Comment avez-vous financé votre démarrage ?
- pppswing
- Visiteur
c'est qu'il doit pas y avoir bcp de miel à faire !
A moins que tu n'ai pas vraiment cherché.
Tu préfères "te former à la dure" et bien continue, c'est ton choix et n'attends pas d'avoir la réponse miracle sur un forum !
Moi, je préfère voir des pros et demander conseil, on a tous plus ou moins les mêmes problèmes.
Et surtout je n'hésite pas à me déplacer et faire plusieurs milliers de kilomètres pour apprendre ce que les livres ne te donneront jamais.
Pour l'installation, y a pas de miracle, occasion, système D et bricolage.
Sinon fais du miel avec tes 200 ruches, et puis quand tu as l'argent tu achètes.
Tu crois qu'on fait comment ? On bosse, on ramène de l'argent, on investit.
Tu as déjà tout ce qu'il faut d'après l'énumération de ton équipement.
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- Aux ruchers du vexin
- Auteur du sujet
- Visiteur
pppswing écrit: S'il n'y a "pas de pros chez toi",
c'est qu'il doit pas y avoir bcp de miel à faire !
A moins que tu n'ai pas vraiment cherché.
Tu préfères "te former à la dure" et bien continue, c'est ton choix et n'attends pas d'avoir la réponse miracle sur un forum !
Moi, je préfère voir des pros et demander conseil, on a tous plus ou moins les mêmes problèmes.
Et surtout je n'hésite pas à me déplacer et faire plusieurs milliers de kilomètres pour apprendre ce que les livres ne te donneront jamais.
Pour l'installation, y a pas de miracle, occasion, système D et bricolage.
Sinon fais du miel avec tes 200 ruches, et puis quand tu as l'argent tu achètes.
Tu crois qu'on fait comment ? On bosse, on ramène de l'argent, on investit.
Tu as déjà tout ce qu'il faut d'après l'énumération de ton équipement.
crois tu toujour me la suis coulee douce?lol
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- mathieua
- Visiteur
L'année prochaine sera bonne et tout ira bien pour toi!
:lol:
En fait, la réponse à ta question c'est que les autres font comme toi!
On fait tous des conneries, mais on apprend tous également.
Te fais pas de soucis, tu es à la fin de la route et tu as tous les ingrédients pour réussir.
Pense peut-être à plus de transfo, pour valoriser la production, si tu trouves que ça rentre pas assez.
Et pour la SAFER, il peuvent d'aider à préempter 1Ha pour t'y installer.
A+
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- memepaspeur
- Visiteur
pppswing écrit: S'il n'y a "pas de pros chez toi",
c'est qu'il doit pas y avoir bcp de miel à faire !
A moins que tu n'ai pas vraiment cherché.
Tu préfères "te former à la dure" et bien continue, c'est ton choix et n'attends pas d'avoir la réponse miracle sur un forum !
Moi, je préfère voir des pros et demander conseil, on a tous plus ou moins les mêmes problèmes.
Et surtout je n'hésite pas à me déplacer et faire plusieurs milliers de kilomètres pour apprendre ce que les livres ne te donneront jamais.
Pour l'installation, y a pas de miracle, occasion, système D et bricolage.
Sinon fais du miel avec tes 200 ruches, et puis quand tu as l'argent tu achètes.
Tu crois qu'on fait comment ? On bosse, on ramène de l'argent, on investit.
Tu as déjà tout ce qu'il faut d'après l'énumération de ton équipement.
il y en a nous habitons a 30km l'un de l'autre je crois....perso en projet d'installation je pèse encore le pour et contre !?
il y a du miel a faire ici de l'élevage aussi, pour comparer avec des amis pro en centre France il semble même que ce soit une bonne région pour tout...
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- memepaspeur
- Visiteur
et ci tu veux parler apiculture par chez nous fait moi signe
bye
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- Aux ruchers du vexin
- Auteur du sujet
- Visiteur
mathieua écrit: Hé ben pour moi tu es installé!
L'année prochaine sera bonne et tout ira bien pour toi!
:lol:
En fait, la réponse à ta question c'est que les autres font comme toi!
On fait tous des conneries, mais on apprend tous également.
Te fais pas de soucis, tu es à la fin de la route et tu as tous les ingrédients pour réussir.
Pense peut-être à plus de transfo, pour valoriser la production, si tu trouves que ça rentre pas assez.
Et pour la SAFER, il peuvent d'aider à préempter 1Ha pour t'y installer.
A+
La route reste longue, je penses n'être qu'au tiers, oui j 'espère beaucoup dans l 'année prochaine, j'ai pris une année dans la vue , cette année a été moyenne, le châtaigner a perdu ses fleurs même pas éclose, le 20 juin, cela du a la sécheresse, et je n 'ai fait que 400 kilo de châtaigner. Le tilleul a bien donné mais un gros soucis juste avant m'a abîmé 80 ruches en fin de colza.
Je ne savais pas mais j'aurai du changer les reines de ces colos, juste après l 'incident. Ca a été une grosse perte et les reines n'ont rien donné ensuite. ( panne de pulvérisateur, j avais fermé les ruches la veille au soir, et je ne pouvais pas les ouvrir tant que es traitements étaient en cours...total elles ont ..pour celle qui étaient les plus populeuses, ..fondu; 20 pertes immédiates, les 60 autres ont malgré de nombreux soins remplacements de cadres ETC...pas réussis a se remettre. apparemment les ovaires des reines ont souffert on m'a conseillé après coup qu'il aurai fallut les changer immédiatement.
sinon je ne suis pas au point question EA.
En effet j 'ai toujours 30/100 de pertes entre les EA crées , pourtant avec 2/3 cadres de couvain, des cadres de miel; des ruchette neuves, et ceux qui sortent avec des reines bien fécondées.je devrait pouvoir améliorer cette partie de 30/100 en élevant les reines a part et en les introduisant. mais j 'hesite pour une raison..pourquoi concentrer la génetique sur quelques souches et ne pas garder la diversité des souches que j ai ? ma crainte étant de perdre les genetiques que j'ai actuellement...
Mon soucis de financement actuellement, c 'est pour pouvoir faire les réparations camions, fabriquer le plateau, mettre en oeuvre une remorque aux normes.
Et ce putain de soucis de bâtiment...
Et le financement des 300 ruchettes pour l élevage, j ai prevu en faire 100 pour les vendre 2016 après hivernage...avec les ruchettes neuves.
l'an prochain ce n'est plus 40 ruches que je dois déplacer...mais 100.
le Iveco peut en porter 20 il fait un peu plus de 4 m très de long par 2.10 de large. donc à cause du poids je ne pourrait pas bouger plus de 40 ruches sur ce camion. de plus il doit être fait dessus courroie , pompe a eau, et réparation du plateau qui est très abîmé.
certains vont dire pourquoi deux camions? en fait le Renault est 4*4 mais plateau de 2.9 mètre de long et 1.80 de large. pas plus de 3*4 12 ruches donc 24. son atout le passage en 4 roues. mais ca reste un véhicule fragile, les cardans avant cassent assez facilement ( j'en ai casse 2 cette année) mais il est vrai que je le sollicite beaucoup et il es vieux et usé.. le renault tombé en panne j ai du trouvé une solution rapidement et le iveco m'a permis de travailler pour 1400e toute la saison 2015.
donc oui j'y crois , mais encore beaucoup d 'obstacles à passer. le miel se vends bien il en devrait rien rester assez vite , et je peux me projeter, mais pour l 'instant ca n'empêche pas que le quotidien est dur a gérer et que si je ne trouves pas de solution pour financer les points dont j 'ai parlé ci dessous je risque de perdre une année car la prochaine saison va arriver vite et tout doit être prêt. Les abeilles ne doivent pas attendrent.
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- Aux ruchers du vexin
- Auteur du sujet
- Visiteur
memepaspeur écrit: ci tu cherche quelques infos tu as une association régional très compétente avec de grand noms de l'apiculture française notamment coté élevage...APPNP je peux te donner un contact via mp
et ci tu veux parler apiculture par chez nous fait moi signe
bye
kool envoie les coordonnées; oui même pas peur je me souvient, on a déjà discuté ensemble. ..je suis a côté de magny en vexin, faudra on se rencontre, je crois , j'espère te l'avoir proposé d'ailleurs. :whistle:
Comme toi je crois aussi qu'ici on a pas les mêmes choses qu'ailleurs, que les conditions sont pas faciles, mais qu'il y a quelques petites choses a faire.
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- chouette
- Visiteur
Je connais bien le Vexin: La région est effectivement très porteuse pour la commercialisation mais très handicapante pour le foncier et pour la production. Meru est mieux située que Magny. Quand on pense que la zone était bocagère il y a encore 100 ans et que maintenant une bonne partie du vexin est une plaine d'agriculture intensive avec peu d'arbres....
L'apiculture y subit de plein fouet les pesticides agricole.
Pour moi je formulerai la question de ton financement un peu différemment: Comment trouver l'adéquation entre les pertes que tu subit et la viabilité-développement de ton entreprise. car même si ton miel est bien valorisée dans cette région, les charges (pertes de colonies, foncier, impôts locaux,, transhumances.....) sont très importantes. Comment rendre ton entreprise pérenne, supportant les investissements, réparations, renouvellements de matériel ect.
Voilà une piste à réfléchir je pense et personne ne peux te donner LA solution.
Bon courage
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- Aux ruchers du vexin
- Auteur du sujet
- Visiteur
pppswing écrit: S'il n'y a "pas de pros chez toi",
c'est qu'il doit pas y avoir bcp de miel à faire !
A moins que tu n'ai pas vraiment cherché.
Tu préfères "te former à la dure" et bien continue, c'est ton choix et n'attends pas d'avoir la réponse miracle sur un forum !
Moi, je préfère voir des pros et demander conseil, on a tous plus ou moins les mêmes problèmes.
Et surtout je n'hésite pas à me déplacer et faire plusieurs milliers de kilomètres pour apprendre ce que les livres ne te donneront jamais.
Pour l'installation, y a pas de miracle, occasion, système D et bricolage.
Sinon fais du miel avec tes 200 ruches, et puis quand tu as l'argent tu achètes.
Tu crois qu'on fait comment ? On bosse, on ramène de l'argent, on investit.
Tu as déjà tout ce qu'il faut d'après l'énumération de ton équipement.
Ce que j'ai voulu dire c'est que avant d'aller faire perdre du temps à des pros sur le terrain, je voulais avoir un minimum de connaissances, de savoir faire...pour mieux intégrer ensuite ce qu'il me manquerait. Je penses être arrivé à ce moment là; ou il sera plus facile pour moi d 'appréhender certaines techniques, coup de mains, propres à chaque éleveur/apiculteur.
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- mathieua
- Visiteur
A la création, c'est juste un petit accueil de ta nouvelle reine que tu constitues. Si la reine est bonne, ton essaim sera très vite populeux même fait sur un petit cadre.
Pour moi c'est la qualité des reines qui fait tout. Mettre 3 couvain pour moi c'est gâché.
Et si tu veux garder ta génétique multiplie sur tes meilleurs reines.
Après, prends avec des pincettes ce que je dis là, c'est le retour d'une petite expérience.
(Si vous voulez déblatérez là dessus, on ouvre un nouveau sujet!)
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- gallus
- Visiteur
Aux ruchers du vexin écrit: Ce que j'ai voulu dire c'est que avant d'aller faire perdre du temps à des pros sur le terrain, je voulais avoir un minimum de connaissances, de savoir faire...
Tu as peut être pris le problème à l'envers.
On se forme d'abord chez un pro avant de partir tout seul.
Si je veux devenir plombier, je vais aller apprendre mon métier chez un plombier, non?
Tu t'es peut être crée des problèmes pour rien, être aux cotés de qq de compétent permet de gagner du temps et donc de l'argent.
Je connais un scénario "classique" d'installation réussie.
Trois ou quatres saisons chez des pros, quitte à aller en australie ou nouvelle zelande pour l'hiver.
Fort de l'expérience acquise, contact avec la chambre d'agriculture de ton lieu de future installation.
Les conseillers agricoles sont là pour t'aider dans l'aspect financier de ton projet.
Quand on a 20/30 ans, pas d'enfants, c'est la solution la plus simple et efficace.
Et surtout fuir les formations style BPREA qui te font perdre du temps et font passer à coté de l'essentiel.
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- Aux ruchers du vexin
- Auteur du sujet
- Visiteur
mathieua écrit: Je crois qu'on se trompe quand on croit qu'un bon essaim est un essaim populeux.
A la création, c'est juste un petit accueil de ta nouvelle reine que tu constitues. Si la reine est bonne, ton essaim sera très vite populeux même fait sur un petit cadre.
Pour moi c'est la qualité des reines qui fait tout. Mettre 3 couvain pour moi c'est gâché.
Et si tu veux garder ta génétique multiplie sur tes meilleurs reines.
Après, prends avec des pincettes ce que je dis là, c'est le retour d'une petite expérience.
(Si vous voulez déblatérez là dessus, on ouvre un nouveau sujet!)
je commence a penser pareil, mais ca se dev qd même plus vite si elles ont chaud et ont beaucoup de jeunes abeilles naissantes. j 'ai par ailleurs eu le pb de l essaimage de certaines de ces petites colos une semaine après constitution... (je suis sur n'avoir laissé qu'une seule CR), ou plutôt de la sortie de 80% des abeilles qui se pendent ds un arbre..et qui rentrent un quart d heure après. J'ai pas compris ce phénomène observé plusieurs fois.
j ai fait au mois d aout ; avec des bucks, et des intros de bucks achetées, des essaims sur un cadre de couvain. un cadre de miel et un cadre bati. oui ca fonctionne mais c est chaud. j ai nourri avec du candi protéiné a mort a cause de la sécheresse et ca a l'air d aller. elles sont populeuses, calmes, cadres blanchis et ca ramasse du pollen et mange beaucoup..deux cadres de couvain et deux faces de cadres construites en ace des 3 bâtis que j avais posés..au départ donc.
Je sais qu'avec les noires la même chose eu été impossible pour l 'avoir déjà tenté.
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- kakikooka
- Visiteur
"Et surtout fuir les formations style BPREA qui te font perdre du temps et font passer à coté de l'essentiel"
Qu'entends tu par "l'essentiel" ?
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- mika79
- Visiteur
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- Thierry71
- Visiteur
si tu peu pas monter ton projet tout seul , tu pourra pas mieux t'en sortir une fois installer, et c'est pas ceux qui t'on conseillé qui viendront te sortir d'un mauvais pas , si ce n'est plus ....... et crois moi ça ce vérifie régulièrement
les CA j'y ai une confiance plus que limité , ne pas oublié que c'est toi le chef d'entreprise et non eux ils ne sont que des conseiller , mais c'est ta vie et ton fric que tu va t'échigné a gagner ne perd jamais ça de vue , je sais de quoi je parle tu peux me faire confiance
a+ bonne journée
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- Aux ruchers du vexin
- Auteur du sujet
- Visiteur
gallus écrit:
Aux ruchers du vexin écrit: Ce que j'ai voulu dire c'est que avant d'aller faire perdre du temps à des pros sur le terrain, je voulais avoir un minimum de connaissances, de savoir faire...
Tu as peut être pris le problème à l'envers.
On se forme d'abord chez un pro avant de partir tout seul.
Si je veux devenir plombier, je vais aller apprendre mon métier chez un plombier, non?
Tu t'es peut être crée des problèmes pour rien, être aux cotés de qq de compétent permet de gagner du temps et donc de l'argent.
Je connais un scénario "classique" d'installation réussie.
Trois ou quatres saisons chez des pros, quitte à aller en australie ou nouvelle zelande pour l'hiver.
Fort de l'expérience acquise, contact avec la chambre d'agriculture de ton lieu de future installation.
Les conseillers agricoles sont là pour t'aider dans l'aspect financier de ton projet.
Quand on a 20/30 ans, pas d'enfants, c'est la solution la plus simple et efficace.
Et surtout fuir les formations style BPREA qui te font perdre du temps et font passer à coté de l'essentiel.
sauf j'ai 45 ans, femmes et enfants.
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- mika79
- Visiteur
Thierry71 écrit: pourquoi les chambres d'agriculture????
si tu peu pas monter ton projet tout seul , tu pourra pas mieux t'en sortir une fois installer, et c'est pas ceux qui t'on conseillé qui viendront te sortir d'un mauvais pas , si ce n'est plus ....... et crois moi ça ce vérifie régulièrement
les CA j'y ai une confiance plus que limité , ne pas oublié que c'est toi le chef d'entreprise et non eux ils ne sont que des conseiller , mais c'est ta vie et ton fric que tu va t'échigné a gagner ne perd jamais ça de vue , je sais de quoi je parle tu peux me faire confiance
a+ bonne journée
Sauf que si tu t'installe et que tu fais ton chiffrage tous seul et qu'ensuite tu va voir la banque, direct il vont te dire d'aller voir la chambre d'agriculture pour faire ton PDE, et désolé mais pour connaître toute les aides auquel on peut prétendre il faut bien aller voir la chambre d'agriculture et l'ADA. Ces gens là il sont la pour d'aider pas pour te baisser la gueule.
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- Aux ruchers du vexin
- Auteur du sujet
- Visiteur
mika79 écrit:
Thierry71 écrit: pourquoi les chambres d'agriculture????
si tu peu pas monter ton projet tout seul , tu pourra pas mieux t'en sortir une fois installer, et c'est pas ceux qui t'on conseillé qui viendront te sortir d'un mauvais pas , si ce n'est plus ....... et crois moi ça ce vérifie régulièrement
les CA j'y ai une confiance plus que limité , ne pas oublié que c'est toi le chef d'entreprise et non eux ils ne sont que des conseiller , mais c'est ta vie et ton fric que tu va t'échigné a gagner ne perd jamais ça de vue , je sais de quoi je parle tu peux me faire confiance
a+ bonne journée
Sauf que si tu t'installe et que tu fais ton chiffrage tous seul et qu'ensuite tu va voir la banque, direct il vont te dire d'aller voir la chambre d'agriculture pour faire ton PDE, et désolé mais pour connaître toute les aides auquel on peut prétendre il faut bien aller voir la chambre d'agriculture et l'ADA. Ces gens là il sont la pour d'aider pas pour te baisser la gueule.
ce qu'il voulait dire, c 'est on peut y prendre des conseils s'y informer mais attention a ne pas appliquer yeux fermés ce que l on ne comprends pas ou ne sens pas. beaucoup se plantent à cause de modèles théoriques...appliqués trop facilement et le banquier ne vivant pas ds le pays appelé Théorie te le fait savoir...trois années sans récolte et tu es mort.
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- cdsjo
- Visiteur
Je ne serai peut être pas objectif pour parler des chambres d'agriculture, donc je ne dis rien.
Par contre les ADA, nous n'avons pas beaucoup de structures pour nous aider et je voudrai te faire changer d'avis là dessus.
Les ADA, c'est du bénvolat, c'est à dire des gens qui donnent de leur temps et de leur pognon pour un idéal, faire vivre l'apiculture.
Pour être clair, mon épouse, chef d'exploitation, est membre du CA de notre ADA et le but, c'est de participer à une structure apicole et d'essayer de faire avancer les choses. Il y a x réunions dans l'année, des apis qui se paient le déplacement, qui abandonnent leur exploitation momentanément pour apporter des solutions à nos problèmes.
Ces ADA ont des salariés, embauchés par les mêmes bénévoles qui chapeautent le tout et décident in fine des directions dans lesquelles agir.
C'est grâce à l'ada locale que cette année nous avons pu entamer la lutte contre le cynips, parce ce que personne ne voulait s'y coller.
Nous sommes demandeurs de chiffres et d'études diverses sur l'apiculture, les ADA sont des structures neutres, qui n'ont rien à nous vendre ce qui n'est pas souvent le cas ailleurs.
Mon credo c'est que chaque apiculteur devrait se sentir concerné. Et encore les ADA n'ont rien à vendre, elles sont là pour vous aider, mais pas sans vous, et encore moins contre vous.
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- mika79
- Visiteur
cdsjo écrit: Salut mika
Je ne serai peut être pas objectif pour parler des chambres d'agriculture, donc je ne dis rien.
Par contre les ADA, nous n'avons pas beaucoup de structures pour nous aider et je voudrai te faire changer d'avis là dessus.
Les ADA, c'est du bénvolat, c'est à dire des gens qui donnent de leur temps et de leur pognon pour un idéal, faire vivre l'apiculture.
Pour être clair, mon épouse, chef d'exploitation, est membre du CA de notre ADA et le but, c'est de participer à une structure apicole et d'essayer de faire avancer les choses. Il y a x réunions dans l'année, des apis qui se paient le déplacement, qui abandonnent leur exploitation momentanément pour apporter des solutions à nos problèmes.
Ces ADA ont des salariés, embauchés par les mêmes bénévoles qui chapeautent le tout et décident in fine des directions dans lesquelles agir.
C'est grâce à l'ada locale que cette année nous avons pu entamer la lutte contre le cynips, parce ce que personne ne voulait s'y coller.
Nous sommes demandeurs de chiffres et d'études diverses sur l'apiculture, les ADA sont des structures neutres, qui n'ont rien à nous vendre ce qui n'est pas souvent le cas ailleurs.
Mon credo c'est que chaque apiculteur devrait se sentir concerné. Et encore les ADA n'ont rien à vendre, elles sont là pour vous aider, mais pas sans vous, et encore moins contre vous.
Je suis bien d'accord avec toi, je vois pas où j'ai dit le contraire.
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- pppswing
- Visiteur
Dans certains départements elles ont développé de vrais compétences dans certaines cultures.
Les alsaciens ont une très bonne chambre pour l'apiculture, les girondins la vigne...
ll y a aussi des objectifs d'installation sur certaines cultures au niveau de la région, avec une implication des chambres.
Dans tous les cas, la chambre est le passage obligé pour les JA avec PPP, stage de 21H, PDE, CDOA pour l'installation.
Pour les vieux, la DVA est à l'étude.
Dans tous les cas (jeunes et vieux) il y a plein de subventions, MAE, france agrimer, les collectivités et l'europe. En moyenne 30 à 40% des investissements, mais dans certaines régions 60%. Il faut remplir les dossiers et se renseigner.
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- cdsjo
- Visiteur
Je vais me concentrer sur autre chose, là, sur le coup, je vois bien les limites de l'âge, c'est ma seule excuse.
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- Thierry71
- Visiteur
a+
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- gallus
- Visiteur
kakikooka écrit: A Gallus,
"Et surtout fuir les formations style BPREA qui te font perdre du temps et font passer à coté de l'essentiel"
Qu'entends tu par "l'essentiel" ?
Les deux seules matières où j'ai appris qq chose qui m'a servi ensuite sur le terrain, c'est la comptabilité et l'organisation du travail.
Pour l'apiculture, autant acheter le livre "traité Rustica sur l'apiculture", c'est plus complet, tu l'as toujours sous la main et çà coute 50€, c'est à dire rien du tout.
La pratique ne peut s'apprendre que sur le terrain auprès d'api pros compétents:
- gérer l'essaimage et récolter du miel
- faire des dizaines d'essaims dans la journée
- greffer et faire féconder des reines en grand nombre
- anticiper ses besoins pour être prêt au moment voulu
- se débrouiller face à l'imprévu
- organiser son travail quand on a de plus en plus de ruches sans avoir le sentiment d'être débordé en restant maitre à bord
- prendre des notes, s'en servir, pour prendre des décisions et s'organiser
- connaitre tout le matériel vendu par les fabricants et savoir à quoi çà sert, pour ensuite être mieux à même de faire les bons choix
- connaitre un maximum d'apis pros de sa région
- trouver des coins où poser ses ruches en fonction des miellées
En BPREA, j'avais proposé que le (dé)formateur nous fasse son cours en se basant sur le catalogue de Koko, comme çà on aurait parcouru tout l'ensemble de l'activité apicole. Il m'a envoyé baladé.
Mais évitons de parler de cette formation, sans intérêt.
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- mathieua
- Visiteur
Moi avant j'étais salarié, je n'avais pas beaucoup de temps.
Le BPREA m'a permis de asser an à penser mon projet, à le confronter à d'autres projets et avis, et à visiter des exploitations.
Et ça m'a beaucoup servi, sans compter la compta qui a été pour moi une belle découverte!
Après question apiculture, c'est vrai que c'est loin d'être le top, mais on ne va pas sur les ruches, donc c'est normal!
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- ardecho
- Visiteur
et je pense comme Thierry au sujet des chambres d'agriculture et compagnie, représentées dans 99% des cas par
des gens qui ne savent pas de quoi ils parlent :whistle:
les aides, ça aide comme leur nom l'indique mais si on peut, mieux vaux se débrouiller pas sois-même, histoire de ne pas se retrouver tenu par les couilles.
Je connais un paquet de jeunes qui ont du rembourser leur DJA après des années a essayer de suivre les directives de ces guignols !
apprendre auprès des pros, grandir petit à petit, ré-investir chaque € gagné, diviser ses ruches, retaper du matos d'occasion, pour moi c'est le meilleur moyen de créer sa structure en restant indépendant.
après oui c'est compliqué, dur niveau financier et il faut une famille compréhensive
mais bon, on a rien sans rien
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- cdsjo
- Visiteur
Si on n'en attend pas des miracles, ça va, on y donne certaines notions que l'on n'aurait pas ailleurs et on est au contact d'autres personnes qui ont des projets semblables, ça oblige à un minimum de discipline, bref ce n'est pas inutile.
Ce n'est pas là qu'on apprend l'apiculture, le métier s'apprend bien sûr sur le terrain mais contrairement à d'autres boulots il faut un minimum de 10 ans de pratique pour maîtriser à peu prés toutes les situations et encore, ceci est aggravé par le fait que l'on est souvent seul et qu'on peut avoir du mal à cerner ses erreurs et ses imperfections.
Sur les aides, elles ont pour conséquence une privation de la liberté puisqu'on est tenu à respecter un cadre préétabli. Pour le reste, outre les aides, il n'y n'y a que des avantages: discipline de travail, explications de la compta que l'on peut apprendre chemin faisant et qui permet de ne pas faire n'importe quoi.
Pour parler un peu des échecs, ceux ci sont des situations personnelles, certes il y en a davantage lorsque la météo n'est pas au rendez vous mais il y a de multiples raisons:
Cela peut être simplement que la personne n'est pas faite pour (déficit de volume de travail, manque de sérieux dans l'accomplissement de chaque étape)
mais aussi une installation avec des connaissances insuffisantes, des projets mal calculés, une inadéquation entre les dépenses en équipement immédiat et les recettes (ne pas savoir anticiper les mauvaises années).
Il y a toujours des accidents de parcours difficiles à prévoir et qui peuvent mener à l'échec mais c'est l'exception; les échecs sont presque toujours la conséquence de la non compatibilité entre la personne et les moyens humains que ce métier demande.
Il n'y a aucune honte à échouer, il y a pas mal de mérite à réussir; ce métier demande de la prudence, du volontarisme, du courage, de l'ambition, quelquefois un peu d'égoïsme et pas mal d'enthousiasme, nous avons la chance de travailler dans un milieu sain, en dehors de la cohue de la société contemporaine et d'apporter un produit apprécié, cela vaut quelques sacrifices.
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- gallus
- Visiteur
Connaitre ses prix de revient, savoir ce que l'on gagne, ce que l'on va pouvoir investir, c'est assez basique comme question non?
Chacun fait ce qui lui plait, c'est l'un des charmes de l'apiculture.
Mais si c'est pour en vivre autant utiliser tous les outils à ta disposition et chacun fait à son rythme.
Si la formation apicole est pourrie, les raisons en sont simples:
Les formateurs sont mal payés, sans statuts, pas très ou du tout compétent à la base et à plus haut niveau on sans fout.
Ces formations sont un alibi pour faire croire que l'on forme des gens.
C'est sur que visiter une exploitation apicole c'est intéressant.
C'est passionnant, exaltant de découvrir une exploitation qui a 35 ans d'age, qui fonctionne super bien.
Juste une question, comment faire pour en arriver là ? j'ai pas un rond et j'ai tout à apprendre !!
Ce n'est pas durant la formation où j'ai trouvé des réponses.
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- popol
- Visiteur
mais comment pourrait on constater autre choses si coté "formateur" on est face à des gens qui comme le souligne Cdsjo, n'ont jamais été confronté aux vrais problèmes d'une exploitation apicole ??
le problème est essentiellement là et pour les subventions c'est la même chose, même donner par exemple du jour au lendemain 100 ou 200 caisses à un débutant (comme ça se pratique ailleurs) ne représente certainement pas plus de solutions ??
si au contraire, toujours pour reprendre Cdsjo, on admet qu'un apprentissage de longue durée est nécessaire, pourquoi essayer de laisser croire qu'un apiculteur peut être formé en 10 mois avec à la clef une bourse (insuffisante) d'installation ?
pourquoi non plus ne pas admettre (puisque c'est le cas) que la plupart des apis qui tracent leurs routes ensuite, sont issues ou formés par de vrais apiculteurs ?? et pourquoi selon ce constat ne pas envisager (plutôt qu'un vague stage) une vraie formation (et sur plusieurs années) auprès de professionnels qui ont fait leurs preuves, exactement comme un apprentissage avec aides et horaires biens adaptées ???
c'est pourtant relativement simple de constater, ce métier étant saisonnier, qu'il serait extrêmement facile de concilier des heures de cours et de théories en hiver avec une formation technique sur le terrain dès la saison commencée, mais en partenariat avec de vrais pros, sans oublier à la clef, et après une qualification rigoureuse (BP ou autre) et à ce moment là des aides bien mieux adaptées, ??
puisqu'il faut environ 50/70 000€ pour démarrer une exploitation viable, pourquoi ne pas envisager carrément cette aide, par exemple à taux 0%, mais seulement à des apis biens formés, plutôt que donner (souvent à fond perdus) des enveloppes bien inférieures et ne suffisant pas ?
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- memepaspeur
- Visiteur
popol écrit: Sans doute que notre modèle de formation n'est pas au top !!
mais comment pourrait on constater autre choses si coté "formateur" on est face à des gens qui comme le souligne Cdsjo, n'ont jamais été confronté aux vrais problèmes d'une exploitation apicole ??
le problème est essentiellement là et pour les subventions c'est la même chose, même donner par exemple du jour au lendemain 100 ou 200 caisses à un débutant (comme ça se pratique ailleurs) ne représente certainement pas plus de solutions ??
si au contraire, toujours pour reprendre Cdsjo, on admet qu'un apprentissage de longue durée est nécessaire, pourquoi essayer de laisser croire qu'un apiculteur peut être formé en 10 mois avec à la clef une bourse (insuffisante) d'installation ?
pourquoi non plus ne pas admettre (puisque c'est le cas) que la plupart des apis qui tracent leurs routes ensuite, sont issues ou formés par de vrais apiculteurs ?? et pourquoi selon ce constat ne pas envisager (plutôt qu'un vague stage) une vraie formation (et sur plusieurs années) auprès de professionnels qui ont fait leurs preuves, exactement comme un apprentissage avec aides et horaires biens adaptées ???
c'est pourtant relativement simple de constater, ce métier étant saisonnier, qu'il serait extrêmement facile de concilier des heures de cours et de théories en hiver avec une formation technique sur le terrain dès la saison commencée, mais en partenariat avec de vrais pros, sans oublier à la clef, et après une qualification rigoureuse (BP ou autre) et à ce moment là des aides bien mieux adaptées, ??
puisqu'il faut environ 50/70 000€ pour démarrer une exploitation viable, pourquoi ne pas envisager carrément cette aide, par exemple à taux 0%, mais seulement à des apis biens formés, plutôt que donner (souvent à fond perdus) des enveloppes bien inférieures et ne suffisant pas ?
a médité
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