Coronavirus, visites de ruchers et transhumances
- Abeille4321
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- Yoann
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- Abeille4321
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- Péré
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- cdsjo
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- Abeille4321
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- stf
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e ris , car si tout est bloqué , il n'y aurais pas de carburant , donc pas de possibilité même d'aller visiter des ruchers sédentaires situés au delà de notre zone de déplacement à pieds à vélo ou en traction animale . Un blocus de l'économie asiatique ( médicaments pièces détachées etc. ) pourrait clouer certains au sur place . Tant que ce virus ne s'est pas trop propagé limiter les déplacements retarde l'épidémie . Quand il seras partout ( ce qui ne saurait tarder ) il n'y aura plus aucune raison de limiter déplacements et rassemblements . La mondialisation économique ne pourra pas fonctionner longtemps si tout le monde veut se barricader . Nous aurons seulement un mauvais moment à passer en espérant seulement de ne pas faire partie des victimes nous ou nos proches ( 1 ou 2 % de la population en fonction de ce que l'on nous dit ) . La survie des abeilles et des exploitations ne sera certainement pas la préoccupation majeure de nos responsables .
moi qui n'avait pas trop grand espoir sur une décroissance, comme quoi avec un peu de bonne volonté c'est possible..:silly:
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- louiseluc
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Pour rappel en comparaison, la grippe a tué 9500 personnes en france en 2018....
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- babillou
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pour essayer de comprendre
d’après le site " fr.statista.com/infographie/11358/mortalite-de-la-grippe-en-france/ ", il est indiqué que "L'hiver dernier (2018-2019), l’InvS (Santé Publique France) a estimé à près de 18 000 décès l’excès de mortalité lié en partie à la grippe et à d'autres facteurs hivernaux pendant la période épidémique qui a duré 16 semaines. D'après un modèle développé par Santé publique, il est estimé que 12 980 de ces décès peuvent être directement attribués à la grippe et 85 % des victimes sont âgés de 75 ans ou plus."
donc pour comparer avec la grippe, s'il est pris un nombre comparable de personne contractant le covid 19, soit 2 millions pour la fourchette la plus basse (source www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/grippe ).
et si on applique "Un « taux de létalité de 3,4% " selon l'estimation de ce jour fourni par le le directeur général de la Santé, le Pr. Jérôme Salomon (source
www.leparisien.fr/societe/coronavirus-l-epidemie-a-fait-86000-contaminations-et-3000-morts-dans-le-monde-de-nombreux-rassemblements-interdits-en-france-01-03-2020-8270001.php )
alors il y aura potentiellement 68000 décès... ( 2000000 x 0,034 = 68000 )
il reste aujourd'hui à espérer que le taux de létalité du covid 19 soit plus faible, mais aussi à se rappeler qu'il y a une couverture vaccinale contre la grippe (hélas insuffisante) qui a un rôle protecteur des vaccinés et de ceux qui les entourent.
bonne nuit
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- louiseluc
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- mathieua
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C'est une petite grippe, qui commence déjà a être maitrisé la ou il est apparut (on vient de passer au dessus des 50% de guérisons des patients atteints...)
Arrêtons la psychose.
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- happy.bee
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Imagine que ce soit un de tes proches .
Espérons qu'un pas plus important soit fait dans l'élaboration d'un traitement.
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- stf
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de plus j'ai des reines Italiennes qui commencent a tousser....:silly:
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- mathieua
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Évidemment qu'un mort est toujours de trop, ce n'est pas la question.
Nous parlons de mesures nationales et nous discutons de leur justification, la question' du deuil est totalement hors sujet...
De plus, si on parle en nombre de morts, il semblerait que l'arrivée du virus ait sauve plus de vies en limitant l'activité et la pollution engendrée, que le nombre qu'il a causé...
Ironie du sort...
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- Abeille4321
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- stf
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pour rassurer ton petit:
www.lexpress.fr/actualite/pourquoi-les-coronavirus-epargnent-les-enfants_2117482.html
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- mathieua
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J'en connais au moins 5 qui disent tout le contraire...
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- f38ob
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Y a pas de quoi paniquer, les chiffres de mortalité sont largement surestimé (par précaution) les stat ont été faites en chine ou on vous test que si vous êtes déjà vraiment bien atteint.
On estime à au moins + 35% les personnes contaminé, jamais testé parce que sans aucun symptôme ou juste un petit rhume. Bref pas plus problématique qu'une année avec une mauvaise grippe.
Et oui pour la grippe c'est comme le miel y a des bonnes et des mauvaises années.
Ne pas oublier aussi qu'au début en chine, comme ils ne savaient pas et qu'il ont mis un peu de temps à réagir, ils se sont bien mutuellement infectés et sur infectés pendant un temps relativement long avant de faire beaucoup plus attention, résultat, ils sont déjà sur une décru de l’épidémie au bout de seulement deux mois.
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- jww
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.
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- Abeille4321
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- babillou
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Cela donne à réfléchir et doit nous inciter à la prévention.
"Le cœur de la crise se situe en Lombardie (5 500 cas diagnostiqués, dont près de 1 300 nouveaux entre dimanche et lundi). Même si, dans cette région, à la fois la plus peuplée et la plus riche d’Italie, les infrastructures médicales sont exemplaires, elles ne semblent pas dimensionnées pour répondre à la crise. Selon le docteur Antonio Pesenti, coordinateur de l’unité de crise de la région, 18 000 patients devraient y être hospitalisés d’ici au 26 mars, dont environ 3 000 en soins intensifs. Des chiffres très supérieurs aux ressources disponibles : pour l’heure, sur l’ensemble de son territoire, l’Italie dispose de 5 100 lits de cette catégorie.
« Désormais, nous sommes obligés d’installer des lits de soins intensifs dans le couloir, dans les salles d’opération, dans les salles de réveil. Nous avons vidé des salles d’hôpital entières pour faire de la place aux personnes gravement malades. L’un des meilleurs systèmes de santé au monde, celui de la Lombardie, est à deux pas de l’effondrement », explique le docteur Antonio Pesenti dans une interview au quotidien milanais Il Corriere della Sera.
Pour ce médecin, la catastrophe ne pourra être évitée que si tous les Italiens se disciplinent. « Ce n’est pas le moment de sortir, d’aller faire du shopping ou d’aller boire des spritz », martèle le médecin. « Les relations sociales doivent être modifiées, les magasins et les marchés de quartier fermés. A Milan, où je vis, il y a encore trop de gens dehors sans raison. » En attendant l’effet de ces mesures de quarantaine, l’urgence est de « faire de la place aux nouveaux patients », souligne Giulio Gallera, le conseiller santé de la Lombardie. Dès que leur état de santé est stabilisé, les malades sont transférés au plus vite dans d’autres établissements, dont des maisons de retraite, pour leur convalescence. Et tous les patients dont les symptômes sont modérés sont renvoyés chez eux.
La situation est d’autant plus tendue que le nombre de respirateurs artificiels est limité. « Nous faisons de notre mieux, mais sommes dans une situation de pénurie », reconnaît le docteur Matteo Bassetti, qui dirige le service des maladies infectieuses de l’hôpital San Martino, à Gênes. « Nous les réserverons aux patients qui ont le plus de chance d’en bénéficier », poursuit le médecin. Pour accompagner les médecins réanimateurs dans leurs décisions, des recommandations éthiques ont été publiées ce week-end. L’objectif est « d’assurer un traitement intensif aux patients ayant les plus grandes chances de succès thérapeutique : il s’agit donc de donner la priorité à l’espérance de vie », estime la Societé italienne des réanimateurs. Il n’est plus possible, dans un tel contexte, d’appliquer la règle du « premier arrivé, premier servi ».
« C’est un cauchemar, lâche le docteur Matteo Bassetti. Nous avons beaucoup de patients âgés avec des comorbidités, mais nous avons aussi beaucoup de patients plus jeunes, qui souffrent de pneumonies avec une insuffisance respiratoire », explique le médecin, ce qui requiert « une ventilation pendant une semaine ou deux ». Il rappelle que pour 80 % à 85 % des patients, une hospitalisation n’est pas nécessaire. En Italie, seuls les patients avec d’importants symptômes sont désormais testés, mais selon cet infectiologue, il y aurait au moins quatre à cinq fois plus de patients infectés que le nombre de cas officiel.
A Bergame, tout près de l’épicentre de l’infection, les médecins se retrouvent « à devoir décider du sort d’êtres humains, à grande échelle », témoigne le docteur Christian Salaroli, réanimateur à l’hôpital dans un entretien au Corriere della Sera. « Pour l’instant, je dors la nuit. Parce que je sais que le choix est basé sur l’hypothèse que quelqu’un, presque toujours plus jeune, est plus susceptible de survivre que l’autre. C’est au moins une consolation. » Ce médecin décrit « une médecine de guerre », dont l’objectif est de « sauver la peau » du plus grand nombre. Il espère que son message sera enfin entendu : « Restez chez vous, restez chez vous », supplie-t-il."
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- louiseluc
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- Gilles Ratia
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Donc les apiculteurs transhumants sont concernés...
Quod erat demonstrandum
PS: rappel, ici dans ce Forum, on parle d'apiculture, pas de politique.
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- Abeille4321
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- Herve oizon
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- Abeille4321
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