L'interapi va prélever 160€ (plus de 200 ruches) ou 60€ (de 50 à 199 ruches) prélevé en octobre sur le prochain appel de cotisations MSA.
Mais ils envisagent aussi de taxer les produits de nourrissements et le matériel.
Voici un extrait d'une note officielle sur l'interapi :
2. Les autres moyens de financement disponibles
La CVE n’est pas la seule possibilité pour financer l’Interprofession. InterApi reçoit également des subventions publi@ques : une aide nationale ponctuelle pour équilibrer son budget et des fonds européens via le Programme Apicole Européen. Certaines charges ne peuvent être financées par la CVE, qui obéit à un cadre juridique stricte : c’est notamment le cas des frais de fonctionnement mais aussi des remboursements des avances de trésorerie faites par les structures membres d’InterApi en 2019, pour assurer son fonctionnement.
L’Interprofession doit mobiliser rapidement des fonds pour provisionner ses frais de structure par ses propres moyens. Parmi les possibilités explorées, la mise en place rapide d’une Cotisation Volontaire (CV) auprès des représentants des vendeurs de matériel apicole, non concernés par le premier accord sur la CVE. Cette contribution représenterait entre 80 000 et 100 000 €, prélevée sur la vente de produits de nourrissement. Cette piste est en cours de construction : les premiers retours sont positifs mais il faut encore du temps sur la forme que prendra la CV. Cette contribution pourrait être doublée par une intégration des vendeurs de matériel apicole dans la CVE
