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Vu sur une autre liste.. ça fout le bourdon (sans mauvais jeu de mot)

  • baub27
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29 Mar 2009 00:00 #28708 par baub27
Pour information, long mais instructif !
Syndicat des Apiculteurs Professionnels de Bretagne (S. A. P. B.)
L’abeille disparaît à cause des pesticides, il est malhonnête de le
contester …
Et la situation continue à se dégrader…
Le Grenelle de l’environnement a viré au Grenelle de l’empoisonnement :
L’industrie agrochimique remplace les anciennes molécules moins
rentables par de nouvelles bien plus lucratives et d’une toxicité encore
jamais vue.
On ne mesure plus le toxique en mg/l, ou en ppm, mais maintenant en ppb
(partie par milliard).
Exemple du Cruiser récemment autorisé: la fine pellicule d’enrobage
d’un grain de maïs contient 0,63mg de thiaméthoxam (source Syngenta),
ouvrez un ce ces sacs de semences Cruiser, prenez un grain de maïs, un
seul, balancez le dans une cuve de 5000 litres d’eau, vous atteignez une
contamination de 0,126 microgramme/litre, soit au dessus de la norme
européenne de 0,1 microgramme/litre pour l’eau potable. Le thiaméthoxam
est hypersoluble dans l’eau (jusqu’à 5gr/litre d’eau).
Semé à 100 000 grains/hectare, le potentiel de contamination d’un ha de
maïs Cruiser correspond donc à la contamination potentielle d’un
demi-milliard de litres d'eau à 0,126 microgrammes/litres. Une partie de
ce thiaméthoxam arrivera inéluctablement à votre robinet. Une partie
aussi, c’est l’objectif, se diffusera dans la sève de la plante, et
cette fois ce sont nos petites abeilles et tous les insectes
pollinisateurs qui resteront sur le champ. Et quel impact d’un tel
poison sur les vers de terre et toute la flore microbienne du sol ?
Les firmes chimiques connaissent l’extrême toxicité de la molécule
ainsi que sa rémanence : « une utilisation seulement tous les 3 ans », «
pas de plante attractive pour les abeilles dans la rotation des cultures
» (et le maïs ? ) , « installer des déflecteurs sur les semoirs pour que
les poussières ne s’envolent pas », « remplissez le semoir à plus de 10m
du bord du champ », « semer par vent faible », « portez des équipements
qui protègent les yeux, la bouche et le nez, notamment un masque, des
gants, une combinaison à capuche… »…
Seraient-ce « les graines de la mort » pour exiger de l’agriculteur
tant de précautions ?
Vous pouvez consulter toutes les précautions d’emplois à l’intention de
l’agriculteur … à vous donner froid dans le dos… (1)
Veulent-ils exterminer les apiculteurs, ces témoins gênants ? Les
abeilles disparaissent en quantité depuis une dizaine d’années, ce qui
correspond à l’arrivée des néonicotinoïdes dont le fameux Gaucho que
tout le monde croit interdit mais dont la molécule, l’imidaclopride, est
de plus en plus présente dans les sols français. Elle est toujours
utilisée pour les céréales, pour la betterave à sucre, pour des
fruitiers… sous une vingtaine de marques commerciales, liste que vous
pouvez trouver sur le site du Ministère de l’agriculture (2).
.
Elle est présente partout. Une étude en 2002-2003 relevait que 60 à 70%
des pollens de végétation spontanée contenaient de l’imidaclopride à des
doses suffisantes pour constituer une toxicité chronique.
La plupart des apiculteurs sont convaincus de ces faits mais ce n’est
pas facile pour eux de le prouver : les abeilles ne revenant pas à la
ruche, il est difficile de les faire analyser. On assiste de plus en
plus à une dépopulation des ruches tout au long de la saison, avec
beaucoup de problèmes de fertilité (beaucoup de ruches bourdonneuses…).
Et que sait-on aujourd’hui des effets synergiques de plusieurs molécules
? On retrouve un tel cocktail dans la nature, même dans l’eau de pluie!
Voir étude 1999-2002(3).
Une récente étude en Italie a prouvé l’extrême toxicité des exsudats de
maïs traités aux néonicotinoïdes, de l’ordre de 1000 fois la dose fatale
à l’abeille. (4)
La plupart des apiculteurs sont écœurés du refrain de l’AFSSA: « les
mortalités d’abeilles sont dues à des causes multifactorielles ».
L’apiculteur était-il plus compétent autrefois ? Il y a moins de 20 ans,
des « papis » produisaient du miel en se contentant de soulever le toit
de la ruche 2 fois par an, une fois pour poser la hausse, une fois pour
l’enlever. Leur principal souci était d’avoir des ruches vides pour
installer les essaims naturels qui se présentaient. Aujourd’hui malgré
les élevages de reines et les nombreux essaims que nous faisons sans
cesse, nous avons en permanence des palettes de ruches vides.
L’évolution est dramatique depuis quelques années. D’ailleurs les
chiffres officiels l’annoncent : moins 15 000 apiculteurs amateurs au
niveau national entre 1994 et 2004 (source audit GEM) et depuis le
déclin s’est accéléré…
Les maladies, parasites ou champignons divers existaient avant, ils ne
sont pas la cause première de nos soucis mais plutôt la conséquence de
l’affaiblissement par les pesticides. Méfiez-vous de la désinformation
perpétuelle pratiquée par le lobby agrochimique dans les médias, sur
Internet avec ses liens sponsorisés. Quand vous tapez « abeilles,
environnement…» vous avez www.jacheres-apicoles.fr financé par BASF et
les grands semenciers, vous y trouvez tout sur les menaces pesant sur
l’abeille mais bien sûr un dédouanement des pesticides (5).
Nous avons face à nous la puissance de l’industrie chimique. Des «
journalistes agricoles » tel Gil Rivière-Wekstein leurs sont totalement
dévoués (6)... Ils réussissent même à établir une « collaboration » avec
des collègues apiculteurs tel Philippe Lecompte, apiculteur, bio de
surcroît. Doit-on encore considérer ceux-ci comme « apiculteurs » ou
d’abord comme « consultants » pour ces firmes chimiques ?
L’UIPP « l'Union des Industries de la Protection des Plantes » (7),
organisme de propagande des pesticides siège à l’AFSSA, ainsi l’on
comprend mieux pourquoi l’AFSSA peine tant à accuser les pesticides…. Sa
présence est-elle compatible avec un fonctionnement indépendant ? (8)
Hier, je suis resté très perplexe à la lecture de la dernière fiche «
Avertissements agricoles » sur l’utilisation du Cruiser, émise par le
SRPV (Service Régional de la Protection des Végétaux): juste les
précautions d’emploi minimums concernant l’aspect technique…absolument
rien sur la forte toxicité du produit, même pas pour l’agriculteur…
aucune consigne pour demander de restreindre ce traitement des plus
polluant aux parcelles à risque avéré.
Récemment en Bretagne (et ailleurs sans doute) une grosse propagande a
eu lieu pour inciter les agriculteurs à commander des semences traitées
Cruiser, propagande de l’industrie chimique très bien relayée par
certains revendeurs. Ils parviennent à convaincre nombre d’agriculteurs
de jouer la sécurité, on met de la semence traitée même ou il y a très
peu de risque de taupins, pour ça il y a même des promotions…
Pourtant un technicien agricole expérimenté, libre et indépendant, vous
dira que de nombreux agriculteurs conventionnels ne connaissent pas de
dégâts sérieux dus aux taupins. Il vous dira que les risques
déclenchants sont bien connus : dégradation des matières organiques en
anaérobie, PH insuffisant, déséquilibre des sols… Il est aussi évident
que ces agriculteurs savent depuis longtemps incorporer les matières
organiques au sol bien avant le semis…
Soyons tous bien conscients que ce ne sont pas les 1 à 2% de parcelles
à risque qui sont visées par Syngenta mais bien toutes les surfaces de
maïs. Dans leurs documents publicitaires, avec des arguments partisans
et mensongers, ils promettent des rendements meilleurs dans toutes les
situations. La lutte contre le taupin n’est qu’un prétexte et une porte
d’entrée pour convaincre les agriculteurs d'acheter leur poison. Le
matraquage systématique par la diffusion de bulletins "Alerte taupins"
auprès de techniciens agricoles et dans les journaux agricoles a préparé
le terrain depuis quelques années. Ils avaient annoncé un pullulement de
taupins suite à l’interdiction de certains produits jugés trop toxiques.
Comme ce ne fût pas le cas, il fallait aux firmes chimiques maintenir la
pression, communiquer tous azimuts sur les parcelles touchées, sinon
l’absence de traitements (et de taupins) aurait pu habituer
l’agriculteur à se passer de ces produits que les firmes veulent rendre
indispensables.
Les agriculteurs italiens, eux aussi, ont dû faire face à ces
stratégies commerciales offrant certains hybrides quasi exclusivement en
semence traitée avec insecticides. Les agriculteurs étaient ainsi
contraints d'acheter, bon gré mal gré, de la semence traitée…
Mais en Italie, suite à des hécatombes d’abeilles, toutes les semences
enrobées insecticides sont aujourd’hui interdites (Gaucho, Cruiser,
Poncho, Régent…). Auparavant, une expérience pluriannuelle, 2003 – 2006,
menée sur un échantillon représentatif des conditions du maïs dans la
plaine Padane, avait montré que le traitement avec des insecticides
(Gaucho, Cruiser…) n’avait pas d’incidence significative sur les
rendements et la production du maïs (Université de Padoue).
L’expérimentation avait mis en évidence que les rendements de maïs
obtenus à partir de semences traitées avec fongicides seuls tendent à
être supérieurs à ceux obtenus avec des semences traitées avec
insecticides, alors qu’il n’y avait aucune différence de production
significative entre le maïs provenant de semences traitées avec
insecticides et les non traitées. Cette étude contredit tout ce qui est
annoncé par Syngenta… En outre, les semences sans insecticide ont
tendance à germer plus rapidement.
Malgré l’expérience italienne il va falloir à notre tour qu’on subisse
ces hécatombes d’abeilles, qu’on accepte une pollution des sols, de
l’eau, de l’air… Tout ça pour les seuls intérêts de Syngenta.
Nos responsables agricoles ne peuvent pas ignorer ces études… On peut
donc s’interroger sur le rôle joué par la puissante FNSEA dans cette
désinformation. Ses dirigeants roulent-ils exclusivement pour les firmes
chimiques et les grands semenciers? Que font-ils pour défendre, un tant
soit peu, les vrais intérêts des agriculteurs ?
Cette année, le produit miracle est chez nous, il s’appelle « Cruiser
», et la lutte contre le taupin – ou plus souvent son fantôme - va
battre son plein. Après enquête auprès de coopératives je constate, que
les pourcentages des surfaces de maïs Cruiser ne sont pas liés au risque
taupins mais bien plus en adéquation avec la politique commerciale de la
coopérative, et avec son application sur le terrain par des commerciaux
plus ou moins scrupuleux. Il n’y a aucune logique agronomique…
Si certaines coopératives n’en ont pas proposé, ou alors très peu,
d’autres telle la Cooperl (producteurs de porcs de Lamballe) atteindront
50% des surfaces…
L’on constate aussi les mêmes écarts au niveau des commerciaux d’une
même coopérative : certains commerciaux de Coopagri en limitent l’usage
aux parcelles qu’ils jugent à risque tandis que d’autres en sont à plus
de 50%... Soit suffisamment pour qu’on puisse suggérer la
commercialisation prochaine d’un beurre « Paysan breton au Cruiser ».
Sur nos 4 départements le maïs couvrira plus de 400 000 ha. 100 000 ha
avec Cruiser ? Ou plus ? Qui s’en intéresse ? Imaginez pourtant la
quantité de ce poison de thiaméthoxam balancé dans la nature et qui
fatalement nous reviendra à la figure… par l’air, par l’eau, par notre
alimentation…
Quels seront les dégâts pour nos abeilles déjà trop malmenées ?
Qui peut dire quelle part de ce thiaméthoxam aboutira dans nos rivières ?
Quel est l’avis du consommateur et du contribuable ?
Qu’en pense le conseiller régional quand il doit trouver des millions
d’euros pour le programme « Bretagne eau pure »… ou lorsqu’il vote
d’importants crédits pour une agriculture plus respectueuse de
l’environnement ?
Tout ceci se fait en usant de formules injustes et malhonnêtes «
L’agriculture durable et raisonnée » dit une publicité Cruiser expédiée
aux agriculteurs (1). Alors que c’est tout l’inverse du raisonné,
puisque l’on pellicule le grain d’insecticide et de fongicide sans
savoir s’il y aura attaque d’insectes ou champignon éventuel. C’est le
summum du traitement systématique et déraisonné.
L’abeille est le témoin malheureux de ces pratiques inconscientes. Quel
éleveur, quelle que soit la production, survivrait économiquement et
psychologiquement à des pertes régulières de son cheptel de l’ordre de
30, 40, et parfois au-delà de 50% ? Des collègues sont désespérés,
va-t-il falloir des drames humains, des drames familiaux pour que
l’administration française arrête de nous traiter avec mépris. Dans tout
rapport officiel sur l’apiculture, une soi-disante incompétence des
apiculteurs prend plus de place que les conséquences de l’usage des
pesticides. Quand j’ai démarré, il y a 25 ans, quasiment sans formation
et sans expérience, la taille de mon cheptel progressait sans
difficulté. Aujourd’hui, malgré les techniques que j’ai acquises, les
moyens plus importants dont je dispose, je me sens aussi désarmé que le
débutant. En cette fin mars, lors de mes premières visites ce printemps,
la situation est toujours aussi préoccupante… Consultez en annexe,
l’évolution du cheptel d’un jeune apiculteur installé en Bretagne en
2005 avec 400 colonies (12).
Le récent rapport de Martial Saddier « pour une filière apicole durable
»ne nous donne aucun espoir. La limite des investigations est fixée dans
la lettre de mission du Premier Ministre, Mr Fillon, en une phrase : «
sans préjudice de la nécessaire prise en compte de la protection
sanitaire des cultures », en d’autres termes : « rassurez les
apiculteurs ! Occupez-les ! Mais interdiction au député de mettre en
cause les pesticides ». Ces consignes ont été respectées, vous pouvez le
constater dans le rapport (10).
Face aux défis que nous devons affronter, les moyens d’actions de notre
syndicat sont dérisoires. L’adversaire est puissant mais nous avons pour
nous notre bonne foi et notre conscience, et surtout un fabuleux atout :
l’opinion publique! Car de plus en plus de personnes sont victimes de
ces poisons jusque dans leur chair et ils doivent, en plus, payer les
dépollutions. Nous avons besoin d’être épaulés, nous manquons de moyens
financiers pour communiquer, pour combattre l’hypocrisie des lobbyistes
de l’agrochimie.
L’urgence et l’enjeu sont de taille, ils concernent chacun d’entre nous.
Diffusez ce mail, alertez vos élus pour mettre l’agrochimie face à ses
responsabilités!
Le maïs dans nos campagnes bretonnes est une catastrophe pour la planète :
- c'est une plante exigeante en eau, en engrais, en pesticides… donc
des plus polluante.
- c'est une plante déséquilibrée pour l’alimentation de nos troupeaux,
obligeant l’agriculteur à compléter les rations alimentaires avec du
soja OGM, produit à l’autre bout de la planète au détriment des forêts
et des cultures vivrières… affamant encore un peu plus les populations
démunies (11)

Diffusez ce mail, alertez vos élus car le cruiser :
- constitue une grave menace supplémentaire pour nos abeilles
- constitue une grave menace pour l’eau, de nos rivières jusqu’à
notre table.

José Nadan
Apiculteur professionnel depuis 1984,
Président du SAPB
Jose.nadan@wanadoo.fr
(1) Guide des bonnes pratiques Syngenta, adressé aux agriculteurs, les 4
pages qui suivent, et site www.syngenta-agro.fr/synweb/produit_fiche_1694_1_CRUISER.aspx
(2) site du Ministère de l’agriculture : e-phy.agriculture.gouv.fr/
(3) « Produits phytosanitaires dans les eaux de pluie de la Région Nord
– Pas-de-Calais »,1999 - 2002 l’étude ne semble plus téléchargeable
(résultats peut être trop inquiétants ?). Nous pouvons vous la
transmettre si vous désirez.
(4) www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3634 www.mieliditalia.it/n_rugiada.htm visionner aussi la petite
vidéo ).
(5) www.jacheres-apicoles.fr
(6) voir site : www.affaire-gaucho-regent.com
(7) www.uipp.org/
(8) Lire « Pesticides, révélations sur un scandale français. » www.fabrice-nicolino.com
(9) Site de la Cooperl : www.cooperl-hunaudaye.fr
(10) rapport Saddier : www.developpement-durable.gouv.fr/article.php3?id_article=3776
(11) Voir le film « Herbe » : www.herbe-lefilm.com/
(à voir : Le Titanic Apicole - La Terreur Pesticide )
(12) Ci-dessous, l’évolution du cheptel d’un jeune apiculteur installé
en 2005 avec 400 colonies.

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  • apix
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29 Mar 2009 00:00 #28709 par apix
Et pour compléter le tableau sur un ancien post : www.apiservices.com/ubb/Forum1/HTML/001728.html
Ce qui est inquiétant c'est qu'on s'enfonce toujours un peu plus dans le chimique !

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  • jerome12
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30 Mar 2009 00:00 #28710 par jerome12
merci de poster ça,je viens de perdre trop de ruches comme depuis plusieurs années à la mème époque et j'entends le mème sempiternel refrain, c'est soit gaucho soit nous les apiculteurs qui ne savons pas nous occuper de nos abeilles, je suis écoeuré et je commence à en avoir marre moi qui aimait tant l'apiculture. comment expliquer que sur mlusieurs ruchers traités de la mème façon dans certains c'est l'hecatombe et dans d'autres tout va bien ? en plus tout ce passe en quelques jours, des ruches qui étaient belles quinze jours avant, avec du couvain et cinq ou six cadres d'abeilles se retrouvent vides d'abeilles. qu'on m'explique, je n'ai jamais vu varroa faire cela. bon,j'arrete la .

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  • happy culteur
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30 Mar 2009 00:00 #28711 par happy culteur
Merci pour ca,
"Mais" tu pr^che des convertis ce qu'il faudrait faire (sans donner de conseil ) c'est que tout ceux qui fréquentent ce forum copient cela et l'envoie à tous ces contact sur msn par exemple. Une autre goutte d'eau mais peut être que le vase finira par déborder. En tout cas moi je le fais de ce pas.

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  • apix
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30 Mar 2009 00:00 #28712 par apix
J'ai déjà reçu l'info par m@il et ça tourne sur mes listes de contacts... <IMG SRC=" www.apiservices.com/ubb/biggrin.gif ">

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  • Thierry38
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30 Mar 2009 00:00 #28713 par Thierry38
Très intéressant et éloquant cette étude. De toute façon les industries chimiqe et pétrolière (qui sont d'aillent souvent les mêmes) dirigent nos pays que l'on dit développés.
A croire que nos hommes politiques sont rémunérés ou employés fictifs de ses industries.
L'idéal serait d'assaillir les messageries des nos dirigeants avec ses informations. Il n'y a plus qu'à trouver le mail de Fillon.

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