La conduite d’un petit rucher n’est pas beaucoup plus difficile que l’entretien d’un poulailler ou de quelques clapiers de lapins au fond du jardin.

Dans un environnement appauvri en insectes pollinisateurs, les plantes à fleurs qui se développent dans les cultures agricoles tendent à s’affranchir des pollinisateurs.

Avec moins d’insectes pour les polliniser, les fleurs s’en détournent pour trouver d’autres stratégies de reproduction.

Le monde est rempli de sons, même lors des journées les plus calmes : le gazouillis des oiseaux, le bruissement des feuilles agitées par le vent et le bourdonnement des insectes qui vaquent à leurs occupations.

Votre rucher est conduit en apiculture biologique ? Alors n’hésitez pas à produire un peu de propolis pour la famille. Sa production est des plus simples.

Les journées ouvertes autour de la 94ème Assemblée Générale du SPMF se dérouleront au « JARDIN PECHEUR » 11 rue Lucien FAURE, Quartier du musée du Vin, 33 300 Bordeaux, le mercredi 19 février 2025

Devenu un problème public mondial, le déclin des abeilles a ravivé l’intérêt pour l’apiculture et a suscité une multiplication de travaux dans le champ des sciences du vivant.

Il est toujours impressionnant d’observer des larves mortes, desséchées et pétrifiées dans les cadres de couvain. Parmi les maladies du couvain, la présence de mycoses reste beaucoup moins grave...

C’est dans ce contexte que nous voyons, depuis la médiatisation hasardeuse et catastrophique de l’affaire Gaucho, une multitude d’organisation naitre et prospérer sur la défense de l’abeille et/ou du miel…

Même si, bien heureusement, l’apiculture reste une activité proche de la nature, voire un peu primitive issue de la « chasse-cueillette »