Les insecticides neurotropes sont des substances très toxiques pour tous les arthropodes, y compris des espèces non-cibles comme les abeilles.

Nos abeilles essaiment pour se multiplier et perpétuer l’espèce, mais pour l’apiculteur, une colonie qui essaime est une ruche qui ne produira pas.

Comment ouvrir ma ruche sans trop perturber les abeilles ? Comment sortir les cadres, faire les interventions nécessaires tout en limitant les piqûres ? Tel est le challenge du débutant.

Si les abeilles se chargent de protéger l’intérieur des ruches en le tapissant de propolis, c’est bien à l’apiculteur de faire le nécessaire pour protéger l’extérieur des intempéries.

Pour préparer un hivernage avec suffisamment d’abeilles d’hiver, vous pouvez inciter la reine à pondre et ainsi développer la population.

A moins de posséder un terrain approprié, pour tout apiculteur, même amateur, se pose le problème de trouver un emplacement adapté pour ses ruches.

Le terme « pillage » définit le comportement agité et anormal des abeilles opportunistes qui pillent le miel des autres ruches.

Les apiculteurs professionnels dénoncent les intoxications observées sur les colonies d’abeilles exposées aux produits phytosanitaires. Cette situation n’est pas récente puisque nous trouvons des articles sur ce thème dans la “littérature” apicole depuis 50 ans environ.

Le miel n’est pas une fabrication de l’homme mais une production agricole primaire qui existe depuis les origines de l’humanité. Le pollen n’est pas un ingrédient mais un constituant naturel du miel.

Le 10 octobre dernier, Béatrice Robrolle-Mary, présidente de l'ONG Terre d'abeilles et Frank Alétru, président du Syndicat National d'Apiculture, ont été reçus par Olivier CUNIN.