Invasion Aethina tumida en Italie
- guyom
- Autor del tema
- Invitado
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- Pierrolefou
- Invitado
impossible ca passe pour du protectionnisme et de toute facon l europe et la france est devenu une vrai passoire!!!!
a+
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- bozon
- Invitado
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- jcg84
- Invitado
Guyom, le soucis c'est qu'il y a une voie de contamination possible également par le sol, la terre, les pots de fleurs ou d'arbustes, or 90/% des arbres et arbustes de jardins que l'on retrouve sur les rond points ou dans les jardineries du sud-est sont produits en Italie, ce sont des millions de plantes qui transitent sans le moindre contrôle possible.
Bon nombre d'agriculteurs se fournissent également en Italie pour les plants de melons ou autres..... moins cher qu'en France bien sur....
autant se préparer tout de suite à luter contre ce nouveau fléau car à mon avis rien ne l'arrêtera.....
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- jc
- Invitado
Je viens de recevoir ce message de mon GDSA
JC
Ci-joint un message de la FNOSAD , cela concerne aethina thumida, pour les personnes qui aurait introduit des reines italiennes ou bien qui auraient acheté des essaims en Italie, merci de nous le signaler rapidement
> Message du 02/10/14 16:03
> Objet : FNOSAD - petit coléoptère de la ruche - Aethina tumida
>
Message aux OSAD
>
Bonjour à tous,
>
L’introduction du petit coléoptère de la ruche (Aethina tumida) est à présent bien confirmée dans le sud de l’Italie. Des larves ont été trouvées ce qui montre qu’il s’y est reproduit. En date du 30/09, 13 ruchers ont été déclarés infestés dans une zone de 20km de rayon autour du foyer initial, dont deux foyers avec présence de larves (source : LRUE).
La menace est sérieuse pour l’apiculture française, aussi devons nous prendre dès aujourd’hui des mesures pour y faire face.
>
La première de ces mesures consiste à recenser et visiter (en coordination avec votre Vétériniare conseil) tous les ruchers des apiculteurs qui ont pu, suite à un contact ou à un achat d’abeilles (reines, essaims sur cadres, paquets d’abeilles) en provenance d’Italie (ou même d’un autre pays), introduire le petit coléoptère en France.
Nous vous invitons donc :
à lancer un appel (mailing, courrier, téléphone) à tous vos adhérents, en demandant à ces apiculteurs de se signaler auprès de vous et de la DDPP, en soulignant que l’importance du danger est telle que l’intérêt collectif prime sur toutes les autres considérations;
à contacter au plus vite votre DDPP afin de pouvoir élargir la diffusion de l’appel et de l’information à tous les apiculteurs déclarants (tous les apiculteurs ne sont pas adhérents à votre OSAD) et d’organiser au mieux les visites des ruchers;
à contacter le GDS/GDSA en charge de l’enregistrement des ruchers, afin de favoriser la concertation avec les Services Vétérinaires et d’informer le plus grand nombre possible d’apiculteurs.
Toute difficulté dans l'application de ces démarches doit nous être signalée.
>
Les autres mesures consistent en une information la plus large possible via la presse locale, les réseaux syndicaux et professionnels, sur cette menace et en la diffusion des méthodes de dépistage et de la conduite à tenir en cas de suspicion (cf. proposition de communiqué de presse en pièce jointe).
Il est aussi souhaitable de réactiver votre réseau d’agents sanitaires apicoles afin qu’ils se tiennent prêts à répondre aux sollicitations de l’administration et des apiculteurs pour effectuer des visites de dépistage.
Si dans certaines régions les investigations sont stoppées par le froid, on peut utiliser des méthodes de dépistage sans ouverture des ruches. (cf. document joint).
>
Il est bien entendu impératif de ne pas transhumer vers l‘Italie ou d’importer des abeilles et des matériels apicoles en provenance de ce pays (et même d’autres pays).
>
Bien sûr, le matériel apicole n’est pas le seul « véhicule » emprunté par cet Insecte pour se propager car il fait une partie de son cycle dans la terre (des plantes en pot pourraient être concernées) et dans des fruits, mais notre devoir est d’informer et de mobiliser le monde apicole, qui est celui qui sera le plus impacté par ce fléau et le seul auquel nous avons accès.
>
La FNOSAD suit de très prêt ce dossier et vous informera au fur et à mesure de son développement et des décisions et préconisations prises par l’Administration. Pour rappel, Aethina tumida est classé parmi les dangers sanitaires de 1ère catégorie, dont la gestion doit être assurée par l’Etat. L’infestation à Aethina tumida est soumise à déclaration obligatoire.
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- richard86
- Invitado
L'acidité des citrons, oranges, pamplemousses ne les gênent pas !
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- guyom
- Autor del tema
- Invitado
Je ne vois en cela qu'une utopie mais ne veux pas admettre et baisser les bras fasse a un problème qui n'existe pas encore............
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- LE DOEUFF Louis
- Invitado
Et bien là c'est pas gagné, on avait déjà pas mal de problèmes mais là c'est pire. Je pensais qu'il n'allait jamais franchir l'Atlantique enfin pas si tôt mais là on l'a chez nous pratiquement car on ne pourra pas l'empêcher. A voir maintenant comment il va se développer suivant les régions mais je pense que nous devons déjà prévoir comment l'éradiquer sur les ruches. Comme il arrive par les airs aux ruches et qu'il est plus petit que l'abeille on n'y peut rien reste ensuite la descente des larves vers le sol qu'il va falloir empêcher absolument. Et là toutes les idées sont les bienvenues tout en gardant à l'esprit que nous devons accéder quant même facilement à la ruche. Le piège de type "chenilles processionnaires" serait peut-être efficace en plus des cartons ondulés pour récupérer les adultes sur le fond de ruche. Enfin là je parle pour me rassurer un peu mais je crains qu'à ce rythme d'arrivées de nuisibles apicoles la fin est proche pour l'abeille. Oui c'est vrai je suis pessimiste...
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- apipaca
- Invitado
LE DOEUFF Louis escribió: Bonsoir à tous,
Et bien là c'est pas gagné, on avait déjà pas mal de problèmes mais là c'est pire. Je pensais qu'il n'allait jamais franchir l'Atlantique enfin pas si tôt mais là on l'a chez nous pratiquement car on ne pourra pas l'empêcher. A voir maintenant comment il va se développer suivant les régions mais je pense que nous devons déjà prévoir comment l'éradiquer sur les ruches. Comme il arrive par les airs aux ruches et qu'il est plus petit que l'abeille on n'y peut rien reste ensuite la descente des larves vers le sol qu'il va falloir empêcher absolument. Et là toutes les idées sont les bienvenues tout en gardant à l'esprit que nous devons accéder quant même facilement à la ruche. Le piège de type "chenilles processionnaires" serait peut-être efficace en plus des cartons ondulés pour récupérer les adultes sur le fond de ruche. Enfin là je parle pour me rassurer un peu mais je crains qu'à ce rythme d'arrivées de nuisibles apicoles la fin est proche pour l'abeille. Oui c'est vrai je suis pessimiste...
Malheureusement, entièrement d'accord avec toi, (trop d'échanges avec l'Italie) et ça ne pourra donc pas empêcher cette vermine de débarquer,
le second problème (comme pour la varroase) sera d'accepter et de faire accepter les traitements des sols , apparemment seul coupe lien de la prolifération, si les acaricides avaient été mieux compris et acceptés dès le début, la varroase n'aurait jamais atteint les proportions que nous connaissons, il y aurait des lieux encore indemnes, et là nous allons connaître la même chose, avec les mêmes mentalités ont fait les mêmes erreurs,
nous allons encore entendre, "et tu vas le manger ou avoir le courage de le vendre le miel de tes ruches ?" exactement comme ceux qui prétendent refuser le risque d'un miel avec gout ou résidus d'Amitraze, alors que ceci est complètement impossible et donc faux,
tiens, je te passe le bonjour des "bobos écolos" qui préfèrent bien entendu consommer le "fameux" miels des villes, naturellement exempt de toutes traces de produits agricoles, car c'est bien connu les jardiniers Parisiens n'utilisent que dalle !!
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- jc
- Invitado
Quelques infos sur la bestiole
JC
Le petit coléoptère de la ruche
Nom latin: Aethina tumida (Murray) L’infestation par Aethina tumida est une maladie
règlementée dans l’Union Européenne. Toute détection
du coléoptère doit être immédiatement déclarée aux
instances Européennes. C’est une obligation légale. Bien
qu’actuellement A. tumida ne soit pas présent en Europe,
il existe un sérieux risque d’introduction du parasite.
Nom commun: Le Petit Coléoptère de la Ruche
ou SHB en anglais (Small Hive Beetle)
Dégâts sur la colonie. Le coléoptère peut se
multiplier abondamment dans les colonies infestées
où il se nourrit du couvain, du miel et du pain d
d’abeille. Dans certains cas, il détruit les cadres et
cause la fermentation et la destruction du miel en y
excrétant. Si les taux d’infestation sont élevés, les
coléoptères peuvent détruire les colonies ou causer la
désertion des abeilles.
Enregistrement national des apiculteurs. Il est très
important que tous les apiculteurs soient déclarés auprès
des autorités afin qu’ils intègrent la base de données
nationale. Si l’emplacement géographique des colonies à
risque pour le petit coléoptère n’est pas connu, les
chances de détecter son introduction et de l’éradiquer
sont sérieusement compromises. Il sera également
nécessaire de pouvoir réaliser un contrôle des colonies sur
le long-terme dans le cas d’une introduction.
La législation européenne interdit toute importation d’essaims d’abeilles ou de colonies provenant de pays tiers
(à l’exception de la Nouvelle-Zélande). L’importation de reines d’abeilles est autorisée, mais en provenance d’un
nombre restreint de pays hors Union Européenne. La règlementation sur les importations est la principale
protection contre le risque d’introduction du petit coléoptère de la ruche. Par conséquent, il est primordial que
chaque apiculteur respecte la législation européenne et assure une surveillance régulière.
Le petit coléoptère de la ruche ne peut plus être éliminé une fois installé sur le territoire national.
Comment reconnaitre Aethina tumida
La larve
La larve est le stade nuisible pour la colonie. Elle
mesure environ 1 cm. Elle est de couleur blanc-crème
et peut, à première vue, ressembler à la larve de la
fausse teigne (Galleria mellonella). Cependant, un
examen plus approfondi permet de distinguer
aisément la présence de trois paires de longues pattes
sur sa partie antérieure (a), d’épines dorsales sur
chaque segment (b) et de deux épines protubérantes à l’arrière (c).
L‘adulte
Les adultes mesurent de 5 à 7 mm (un tiers de la taille d’une
abeille adulte). De couleur claire après l’émergence de la
pupe, le coléoptère s’assombrit pour devenir brun à noir. La
tête, le pronotum et l’abdomen sont bien séparés. Une
caractéristique clé du coléoptère est que ses élytres (d) sont
plus petits que son abdomen si bien que le bas de l’abdomen
est bien visible (e). Les antennes en massue ont une forme
typique (f).
Cycle biologique
A. tumida peut effectuer plusieurs générations par an (1 à 6), selon les
conditions environnementales.
La femelle pond des oeufs fécondés (1.5 x 0.25 mm) en grappe, par exemple
dans les fissures du bois ou directement dans les cellules du couvain (g –
l’alvéole a été désoperculée). Les femelles peuvent pondre mille à deux milles
oeufs dans la ruche au cours de leur vie.
Le stade larvaire dure de 10 à 16 jours. Les larves sont omnivores et se
nourrissent du couvain, du pain d’abeille et du miel.
Les larves matures se métamorphosent au bout de 15 à 60 jours. La
nymphose a lieu dans le sol à l’extérieur de la ruche, généralement à une
profondeur de 1 à 30 cm et à moins de 20 m de la ruche. Dans de rares cas, des larves se déplaçant jusqu’à 200 m
pour trouver un sol adapté à la nymphose ont été observées. Un sol mou et humide et une température d’au moins
10°C sont nécessaires pour permettre à la larve d’achever son cycle de développement, bien qu’elle puisse survivre
sur de courtes périodes dans le sol à une température plus faible (moins de 3 semaines).
Les coléoptères adultes émergent après 3 à 4 semaines bien qu’ils puissent apparaitre à n’importe quel moment
entre 8 et 84 jours selon la température. Les adultes peuvent voler 10 km pour infester de nouvelles colonies. Ils
peuvent également survivre jusqu’à 9 jours sans eau ni nourriture, 50 jours dans des cadres usagés et plusieurs mois
dans des fruits.
Modes de propagation. Sa dissémination se produit naturellement puisque le petit coléoptère peut voler sur de
longues distances. La dissémination du petit coléoptère de la ruche est favorisée par les mouvements d’abeilles,
de colonies, d’essaims, de cire ou de matériel apicole. Les mouvements de sol, de fruits ou d’hôtes occasionnels
(comme les bourdons) peuvent aussi être des voies d’introduction du coléoptère en France.
Critères de suspicion/ Conséquences d’une infestation pour la colonie
Signes cliniques d’une infestation par le petit coléoptère:
- Présence de galeries dans les cadres (que les larves creusent)
- Destruction du couvain (mangé par les larves de coléoptère)
- Modification de la couleur et de la fermentation du miel.
Comment surveiller vos ruches ?
La détection d’un faible nombre de coléoptères, de larves ou d’oeufs
est très difficile. L’inspection régulière des colonies dans les ruchers
est primordiale pour assurer une détection précoce.
- Si vous en avez, vous pouvez placer des pièges de plastique ondulé de 4 mm (h) au fond de la ruche. Les
coléoptères adultes vont se cacher des abeilles dans les tunnels du piège.
- Si vous n’avez pas de plastique ondulé, vous pouvez examiner votre ruche à la recherche de deux signes précis:
1. Il est parfois possible d’observer les coléoptères adultes courir au fond de la ruche.
2. Dans le pire des cas (une forte infestation), vous verrez du miel malodorant et fermenté s’écouler de
l’entrée de la ruche, des larves rampantes, ou des traces sombres à l’extérieur de la ruche correspondant à des
larves desséchées.
Il est essentiel de détecter les coléoptères atypiques le plus tôt possible.
Que faire en cas de suspicion?
Alerter au plus tôt les autorités compétentes (les Directions Départementales de la Protection des Populations, DDPP,
ex DSV) qui prendront les mesures adéquates.
Tout échantillon suspect d’Aethina tumida (adultes, larves et oeufs) doit être immédiatement envoyé au
laboratoire national de référence et / ou aux autorités compétentes pour identification. Utilisez un récipient bien
fermé. Il est important de fournir autant d’indications que possible – vos nom et adresse, le nom de l’apiculteur et
l’emplacement du rucher. N’envoyez jamais de coléoptères vivants. Tuez-les d’abord en les mettant au congélateur
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- moulonnaise
- Invitado
.pour ce qui est du miel des villes ,il y a peut-etre moi de "bébête"et de pesticides mais quelle pollution ...........chaque fois que je passe une journée chez mes enfants pour garder le bébé j'ai une crise d'asthme le nuit suivante , c'est irrespirable......( gaz d'échappement et poussières ) .et ils vivent dans un appart' trés ensoleillé entouré d'arbres .
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- ardecho
- Invitado
Apipaca nous dit que le niveau de la varroase est du aux trop nombreux apis "bobo" (marre de ce cliché !) qui refuse ou ont refusé l'amitraze. pourtant aujourd'hui l'immense majorité des apis traitent à l'amitraze et varroa est toujours là et bien là ! si l'amitraze était si efficace que ça, varroa aurait disparu de nos ruchers depuis longtemps ! et pourtant non et il faut retraiter chaque saison...
moi je pense qu'on aurait du selectionner dès le début des souches capables de supporter varroa sans traitements systématique, c'est un non sens de maintenir une population entière sous traitement chimique permanent et ce, pour une durée indéfinie ! qu'est ce que ça donnera à long terme ? que deviendront les abeilles après 50 ans d'amitraze ??? et oui le miel contient de l'amitraze, ça a été prouvé recemment, non ?
alors avec AT se sera pareil, les labos doivent déjà se frotter les mains ! peut-etre meme qu'ils l'ont ramené eux-meme cette bestiole ! et à l'amitraze s'ajoutera une autre s........ toxique pour les abeilles et pour nous... et dans 10 ans nouvelle bestiole, nouveau produit, et ainsi de suite jusqu'à ce que nos ruches ressemblent a des champs de céréales (imbibés de toxines)
j'ai pas de solution mais je suis très pessimiste !
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- maya730
- Invitado
je suis dépité , je suis pas un chimiste ça me saoul tout ça !!!!!
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- gfass2
- Invitado
On voit bien d'ailleurs que certains sur le forum commencent à se poser les bonnes questions.... on va où par là? Plus de pesticides, des doses plus fortes? Pourquoi n'a t'on pas gagné cette bataille contre le varroa? Pourquoi s'apprête t'on à perdre celle qui se présente maintenant avec ethina tumida?
Enfin, je reconnais que je n'ai pas les contraintes qui sont celles d'un professionnel, je me contente donc d'une souche un tout petit peu plus agressive peut-être, qui produit moins c'est sur, mais je suis un apiculteur de loisir heureux.
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- jcg84
- Invitado
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- Cathy
- Invitado
Quand vv est arrivé en France, c'était pour nous, loin. Et on se disait "on a encore le temps, on verra quand il sera là...." et bien peu de recherches ont été faites pour l'empêcher de proliférer. Et bien on voit le résultat : :evil:
AT est à nos portes et on ne peut plus se dire"on verra". ou comme on l'a entendu " çà va s'équilibrer"
et puis,-quand AT arrivera, (il 'n'arrivera peut-être pas, soyons optimistes)- ne pas culpabiliser les apis qui auront le courage de déclarer AT. Je me rappelle quand on a déclaré varroa en 1986 à la DSV : non seulement ils ne nous croyaient pas, mais en plus, si c'était vrai, on était des pestiférés...alors que les apis autour de nous étaient infestés comme nous, mais personne n'osait le dire.
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- Pierrolefou
- Invitado
si on rajoute un nouveau produit à chaque nouveau parasite, comment ça va finir ???????
comme les paysans qu on critique depuis longtemps!!!!!!!!!!!!!!!!!
Apipaca nous dit que le niveau de la varroase est du aux trop nombreux apis "bobo" ???????
exact j en ai plein qui par chez moi traitent pas et en plus bourré de loque!!!! comme ca y en a partout maintenant et meme dans la cire car eux la fond fondre et la porte en echange au cirier, il doivent pas la bruler car y en a pas mal qui savent pas la reconnaitre!!!!!!!!!
moi je pense qu'on aurait du selectionner dès le début des souches capables de supporter varroa sans traitements systématique?????????
ca c est pas si simple car in n aurait pas fallut traiter des le depart et il y aurait eu un desastre dans la proffession, la resistance arrivera par la modif génétique.!!!!!!!!!!!!!!!!!!
je suis pas en désaccord avec ce que tu dit mais on maitrise pas tout les parametres.a+
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- ardecho
- Invitado
oui c'est vrai que si on avait pas traité ça aurait été un désastre... on a donc traité et pourtant on est plus très loin du désastre ces temps-ci ! je sais c'est pas du seulement au varroa, mais on aurait pu faire des efforts de ce coté là. et puis je dit ça mais quand il est arrivé le varroa je jouais aux billes dans la cour de récré... je trouve juste hallucinant que depuis que j'ai commencé je vois à 99% des éleveurs, des fournisseurs nous vanter des souches "productives, douces, peu essaimeuse" et la résistances aux parasites ???? on s'en fout on traite !! c'est ce principe que je trouve abhérrant, surtout à long terme !
quand aux fameux bobo, pour moi ceux qui ne traite pas sans selectionner pas pour autant et garde des ruches loqueuses ce ne sont pas des bobos mais plutot des idiots ! je sais il y en à la pelle,mais on peut etre en bio, faire des efforts et des concessions sans verser dans le délire du monde des bisounours où la nature fait des miracles toute seule pour les humains qu'elle aime tant ! il y a une marge entre les extrèmes et j'aimerais qu'on la reconnaisse !
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- apipaca
- Invitado
ardecho escribió: si on rajoute un nouveau produit à chaque nouveau parasite, comment ça va finir ???
Apipaca nous dit que le niveau de la varroase est du aux trop nombreux apis "bobo" (marre de ce cliché !) qui refuse ou ont refusé l'amitraze. pourtant aujourd'hui l'immense majorité des apis traitent à l'amitraze et varroa est toujours là et bien là ! si l'amitraze était si efficace que ça, varroa aurait disparu de nos ruchers depuis longtemps ! et pourtant non et il faut retraiter chaque saison...
moi je pense qu'on aurait du selectionner dès le début des souches capables de supporter varroa sans traitements systématique, c'est un non sens de maintenir une population entière sous traitement chimique permanent et ce, pour une durée indéfinie ! qu'est ce que ça donnera à long terme ? que deviendront les abeilles après 50 ans d'amitraze ??? et oui le miel contient de l'amitraze, ça a été prouvé recemment, non ?
Hé bien NON ET NON ! Que tu le penses et que tu te cramponnes à tes idées ça te regardes mais c'est tout à fait le contraire qui à été démontré, tu ne retrouves aucunes traces d'amitraze dans le miel et pour en retrouver en dose infinitésimales il faudrait que l'amitraze soit employé pur et pendant la récolte, ce qui est loin d 'être le cas dans les traitements et tu le sais très bien,
que tu préfères bouffer ton miel que celui des autres, ok, que tu préfères manger tes tomates grosses comme des oeufs mais sans engrais Ok, mais que ceci te permette de dire des anneries, pas OK ! et si avec ton raisonnement, malgré mes explications, tu refuses le cliché de "bobo-écolos" dis moi comment ça doit se nommer ?
c'est bien beau d'avoir choisi l'Ardèche et de défendre des idéos tout à fait respectables, mais il faut appeler un chat un chat et éviter de raconter ce qui te fais plaisir mais qui est faux, quand tu as le cancer on te soigne pas avec des aspirines !!
le résultat des courses, je vais te le résumer Aedecho, avec toute cette tendance qui obligent nos décideurs de faire un pas en avant puis 2 en arrière, on n'arrive plus à produire qu'un 1/4 de ce qu'on consomme, ce qui entend que 3 pots consommés sur 4 proviennent de chine et sont certainement loin d'être meilleurs (en analyse) que les miens provenant de mes ruches qui sont traitées à l'amitraze (UNE FOIS PAR AN) après récoltes et donc 7 mois avant de recevoir à nouveau un gramme de miel !!
alors avec AT se sera pareil, les labos doivent déjà se frotter les mains ! peut-etre meme qu'ils l'ont ramené eux-meme cette bestiole ! et à l'amitraze s'ajoutera une autre s........ toxique pour les abeilles et pour nous... et dans 10 ans nouvelle bestiole, nouveau produit, et ainsi de suite jusqu'à ce que nos ruches ressemblent a des champs de céréales (imbibés de toxines)
j'ai pas de solution mais je suis très pessimiste !
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- gfass2
- Invitado
Quand on est perdu, on peut essayer de suivre d'autres chemins ou d'autres pèlerins.... ça permet d'avancer avec l'espoir d'arriver un jour.
« Le passé est là pour regarder en arrière et profiter de nos erreurs, l'avenir est là pour vous assurer que vous ne faites pas les mêmes. » (de je sais pas qui mais il a raison).
Faisons confiance à l'abeille... on aura tous disparu de cette terre quant une petite souche, cachée au fin fond de la forêt d'Iraty, viendra recoloniser les espaces pollués ou pas que nous leur auront laissé.
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- ardecho
- Invitado
et puis ça me fait marrer de m'entendre dire que je suis un bobo écolo, viens donc en ardèche je te présenterai de vrais spécimens ! moi je suis un rigolo à coté !!! des qui te soutiennent qu'on peut guérir du cancer en arrétant de manger pendant 15 jours, qui refuse la bouillie bordelaise sur leur tomate car trop toxique, qui refuse le fumier car les bètes sont vermifugées avec des médocs, j'en passe et des meilleurs !
ils sont certes un peu allumés mais en meme temps, quand je vois l'état de notre pauvre planète, des fois, je me pose quand meme des questions...
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- scania
- Invitado
Tu veux que je te trouve des souches résistantes aux maladies ??ardecho escribió: salut pierro,
oui c'est vrai que si on avait pas traité ça aurait été un désastre... on a donc traité et pourtant on est plus très loin du désastre ces temps-ci ! je sais c'est pas du seulement au varroa, mais on aurait pu faire des efforts de ce coté là. et puis je dit ça mais quand il est arrivé le varroa je jouais aux billes dans la cour de récré... je trouve juste hallucinant que depuis que j'ai commencé je vois à 99% des éleveurs, des fournisseurs nous vanter des souches "productives, douces, peu essaimeuse" et la résistances aux parasites ????
J'en connais des éleveurs qui mettent un point sur cette caractéristique.
En noir, carnica et buck.
Alors plutôt que de faire le révolter cherche un peu!!!
C'est bizarre généralement ils sont pris pour des marginaux sans cerveaux ....
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- mathieua
- Invitado
J'en connait aussi, et c'est vrai qu'ils ont une réputation d'originaux... Ce qui n'est pas obligatoirement dégradant, quand on voit ou nous mène la tendance générale...
Après, ils ont surement des souches plus résistantes, mais ça ne veut pas dire qu'elles sont indestructibles...
Faut pas idéaliser les choses
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- bozon
- Invitado
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- mathieua
- Invitado
Désolé mais une étude de l'ONIRIS de Nantes à démontré le contraire.apipaca escribió: tu ne retrouves aucunes traces d'amitraze dans le miel et pour en retrouver en dose infinitésimales il faudrait que l'amitraze soit employé pur et pendant la récolte,
Une étude de Olivier Lambert et Mélanie Piroux : « L’abeille mellifère, témoin de la pollution de l’environnement : étude sur un transect paysager en Pays de la Loire »
Les pesticides les plus trouvés sont le carbendazime (dans 78% des miels), le coumaphos (dans 69% des miels) et l’amitraze (dans 65% des miels).
On invoque tous la science à notre secours, ce serait cool des fois de préciser nos sources. Pour ma part c'est fait
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- apipaca
- Invitado
ardecho escribió: t'enerve pas apipaca, moi je suis pas chimiste, j'ai juste vu une étude qui disait qu'on retrouvait des traces d'amitrze dans 72 échantillons de miel sur 75... j'ai pas été vérifier mais ça me parait logique vu qu'en général le nectar transit par les cadres de corps qui sont traités à plusieurs reprise.
et puis ça me fait marrer de m'entendre dire que je suis un bobo écolo, viens donc en ardèche je te présenterai de vrais spécimens ! moi je suis un rigolo à coté !!! des qui te soutiennent qu'on peut guérir du cancer en arrétant de manger pendant 15 jours, qui refuse la bouillie bordelaise sur leur tomate car trop toxique, qui refuse le fumier car les bètes sont vermifugées avec des médocs, j'en passe et des meilleurs !
ils sont certes un peu allumés mais en meme temps, quand je vois l'état de notre pauvre planète, des fois, je me pose quand meme des questions...
Tu vois Ardecho, c'est de la discussion que jaillit la lumière, pour les "résidus" ou trace d'amitraze, si tu veux bien être objectif et ne pas botter en touche avec des "j'ai entendu dire" ou bien "j'ai lu mais je sais plus ou" je vais t'expliquer et te demander après réflexion, pourquoi et comment il ne serait possible que tu dises vrai ?
En admettant que le produit en question puisse laisser des traces, mais en traitant comme il se doit (et à l'Amitraze) et en fin de saison entre Aout et septembre, donc après récoltes et donc sans les hausses (ce qui chez tout le monde sert à récolter le miel) tu conviendras que les ruches ne vont plus voir les hausses même dans ma région ou on commence tôt, jusqu'en Mars, les abeilles de l'époque du traitement (sauf la reine) auront également disparues et auront été remplacées, comment voudrais tu que 7 mois après, suite à l'hiver qui force les abeilles à consommer ce qu'elles avaient dans le corps en réserves et qui aurait pu effectivement être en contact avec le traitement, toujours En admettant que le produit en question puisse laisser des traces, qu'on puisse en retrouver dans la nouvelle récolte qui va rentrer les mois suivants ?
c'est très simple à comprendre et je pense à la portée de tous, et dis toi bien une chose, c'est que ce que je t'affirme (pour être logique) je me suis permis avec des copains apis autant concernés que toi et moi, de demander par toutes formes d'analyses de le faire rechercher et vérifier !!
à tel point que je suis capable de te dire ici devant tout le monde, que si tu veux venir prélever chez moi fin mars ou début avril des échantillons de miel ou de cires et si tu es ensuite capable de me retourner des analyses contraires et te donnant raison, je te fais cadeau de mes 500 caisses avec abeilles, ma miellerie , les véhicules et tout mon matériel car j'aurai renoncé à produire du miel !!
si tu pensais que j'avais choisi l'Amitraz par plaisir ou sans me préoccuper de polluer mon miel, t'as certainement pigé qu'il n'en est rien et si je l'utilise c'est simplement car c'est la seule solution qui permet de traiter à quasi 100% !! ce qui me fait affirmer que dès que ce produit et le bon dosage à été découvert convenant parfaitement pour traiter, si une campagne obligatoire avait été décidé et à grand frais du ministère de l'Agriculture, sous peine éventuellement d'amendes ou d'interdiction de posséder des ruches non traitées , nous n'en serions pas arrivé là et dans une impasse ou tout le monde fait toujours ce qui lui semble convenir et même devant une épidémie aussi contagieuse que la varroase je suis obligé de te dire que nous n'avons pas su être à la hauteur et continuons et encore et encore, le Frelon à suivi et bientôt le AT !!
on oblige bien la vaccination des chiens dans les départements ou on signale le rage, non ?
on est passible de prison si on contamine volontairement, non ?
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- maya730
- Invitado
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- apipaca
- Invitado
mathieua escribió:
Désolé mais une étude de l'ONIRIS de Nantes à démontré le contraire.apipaca escribió: tu ne retrouves aucunes traces d'amitraze dans le miel et pour en retrouver en dose infinitésimales il faudrait que l'amitraze soit employé pur et pendant la récolte,
Une étude de Olivier Lambert et Mélanie Piroux : « L’abeille mellifère, témoin de la pollution de l’environnement : étude sur un transect paysager en Pays de la Loire »
Les pesticides les plus trouvés sont le carbendazime (dans 78% des miels), le coumaphos (dans 69% des miels) et l’amitraze (dans 65% des miels).
On invoque tous la science à notre secours, ce serait cool des fois de préciser nos sources. Pour ma part c'est fait
Faux mon pote, absolument Faux !
Bien tu vois Mathieu, tu es mon invité au printemps prochain, et tu pourras ainsi repartir avec tout ce que j'ai marqué dans mon post précédent, mais attention, si tu ne fournis pas ici devant tout le monde les analyses (D'UN LABORATOIRE INDEPENDANT) tu conviendras objectivement et platement avoir tout simplement raconté n'importe quoi et colporté des résultats d'analyses partisanes et erronées faites dans de mauvaises conditions et dans le but de tromper !!
T'as pas grand chose à perdre et beaucoup à gagner, car pour les démonstrations et analyses que tu mentionnes tu n'as pas pris la peine de vérifier si elles correspondent avec des traitements comme ils doivent l'être ou au contraire en traitant n'importe comment et éventuellement pendant la récolte ?
C' EST PLUTÖT CA LES BONNES SOURCES QU'IL FAUT SAVOIR, non ?
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- scania
- Invitado
Non non j'idéalise pas.mathieua escribió: @Scania,
J'en connait aussi, et c'est vrai qu'ils ont une réputation d'originaux... Ce qui n'est pas obligatoirement dégradant, quand on voit ou nous mène la tendance générale...
Après, ils ont surement des souches plus résistantes, mais ça ne veut pas dire qu'elles sont indestructibles...
Faut pas idéaliser les choses
Comme tu dis pas indestructible, mais cela est un début.
J'ai eu une personne très sérieuse au téléphone pour de la souche résistante, il m'as bien dit:
sans traitement pour l'instant elle meurt, pour lui 15 a 25 % de varroas en moins.
Si c'est vrais c'est un bon début je trouve.
Le prix des reines étant le même qu'un autres professionnel alors autant les prendres chez lui pour testé.
Bref fin du HS.
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.
- apipaca
- Invitado
la première c'est que comme beaucoup le disent, il n'ont pas l'âge de savoir ce que peut être l'apiculture sans varroase,
la deuxième, qui est intimement liée, c'est que ces mêmes gens n'ont pas souvent vu à quoi doit ressembler "une vrai ruche" et la récolte qu'elle peut donner !!
sans ça, on ne lirait pas autant d'énormités, la varroase, même en traitant efficacement, en arrivant aux principales miellées, à réduit les populations de plus de 30% et dans les cas de traitements "sous fifres" de plus de 50 % !!
alors si vous avez deux sous de "jugeote" vous comprendrez qu'il faudrait pour être efficace, lutter en permanence contre cette infestation permanente et insidieuse, ce qui bien entendu, n'aura pas échappé à certains qui l'ont bien compris et qui par besoin de produire ou simplement pour arriver à s'en sortir, traitent TOUTE L'ANNEE et entre chaque miellée, ce qui nous vaut les remarques et analyses de Mathieu !!
Por favor, Conectar o Crear cuenta para unirse a la conversación.