Parmi les pesticides de synthèse autorisés et vendus en France, les herbicides représentent les tonnages les plus élevés.

L’actualité dans notre secteur est très chargée, mais nous souhaitons placer cette assemblée générale sur des thèmes constructifs qui conditionneront l’avenir de l’apiculture française : la pollinisation, l’organisation du sanitaire en apiculture, les nouvelles relations avec l’AFSSA.

Face à l’actuel déclin des abeilles, les recherches se poursuivent afin de trouver des solutions concernant la pollinisation. Un chercheur japonais dit avoir mis au point une nouvelle méthode.

De récentes études montrent que ce polluant atmosphérique, acteur du changement climatique par son action de gaz à effet de serre, peut également altérer la communication chimique entre insectes pollinisateurs et plantes à fleurs.

De récentes études montrent que ce polluant atmosphérique, acteur du changement climatique par son action de gaz à effet de serre, peut également altérer la communication chimique entre insectes pollinisateurs et plantes à fleurs.

Le concept One Health (« Une Seule Santé ») fut introduit en 2008, lors d’un symposium sur les risques infectieux liés aux contacts des écosystèmes humain et animal.

Objet : préoccupations d’organisations apicoles et de la société civile concernant la méthodologie de l’évaluation des risques des pesticides et la protection des abeilles contre les pesticides.

L’apiculture n’est pas importante uniquement pour la pollinisation des plantes sauvages et des plantes cultivées, mais aussi pour la production de produits apicoles tels que le miel, le pollen, la cire et la propolis.

Dans un environnement appauvri en insectes pollinisateurs, les plantes à fleurs qui se développent dans les cultures agricoles tendent à s’affranchir des pollinisateurs.

Avec moins d’insectes pour les polliniser, les fleurs s’en détournent pour trouver d’autres stratégies de reproduction.