Nature publie une étude de terrain suédoise particulièrement intéressante, désolé car cela est en anglais (mais le traducteur Google peut vous aider si nécessaire) :
Il est certain que l'apparition d'une résistance au "poison" est très vraisemblablement liée à la faculté de reproduction des espèces. Les insectes rares ont peu de chances de s'y adapter et disparaissent dans l'indifférence générale. En essayant de ne pas douter du sérieux de cette enquête, l'abeille domestique s'en sortirait mieux, ça ne me réjouit pas. Il n'est pas venu le jour où les laboratoires phytopharmaceutiques prendront en compte ce genre de dégâts collatéraux.
Cette étude sur l'attrait des néonicotinoïdes chez les abeilles et les bourdons est en partie reprise par le journal "Le Monde"
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