles.
et c'est exactement mon avis !
n'importe quelle colonie d'abeilles en milieu favorable prospère et donne du miel. une colonie sélectionnée et bien conduite dans un milieu hostile stagne et donne peu...
mais si l'idée, honorable, de dire puisque le milieu est pourri, progressons en conduite de ruche et en sélection afin de pouvoir produire malgré le milieu pourri, peut paraitre bonne en au premier abord; je pense que ce n'est pas du tout la piste à suivre. et voici pourquoi :
pour qu'un programme de sélection soit efficace il faudrait que toutes les reines de toutes les ruches du pays soient issus de ce projet.
il faudrait donc que tout le monde, même les amateurs, soit partie prenante du projet et donc il faudrait fournir des reines fécondées à tous les apis du pays.
il faudrait aussi arreter d'importer des reines et des essaims, vaste programme !
il faudrait encore s'assurer que des souches "sauvages" ne viennent polluer la génétique choisie.
et encore, même si cela fonctionnait, quelles sélections ? à partir de quelles souches ? sélectionnées par qui ? selon quels critères ? une seule souche pour toutes les régions/climats de France ?
ça me parait plus qu'utopique !
même si l'on se contente de fournir des reines fécondées aux pros, ça veut dire qu'il leur faudra équiper 100% de leur cheptel avec des reines fournies par des éleveurs "officiels" sinon, en cas de supercédures ou d'essaimages, quid de la nouvelle reine...? et à quel prix tout ça ?
en plus je ne pense pas que nous (humains) soyons apte à gérer totalement la génétique des abeilles... ça pourrait vite tourner très très mal !
concernant la conduite des ruches et l'aspect sanitaire je pense que globalement le niveau des apis n'a jamais été aussi élevé et l'offre de formation aussi importante
(ADA, rucher-écoles, sites internet, formations diverses...) on n'est plus au temps ou on soupoudrait le couvain avec des antibio et où l'on traitait le varroa avec des lanières maisons...
evidemment on peut toujours progresser mais il suffit de voir à quel point il faut être au top à ce niveau là pour continuer d'exister, pour comprendre que les apis ayant encore un cheptel efficace sont forcément compétent en la matière.
encore une fois, quand la météo est bonne et qu'on a des emplacements à peu près sains, les récoltes sont là et les colonies sont belles. on sait profiter des bonnes conditions !
donc oui il faut améliorer l'environnement et les abeilles iront mieux sans que l'on ai besoin d'avoir bac+12 en élevage/sélection.
agriculture bio, agro-foresterie, permaculture, jachères fleuries, fauchage tardifs, plantations d'arbres et de haies vives, voilà ce dont nous avons besoin !
tout ça doit se faire avec les agriculteurs, les propriétaires terriens, les conseils municipaux, l'ONF, etc...
et bien sur des semences mellifères plutôt que des semences "enrobées"... et des variétés anciennes rustiques capables de se passer de traitements phyto !
on a le savoir faire, reste à prendre le taureau par les cornes...
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- ian
- Invitado
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- frederic64
- Invitado
Commencons par la base,quand on construit une maison on commence par les fondations,la c est pareil l élément le plus important est la nourriture pour les abeilles, donc la quantité de fleurs disponibles tout au long de l année ,donc la biodiversité.(a moins de nourrir avec deu sirop mais ce n est pas le but recherché)
Travaillons sur cette biodiversité pour les abeilles et les autres insectes soit individuellement soit pourquoi pas par le biais de l interprofession et ce sera déja un grand pas d effectué.
Ce n est pas un discours d écolo bobo etc mais juste du bon sens.
Encore une fois travaillons avec l agriculture biologique ou du moins raisonné qui est l avenir .Moins de pesticides donc moins de mortalité d abeilles .
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- ian
- Invitado
Ici, on conserve des bandes de luzerne en fleurs pour les butineurs. Les couverts intercutures sont sur l'ensemble des parcelles, avec au moins une crucifère et une légumineuse minimum dans le mélange
Des jachères sont en phacelie , en concertation avec les apiculteurs pro.
Du sarrasin est mis en dérobé, sans phyto. Des haies sont plantées. Une relation intelligente entre les utilisateurs de l'espace semble être mise en place, pourvu que ca dure !
Le problème avec le sarrasin , vu ce qu'on produit, c'est qu'il va falloir se relever la nuit pour manger des crêpes si ça continue !!
Pour l'agriculture bio: CA résout un peu le probleme produits phytosanitaires ( des insecticides bio sur cultures sont de véritables lance flammes) , mais ca ne fait pas crouler les ruches sous les abeilles pour autant car l'agriculteur bio moderne desherbe ses parcelles de maniere efficace. Il n'y a guere plus de fleurs à butiner dns une parcelle bio que dans un champ conventionnel .
Et comme le bio ne fait pas de betteraves , on ne profites pas de la floraison de la mercuriale en septembre.
Et comme les bios ne sont pas très enclins a faire des cultures intermédiaires pour des raisons techniques , ya pas a bouffer en plein été pour les abeilles comme dans les parcelles conventionnelles qui elles portent des melanges d’espèces depuis la fin de la moisson..
Donc , il faut favoriser la technique de l'agriculture de conservation des sols : ca conserve aussi les abeilles , mieux que le bio à mon sens
Faire une étude dans ce sens , pourquoi pas .
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- frederic64
- Invitado
Je n ai pas l impression de tirer a boulets rouges sur les agris au contraire je pense qu il faut travailler avec eux .Apiculture et agriculture sont étroitement liés.C est juste contre un certain systeme d agriculture intensive peut etre nécessaire car il faut bien nourrir la population mais qui je pense a fait du mal a l apiculture.
Je pense notamment a la destruction des haies,selon l INRA :
En 1975:1244 110km de haies
En 1987:707 605km de haies soit une perte annuelle environ de 45000 km de haie
Depuis le ralentissement est bien moindre il est vrai mais il faut rattraper le retard durant ces annees de suppression de haies.
Vous pensez sincerement que ce sont les pratiques apicoles qui sont moins bonnes qu avant et qui fait que l on produit moins de miel?
A mon avis il faut travailler sur les maladies (varroa etc...)d ou l interet de l itsap,le frelon asiatique et la biodiversité pour produire mieux et plus?Ensuite on aura tout le temps d affiner.
Après c est bien de le dire mais il faut savoir comment et donc echanger
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- ardecho
- Invitado
chez moi il n'y a pas de champs, uniquement des vergers et des vignes et c'est pas du tout la même affaire...
je ne tire pas à boulets rouges pour autant mais bon pas grand chose à becter pour les abeilles là dedans, par contre oui les phytos sont un problème.
sur les vignes, quasiment pas de bio et ça traite à tout va !
autre problème, les insecticides et larvicides utilisés dans et autour les bâtiments d'elevage.
les problématiques ne sont pas les même partout. en zone de montagne ou de piémont c'est différent, on ne peut pas compter sur les cultures pour faire du miel.
en plaine tu as raison, d'ailleurs l'apiculture a connu un grand boum et s'est professionnalisé avec l'apparition des grandes monocultures de plantes mellifères, le tournesol et le colza en particuliers. donc il faudrait refaire ce genre de coopération agri/api.
en fait c'est pas d' une interpro pour chaque filière qu'il faudrait, c'est une interpro commune à toute l'agriculture car tout est connecté : culture/élevage/apiculture + le négoce et la grande distribution, tout est lié.
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- ian
- Invitado
Maintenant , des bocages , y'en a pas partout sur le territoire français: la Champagne, la Picardie (sauf la Thiérache) , la Flandre, la Beauce n'ont jamais été des bocages par exemple.
Je n'ai pas dit que les pratiques apicoles étaient fautives . Ou avez vous lu que j’écrivais ce genre de chose ?
Pour en revenir aux pratiques agricoles , chaque système doit être réfléchit avec la composante abeille . Ne pas croire que la France agricole est uniforme ! Elle est complexe .
Un exemple : le pâturage. Avant , on était toujours à la bourre pour faire les foins , pour changer de pâture, car tout se faisait à l'os et personne n'y voyait à redire. Les abeilles et autres butineurs avaient des fleurs prairiales à volonté de part ces fauches et pâturages tardifs .
Maintenant, les laiteries veulent du taux protéiques dans le lait, pour nos chers consommateurs. Ils veulent du propre, du pas cher , du régulier pour leurs usines.
Alors les techniques ont changées: fauches précoces avec du gros matériel, pâturage tournant réglé au millimètre pour que la vache mange de l'herbe . au même stade...et plus à bouffer pour les abeilles !!!!.
Il n'y a pas de phytosanitaire dans cette affaire. juste une adaptation de l'éleveur à la demande du consommateur via sa laiterie qui fait disparaître la ressource florale. On fait comment pour remédier à cela? Le poids Economique du miel comparé celui du lait..... donc de la concertation nécessaire .
L'interprofession des apiculteurs , de part son existence ,va pouvoir aller causer et échanger avec ses copines inter profession agricoles concernées .
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- frederic64
- Invitado
Je n ai jamais dis que tu pensais que les pratiques apicoles étaient fautives et tu n as effectivement jamais dis cela.
Je veux dire que je ne pense pas que les pratiques apicoles soient moins performantes qu avant et que l on a surement meme evolué.Mais si la baisse de production n est pas du aux pratiques apicoles ,que reste t il alors comme cause?
Peut etre une moins bonne biodiversité qu avant...et les maladies.
En parlant de ton exemple de fauche précoce etc...,nous sommes d accord qu une certaine agriculture a été négative pour l apiculture.
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- ian
- Invitado
Ici, on a fait un vrai travail d'identification des points faibles pour les abeilles , et les résultats sont bons , puisque les api extérieurs viennent transhumer chez nous en été , et sont accueillit à bras ouvert par les agri qui mettent à disposition des jachères, des bordures de bois.
.Bon , petit hors sujet: quand les api promettent du miel à l'agriculteur qui accueille , la moindre des choses serait de lui donner.... Les api n'ont pas toujours un comportement exemplaire et ça commence à se savoir dans la plaine . Faites un effort les mecs: respectez vos engagements!!! ( fin du hors sujet)
L'interpro apicole sera un vecteur de communication avec les autres interpro agricoles . Ils faut les prendre toutes une par une et construire des schémas cohérents et opérationnels pour chaque système: vigne, pâturage, grandes cultures , vergers .
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- ardecho
- Invitado
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- ian
- Invitado
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- stf
- Invitado
www.mathieua.fr/blog/2016/02/21/quelle-apiculture-pour-labeille/#sthash.JJljGuyW.iW6esyGu.dpbs :)
(pour les consommateurs n'ont jamais rien demandé, ils consomment juste les produits proposés .........)
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- ian
- Invitado
Pour info, regardez la notion du dernier paysan socialement necessaire qui est une notion centrale depuis des siecles dans notre organisation humaine
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- gfass
- Invitado
il faudrait donc que tout le monde, même les amateurs, soit partie prenante du projet et donc il faudrait fournir des reines fécondées à tous les apis du pays""
Je ne suis absolument pas d'accord. Ce serait une grave erreur. Imaginons qu'une faille apparaisse dans la génétique d'une telle sélection... tout le monde au tapis.
Je pense le contraire, c'est la diversité génétique qui laisse une petite chance à l'abeille de s'en sortir.
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- ardecho
- Invitado
gfass escribió: @ardécho.... Tu dis ""pour qu'un programme de sélection soit efficace il faudrait que toutes les reines de toutes les ruches du pays soient issus de ce projet.
il faudrait donc que tout le monde, même les amateurs, soit partie prenante du projet et donc il faudrait fournir des reines fécondées à tous les apis du pays""
Je ne suis absolument pas d'accord. Ce serait une grave erreur. Imaginons qu'une faille apparaisse dans la génétique d'une telle sélection... tout le monde au tapis.
Je pense le contraire, c'est la diversité génétique qui laisse une petite chance à l'abeille de s'en sortir.
mais justement Gfass, c'est ce que je voulais dire !
j'ai d'ailleurs précisé que je ne pensais pas qu'une sélection humaine sur tout le cheptel puisse être sans danger.
c'est pour cela que je suis contre que l'interpro s'occupe d'un plan de sélection national qui aurait pour but de tenter de remonter la productivité des exploitations en refilant des reines F1 ou pire des inséminées, à tout le monde.
comme tu dis, vive la diversité génétique !
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- chouchie
- Invitado
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- ian
- Invitado
Élaborer une liste de bonnes pratiques d’hygiène au rucher et à la miellerie avec pour objectif un auto agrément sanitaire vérifiable par échantillonnage d'exploitations .
Le miel origine France aurait ainsi une sorte de label sanitaire garantissant que la chaîne de prod a respecté les mesures hygiéniques nécessaire pour garantir que le miel français est safe.
Méthode simple car basée sur la confiance et l'auto diagnostic, avec des contrôles possibles pour valider le fait que l’agrément sanitaire est bien valide
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- max16380
- Invitado
l'idéal serrait de tester un département en complete agri bio ou naturel et de voir sur qq année l'evolution...
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- ardecho
- Invitado
mais je pense pas non plus que le problème ne vienne que de nos reines.
les pesticides et leur résidus se baladent dans la nature, ils peuvent aller très loin vu qu'on en remet une couche tous les ans.
le vent, la pluie, tout le territoire est contaminé jusqu'au fin fond des bois et des montagnes !
tu sais qu'on a retrouvé des pcb au fond de la fosse des mariannes au milieu du Pacifique et aussi du pesticide en Antarctique...
chez nous en France il y en a partout, même dans les cheveux et les urines des gens, alors imagine les abeilles !
pour moi les reines qui tiennent que 1 an ça vient de là
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- mathieua
- Invitado
Sur la sélection je crois qu'il faut garder les pieds sur terre... Il est à ce jour ni souhaitable ni applicable de "diriger" de quelques manières que ce soit la génétique des apiculteurs.
En revanche on peut sans doute (ça se fait déjà en interne et sans bruit) organiser localement les choses en faisant causer les gens entre eux (conservatoires et apis en buck, par exemple...)
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- puyloubier
- Invitado
ian escribió: Au niveau hygiène de la production de miel , il faudrait travailler sur l'élaboration d'un auto diagnostic hygiène pour l'exploitant car l'apiculture produit un aliment destiné à l'alimentation humaine.
Élaborer une liste de bonnes pratiques d’hygiène au rucher et à la miellerie avec pour objectif un auto agrément sanitaire vérifiable par échantillonnage d'exploitations .
Le miel origine France aurait ainsi une sorte de label sanitaire garantissant que la chaîne de prod a respecté les mesures hygiéniques nécessaire pour garantir que le miel français est safe.
Méthode simple car basée sur la confiance et l'auto diagnostic, avec des contrôles possibles pour valider le fait que l’agrément sanitaire est bien valide
voir les guides des bonnes pratiques édités par l'ITSAP
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