Préparer l'hiver

ben " super "
j'ai visité la Floride il y a un peut plus de 20 ans un paradis pour abeilles
je crois que actuellement il reste plus grand chose

happy.bee escribió: je vais être hors sujet mais je ne comprend pas votre truc .A la base on va vers l'apiculture par curiosité parce qu'on est attire par les abeilles ensuite on est pro ou on est amateur quelle est la différence ?
La passion est la même !!!
maintenant les critère de rentabilités lies au fait d'en vivre et bien moi je m'en passerai car oui j’étais heureux quand je passais des heures a observer mes ruches a rêver .
aujourd’hui je cours, les journées et même les années sont trop courtes, mon dieu comme j'aimerai chauffer a nouveau la pierre devant une ruche en observant un soleil d'artifice .

voila tun l'as compris la différence, les pros ils se chauffent au soleil l'hiver pas en saison devant les ruches pas le temps, et pour la même raison ils ne se déplacent pas pour rien sur un rucher, en fait plein de chose qui font que non finalement les ruches ne sont pas conduites de la même façon. Celui qui n'a pas compris cela n'est pas un vrai professionnel (au sens de la recherche de la rentabilité, ouh le vilain mot !!!)

le nourissement dépends aussi beaucoup de la race d'abeille
une cecropia ou une noire ne peut absolument pas etre comparé a une buck ou encor moins aune carnica, les comportement sont presque a l'opposé.

donc difficile de généraliser, mais ce qui est sur est qu'une colonie doit avoir pour l'hivernage: suffisament d'abeilles et de nouriture, etre en bonne santé et avoir une bonne ruche sur la tete pas besoin d'isolant on rappeleras que l'ennemi c'est l'humidité et les courant d'air, les abeilles chauffent la grappe pas la ruche.

maya escribió:

happy.bee escribió: je vais être hors sujet mais je ne comprend pas votre truc .A la base on va vers l'apiculture par curiosité parce qu'on est attire par les abeilles ensuite on est pro ou on est amateur quelle est la différence ?
La passion est la même !!!
maintenant les critère de rentabilités lies au fait d'en vivre et bien moi je m'en passerai car oui j’étais heureux quand je passais des heures a observer mes ruches a rêver .
aujourd’hui je cours, les journées et même les années sont trop courtes, mon dieu comme j'aimerai chauffer a nouveau la pierre devant une ruche en observant un soleil d'artifice .

voila tun l'as compris la différence, les pros ils se chauffent au soleil l'hiver pas en saison devant les ruches pas le temps, et pour la même raison ils ne se déplacent pas pour rien sur un rucher, en fait plein de chose qui font que non finalement les ruches ne sont pas conduites de la même façon. Celui qui n'a pas compris cela n'est pas un vrai professionnel (au sens de la recherche de la rentabilité, ouh le vilain mot !!!)

le nourissement dépends aussi beaucoup de la race d'abeille
une cecropia ou une noire ne peut absolument pas etre comparé a une buck ou encor moins aune carnica, les comportement sont presque a l'opposé.

donc difficile de généraliser, mais ce qui est sur est qu'une colonie doit avoir pour l'hivernage: suffisament d'abeilles et de nouriture, etre en bonne santé et avoir une bonne ruche sur la tete pas besoin d'isolant on rappeleras que l'ennemi c'est l'humidité et les courant d'air, les abeilles chauffent la grappe pas la ruche.

dans le bon ordre je dirai que pour bien hiverner une colonie doit d'abord posséder une reine jeune et dynamique, être en bonne santé, ce qui entend débarrassé au mieux de ses varroas pour que ses abeilles d'hiver soient saines et remplissent leur rôle, avec ça la population est généralement présente et suffisante, ensuite, si, comme tu le souligne à juste titre, l'écotype choisi est plutôt facile à hiverner car il gère bien et organise au mieux cette épreuve annuelle, c'est bateau et chez nous dans le Sud ou les floraisons durent jusqu'a la Toussaint (et souvent au delà) il n'y à pratiquement jamais de soucis de réserves, sauf bien entendu, dans les cas rares d'un automne pourri qui pourrait empêcher ces rentrées,

avec tout cela, le vrai souci d'un hivernage à problème, découlerait plutôt d'un hiver trop doux avec élevage disproportionné et à sa suite un printemps qui n'arrive pas, (LA IL FAUDRA SANS DOUTE PENSER A AIDER) voilà en bref ce que les apiculteurs méridionaux et des régions Sud doivent redouter et surveiller ( et certainement plus que la pesée des ruches avant l'hiver)

marrant ce post, quand on le lit il semble que tous les apis ont le truc pour hiverner sans aucun problème, et quand on lit la presse apicole, les compte-rendus des syndicats, etc, on voit qu' 1ruche sur 4 voire parfois 1 sur 3 meurt pendant l'hiver... alors on sait comment hiverner ou pas ? :huh:

(je vois déjà les réponses du genre ce sont celles des autres qui meurt :lol: )

ardecho escribió: marrant ce post, quand on le lit il semble que tous les apis ont le truc pour hiverner sans aucun problème, et quand on lit la presse apicole, les compte-rendus des syndicats, etc, on voit qu' 1ruche sur 4 voire parfois 1 sur 3 meurt pendant l'hiver... alors on sait comment hiverner ou pas ? :huh:

(je vois déjà les réponses du genre ce sont celles des autres qui meurt :lol: )

Exact Ardecho, mais ceux que tu cites et qui perdent 25 ou 30 % (et certains beaucoup plus) tu es sûr qu'ils s'y prennent comme il faut ?

combien de ces apiculteurs se préoccupent de réunir ou de remerrer leurs ruches faibles plutôt que de les conserver à grand renfort de sirop en prenant le risque délibéré d'en perdre plus de la moitié ?
combien de ces apiculteurs se préoccupent de renouveler leurs reines (en étant sûr d'avoir choisi ce qui lui convient le mieux) ?
combien de ces apiculteurs se préoccupent d'un traitement varroase efficace et en vérifient les bons résultats ?
combien de ces apiculteurs se préoccupent du lieu de l'hivernage, de son exposition et des ressources qui s'y trouvent ?

voilà les bonnes questions, qui répondent certainement à tes attentes (et à tes moqueries) la perte (dite naturelle) des colonies doit se situer entre 3 et 5 %, je n'ai rien inventé et si tes pertes (ou de ceux que tu cites) se situent en dessus ce seuil, tu dois te poser les bonnes questions.

précision: les 3 à 5 % comprennent les pertes annuelles et non les pertes hivernales,

Bonjour !
25 à 30 % dans Pyrénées orientales
les résultats des analyses indiquent les traitements du bétail, caprins et surtout ovins.
Ici à Belfort, il n'y a pas si longtemps un collègue à perdu beaucoup plus 347 sur 350 en raison d'un traitement sur chrysomèle du maïs.
Bien sûr pour ceux qui sont épargnés c'est utile de bien traiter contre le varroa et remerrer régulièrement.
Bonne soirée !

Bonjour à tous,
une question, une hésitation plutôt, j'espère rester dans le sujet en vous la posant ici, mais je pense que oui!

Étant donné que nous avons encore droit à quelques essaims jusqu'à ces jour-ci, j'ai donc enruché un essaim vers le 16 aout sur 5 cadres cirés, puisqu'il ne me restait que ça.

J'en ai récupéré un autre samedi dernier, installé dans un arbre prés du rucher, il avait construit 3 rayons dans l'arbre je lui ai laissé ses rayons insérés sur des cadres, mais il n'y avait aucun miel.

J'ai évidemment des ruches à remplir l'année prochaine, mais je souhaite avant tout sauver ces deux petites colonies.

J'ai donné 2 litres de sirop à chacun de ses deux essaims il y a une semaine.

Je suis allé tout à l'heure pour leur redonner 2 litres à chacun, mais le premier a pris tout le sirop et celui de l'arbre n'y a pas touché!

J'ai cru naïvement qu'en leur donnant du sirop toute les semaines elle pourront bâtir quelques cadres, se développer un peu et accumuler quelques réserves mais maintenant j'en doute!

Mon bon sens me dirait de réunir les deux (chacun sur 2 cadres actuellement) afin d'en faire un seul qui arrivera peut être sur 5 ou 6 cadres d'ici l'hiver et aura plus de chance d'arriver au printemps.

Qu'en pensez vous, cela se tente où il vaut mieux réunir sans hésiter?

Merci d'avance et bonne soirée à vous tous

oui tu peu tanter avec ruchettes ou partition polystirenne.
aussi n'ajoute que des cadres bâtis.
aussi preleve des cadres de pollen exedentaire dans les fortes ruches pour les donner à tes essaims.
car sans pollen il n'y aura pas de petite ponte hivernale et moins d'abeille pour redémarrer au printemps. tu peu aussi remplir des cadres bâtis de sirop lourd avec un pulverisateur et border tes essaims avec. et nourrir toute l'année même par temps froid avec sirop de betterave inverti et encore en plus du candi.

si tu réuni. pulverise du sirop sur les abeilles sinon avec des agressive c'est l'hécatombe. et nourri un peu car ont ne ce bat pas devant un bon dîné.
enfume la ruche et l'essaim pour les réunir à la fumé. (enfume doucement)