Les stratégies “Farm to Fork” (F2F) et “Biodiversité” sont au coeur du “Green Deal” (Pacte vert), véritable acte politique fort de la présidente de la Commission européenne von der Leyen.

Il est de plus en plus nécessaire d'améliorer la manière dont nous surveillons l'impact et l'efficacité des politiques environnementales ou paysagères. Pour cette raison.

Les parlementaires ont reçu récemment, dans le cadre d’une campagne de communication et de désinformation, un courrier truffé de scandaleuses contre vérités laissant croire que les apiculteurs seraient opposés à la création d’un institut technique et scientifique de l’abeille et de la pollinisation (ITSAP).

La ville de Paris a par exemple lancé un “Plan ruches” pour 2016-2020 dont l’objectif est de devenir une ville refuge pour les pollinisateurs en multipliant le nombre de ruches dans Paris, dans le cadre du plan Biodiversité.

Si vous êtes un peu bricoleur et astucieux, il vous sera possible de devenir apiculteur du dimanche, produire un peu de miel pour la famille, polliniser votre cerisier et les fruitiers du voisin.

Dans le cadre du projet « Agriculture et pollinisateurs », des mesures agroécologiques ont été testées dans les prairies afin d’obtenir davantage de ressources florales.

Si la pollinisation est évidemment nécessaire pour la fécondation des arbres fruitiers, elle l’est d’autant plus chez le kiwi.

Ce n’est plus un secret pour personne tant les alarmes se multiplient : les menaces pèsent sur
les pollinisateurs

Les enjeux d’une mobilisation forte en faveur des insectes pollinisateurs et de la pollinisation.

Face à la baisse des pollinisateurs naturels et pour compléter leur travail, les producteurs utilisent différentes technologies, particulièrement efficaces pour certaines cultures comme le kiwi et la tomate.