Pratiques apicole, traitements contre varroa
- lapostat
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- gfass2
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Vas y, moi je ne suis pas un pro et ton questionnement m'intéresse.
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- apipaca
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lapostat écrit: C'est bien ce que je me disais! Je suis tombé sur des professeurs en apiculture. 400 ruches, 40 ans de métier, je n'ai plus envie de retourner au rucher école me faire sermonner par des bobos, heureux propriétaires d'une dizaine de ruches, qui donnent dans l'écologie. N'est ce pas Monsieur MIELPIMPIN.
sans vouloir défendre Mielpimpin ou personne d'autre, expliques nous un peu mieux , c'est mal d'avoir 400 caisses et pourquoi pas quelques années de bouteille ??
c'est juste une question à 2 balles, mais si tu parviens comme tu dis à nous démontrer que c'est les bobos avec 10/12 caisses au fond du jardin (et qui en perdent plus de la moitié chaque année) qui vont redresser la barre et même au passage t'apprendre quelque chose, je crois que tes débuts en apiculture sont peut être compromis ??
tiens, demandes à Ardécho, qui est pourtant en bio lui aussi ??
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- gfass2
- Visiteur
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- lapostat
- Visiteur
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- apipaca
- Visiteur
lapostat écrit: Je pensais avoir été assez clair. Les 400 caisses, c'est moi qui les exploitais, mais il arrive un moment ou la santé et l'âge, nous obligent à passer la main.
Ha merde, là on est dans de beaux draps ??
si avec 400 caisses tu te posais encore ces questions:
Je pense qu'il serait temps de revenir à quelques fondamentaux.
1) Se servir de ruches à cadres de 35 mm d'entraxe.
2) Ne travailler qu'avec des souches locales
3) S'assurer qu'à l'automne, le corps de ruche est bien pourvu en provisions.
4) Ne pas déranger les abeilles pendant l'hiver.
5) Au printemps, effectuer une visite de contrôle et en changer par glissement, systématiquement 20 % des cadres.
6) Mettre des cadres avec amorce de cire (l'abeille est faites aussi pour bâtir).
7) poser des hausses avec trou d'entrée secondaire.
PS: t'as oublié le format des cellules (très important) pour une abeille plus petite et d'autres bricoles ,
mais avec tout ça déjà, je peux comprendre que tu te sois lassé !!
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- Barbemiel
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je suis pourtant sur que Lapostat a des trucs a nous apprendre ne serais ce que sur les miellées qu il exploitait et sa manière de conduire ses ruches en fonction.
Jsgroo toutes les hausses un trou en façade. Tu as eu la visite des pics ou tu parles des warrees?
Gfass tu m as bien fait rire si l emoticone chapeau chinoi qui s'incline était dispos je te la décernera Respect .
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- lapostat
- Visiteur
apipaca écrit:
lapostat écrit: Je pensais avoir été assez clair. Les 400 caisses, c'est moi qui les exploitais, mais il arrive un moment ou la santé et l'âge, nous obligent à passer la main.
Ha merde, là on est dans de beaux draps ??
si avec 400 caisses tu te posais encore ces questions:
Je pense qu'il serait temps de revenir à quelques fondamentaux.
1) Se servir de ruches à cadres de 35 mm d'entraxe.
2) Ne travailler qu'avec des souches locales
3) S'assurer qu'à l'automne, le corps de ruche est bien pourvu en provisions.
4) Ne pas déranger les abeilles pendant l'hiver.
5) Au printemps, effectuer une visite de contrôle et en changer par glissement, systématiquement 20 % des cadres.
6) Mettre des cadres avec amorce de cire (l'abeille est faites aussi pour bâtir).
7) poser des hausses avec trou d'entrée secondaire.
PS: t'as oublié le format des cellules (très important) pour une abeille plus petite et d'autres bricoles ,
mais avec tout ça déjà, je peux comprendre que tu te sois lassé !!
S'il vous faut être discourtois et tutoyer pour démonter un nouvel inscrit en tournant en dérision ses propos, pensant augmenter votre emprise sur ma personne et les autres intervenants, vous êtes bien mal tombé.
Je n'avais pas à me poser ces questions, puisque je les appliquais. Si vous ne savez pas lire, j'en suis désolé.
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- lapostat
- Visiteur
Mielpimpin écrit: ,
Bonjour,
Je doute fort que Lapostat côtoie les abeilles autrement que sur les forum .
Quelle sournoiserie de votre part. Effacer votre message pour ensuite en changer la teneur, voilà une victoire à la Pyrus qui vous honore pas.
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- Gilles Ratia
- Visiteur
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- du luy
- Visiteur
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- floconblanc
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du luy écrit : Notre exploitation à complètement évoluée à partir du moment ou nous avons commencés a changer les reines en phase descendante.
Le changement de reine est il automatique sur une durée de vie déterminée par avance? Ou autres observations du couvain qui justifie le changement de reine, lesquels?
du luy écrit : notre préfèrence tendrait vers des produits propres (Apil..) que nous allons testés en 2015 .
Quel retour après cette essais ? mesure de contrôle d'efficacité? Mesure du taux d'infestation varroa saison suivante?
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- du luy
- Visiteur
L'experience faite avec l'apil..var n'est pas bonne . Trop de varroas en sortie d'hiver , trop de contraintes au niveau des températures et de la météo . Il faut passer 4 fois a une semaine d'intervalle et sur un cheptel conséquent , c'est un sacré probléme donc abandon .
L'expérience a été faite sur 50 ruchettes Lang 5c , inutile de les compter , nous avons vite compris .
Pour les reines suite à l'abandon également d'une partie des transhumances , nous laissons les reines vivre plus longtemps . Nous avions remarqué que nous faisions de l'élevage de varroas en les transhumant en permanence dans la saison , maintenant le changement ne se fait qu'en phase descendante . Nous allons abandonner aussi la race anglaise progressivement qui ne correspond donc plus à notre besoin . Evidemment , nous faisons moins de miel , un peu plus de pollen et beaucoup moins de frais .
L'idée de provoquer des ruptures de pontes en saison nous intéresse bien .
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- happy.bee
- Visiteur
Les protocoles sont de plus en plus long a réaliser, avec souvent des risques pour la qualité du miel ,des cires et même sur la santé des opérateurs .(et des abeilles)
Je pensais a ça il y a quelque temps, en ces moment de rêve . A quand une méthode simple ,rapide ,efficace et sans qu'une amm ne soit justifiée .
Allez les petits génies au boulot .
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- gfass2
- Visiteur
Alors je me lance..... Comme je l'ai souvent "avoué", je n'ai jamais traité mes colonies contre le varroa, vais-je changer ma pratique dans le futur? C'est pas sur.
Je pense que notre forum a fait du chemin dans la bonne direction ces derniers mois, celle qui permet d'échanger sans se voir imposer péremptoirement des certitudes, quand bien même elles se fondent sur des années d'expérience car c'est bien connu, "l'expérience ressemble aux cure-dents : personne ne veut s'en servir après-vous."
C'est "presque" hors sujet, mais pour l'exemple. On lisait récemment, en parcourant d'autres forums, qu'une épizootie de Nosema ceranae faisait des ravages (ce qui est peut-être vrai je ne discute pas), mais la description des symptômes et les conseils de traitements à y apporter m'ont laissé perplexe. J'ai le sentiment que malgré une grande expérience on a confondu Nosema Apis et Nosema ceranae. Remarquez, c'est utile puisque maintenant on connait tous mieux cette maladie.
J'en reviens aux traitements contre varroa, en rappelant en préalable que l'apiculteur de loisir que je suis comprend parfaitement les contraintes qui s'imposent à un apiculteur professionnel pour produire et donc vivre de ce métier. Je trouve intéressant d'intégrer à l'apiculture de loisir une "petite" dimension de recherche. Je fais régulièrement des tests d'hygiène, je scrute le couvain de mâles, le dos de mes abeilles..j'ai du varroa mais rien de ce qui est décrit un peu partout. Je me suis mis dans la tête que de ne rien faire était peut-être une voie pour mettre en évidence le caractère de "résistance" ou "tolérance" de mes abeilles.
Bien entendu, quand on prend ce chemin, on s'expose à certaines réflexions du genre... "mes varroas polluent les ruchers voisins". Là je fais un blocage quand je vois que certains doublent les traitements et cocktails de traitements auxquels certains ajoutent même des tisanes maison.... et concluent ..... "mon dernier comptage me donne quelques varroas" ... donc on peut dire qu'ils se gardent leur propre semence..
Après on m'a dit... "tu t'imagines ces pauvres abeilles avec ce gros tourteau collé sur le dos?" oui.... "ça leur fait peut-être moins de mal qu'une sublimation d'acide oxalique.. qui sait?"
Tout ça pour dire .... Quand le varroa est arrivé chez nous, si l'apiculture avait choisi de ne pas traiter, il y aurait eu beaucoup de casse c'est certain mais je pense qu'elle n'en serait pas là....
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- Calluna
- Visiteur
Je rejoins t(es)a pensée(s) .gfass écrit: Tout ça pour dire .... Quand le varroa est arrivé chez nous, si l'apiculture avait choisi de ne pas traiter, il y aurait eu beaucoup de casse c'est certain mais je pense qu'elle n'en serait pas là....
Même si pendant de nombreuses années nos abeilles n'ont subi aucun traitement ( dans notre cas avec la casse qui allait avec malheureusement), depuis deux saisons nous avons décidé de traiter à l'AO par sublimation avec toutes les complications et interrogations que cela comporte. Je m'interroge également sur les capacités des abeilles à subir l'AO sublimé, cela ne peut pas être anodins pour elles.
Nous recherchons de la cohérence, parfois je me trouve très contradictoire dans nos pratiques apicoles, si nous ne devions pas payer notre loyer (et tout ce qu'il va avec) sur le dos des abeilles , nous agirions différemment.
Nous n'avons pas assez de recul, nos expériences sont trop fraîches, nous ne pouvons donner aucune affirmation sur l'utilité de ce traitement.
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- ardecho
- Visiteur
happy.bee écrit: Il y a quand même un bilan a faire,en matière de lutte contre varroa ,depuis plus ou moins trente cinq années qu'il nous a été offert , c’est devenu encore plus difficile .
Les protocoles sont de plus en plus long a réaliser, avec souvent des risques pour la qualité du miel ,des cires et même sur la santé des opérateurs .(et des abeilles)
Je pensais a ça il y a quelque temps, en ces moment de rêve . A quand une méthode simple ,rapide ,efficace et sans qu'une amm ne soit justifiée .
Allez les petits génies au boulot .
moi je trouve que les ruptures totales de couvain en été apportent une vraie efficacité. j'en profite alors pour mettre un coup d'AF (en soirée s'il fait trop chaud) et à la reprise
lorsque les pluies de fin d'été arrivent il y a vraiment très peu de varroa. je retraite fin septembre mais j'aimerais beaucoup arréter... j'ose pas :blush:
en tous cas, élever de la noire qui stoppe la ponte plusieurs semaines en plein été et nettoie bien tout le nid pendant ce temps est un vrai plus !
bien sur ça sous-entend ne pas nourrir et perdre une génération d'ouvrières donc moins de récolte en automne (la bruyère érica chez moi).
après il faut savoir ce qu'on veut... moins de miel mais du miel bio vendu + cher et des abeilles moins stressées par les traitements et capables de se gérer toutes seules.
j'ai encore un gros travail de sélection massale à faire sur mes souches pour avoir un cheptel homogène comme je veux mais je pense bien aller dans ce sens.
test hygiénique, résistance au varroa et adaptation de la ponte en fonction des ressources me semblent plus important que le nombre de hausses remplies et la douceur.
je préfère des abeilles qui piquent, qui plafonnent à 30kg/an (sans apport de sirop et qui stop la ponte en été plutôt que du bétail qui attend le sirop dans le nourrisseur,
laissent les varroa lui marcher sur la tête et pond des cadres "au carré" de février à novembre, même si ces dernières peuvent potentiellement empiler 4 ou 5 hausses sur une miellée...
je pense que c'est par là qu'il faut aller pour s'en sortir, plutot que de racheter des essaims venu d'on ne sait où chaque année
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- du luy
- Visiteur
Idem , nous sommes quelques uns a penser et débuter des actions en ce sens . Je connais des apis pros qui ont commencé ce travail avec uniquement 2 ou 3 passages en Ao pour le moment et qui s'en trouvent trés bien .
Il va falloir prendre le taureau par les cornes.
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- cdsjo
- Visiteur
Encore une fois et en particulier sur ce sujet, je pense qu'il y a lieu de distinguer ceux qui vivent de l'apiculture et les autres.
Les premiers ne peuvent pas se permettre de mettre en péril leur exploitation, leur situation et celle de leur famille lorsqu'elle en dépend. Lorsqu'on a un protocole qui fonctionne, qui est efficace et acceptable économiquement, on ne peut pas se livrer à des expériences.
On notera qu'il y a des pathologies dans la quasi totalité des élevages d'animaux, l'apiculture n'a donc rien de particulier et que nous avons la chance de ne pas devoir faire appel à un vétérinaire sur les lieux pour contenir nos problèmes.
L'apiculture pratiquée par les autres acteurs est tout à fait différente, je ne distingue pas ceux qui détiennent des ruches par plaisir, pour produire leur petit miel ou pour améliorer leur quotidien à la marge.
Ceux là doivent ils copier les professionnels?
Je crois que oui s'ils souhaitent impérativement obtenir un résultat et que non s'ils poursuivent un autre objectif quel qu'il soit.
Je conçois parfaitement qu'à ce niveau on veuille s'affranchir de la molécule, de l'acide ou les utiliser de façon différente ou laisser faire la nature, inventer de nouveaux protocoles.
Peut être la lumière viendra t'elle d'un petit génie, depuis que l'on attend on a encore un peu de temps devant nous.
Lorsque je fais le tour de mes connaissances dans la profession, le varroa est très peu évoqué, les problèmes sont ailleurs, disons que le varroa est de façon constante un facteur limitant de production, rien de plus, rien de moins.
Mais pour les autres intervenants du forum, c'est à dire 99% des personnes, varroa est un problème récurent et c'est en cela que je rejoins l'initiateur du post : nous avons quelque chose qui fonctionne alors de deux choses l'une: ou on s'en tient à ce qui marche et on peut passer à autre chose, ou on essaie d'autres solutions, voire attendre que ça passe et dans tous les cas, on en accepte les conséquences.
Je suis certain que mis à part les vieux pratiquants comme moi qui ont vécu cette époque, personne n'a idée de la situation dans laquelle nous étions lorsque varroa est apparu et que nous ne pouvions compter que sur nous mêmes ; pas de solution légale, voire pas de solution du tout, du bouche à oreille, et là, bien sûr on a essayé beaucoup de choses plus ou moins efficaces.
Ce sont les centaines de milliers de colonies que nous avons perdues qui font qu'aujourd'hui nous avons une solution qui nous permet d'espérer en attendant mieux.
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- gfass2
- Visiteur
du luy écrit: à ardécho ,
Idem , nous sommes quelques uns a penser et débuter des actions en ce sens . Je connais des apis pros qui ont commencé ce travail avec uniquement 2 ou 3 passages en Ao pour le moment et qui s'en trouvent trés bien .
Il va falloir prendre le taureau par les cornes.
Oui et permettez que je tire mon chapeau à ceux qui décident de s'engager dans cette voie.....pour sortir de l'impasse.
Car malheureusement, impasse il y a ou aura .... Sans rien connaître en apiculture, le premier quidam venu vous dira qu'en matière de parasitisme, "un parasite n'est pas un prédateur; car s'il tue son hôte, il meurt aussi". C'est vraisemblablement "quelque chose" qui, dans notre façon de conduire les colonies, génère ce déséquilibre au profit de varroa.
A mon avis, la conjonction de plusieurs facteurs induits de l'apiculture "moderne" vont dans ce sens. La sélection de reines tendant à l'obtention de colonies les plus populeuses possible, le nourrissement artificiel qui empêche l'arrêt de ponte estival, l'importation de reines étrangères peu adaptées à nos régions.
@cdsjo, "je donne mon avis sur ces sujets en pensant toujours et sincèrement à ceux qui ..dans l'impasse où se trouve actuellement l'apiculture professionnelle, doivent vivre de ce métier, faire tourner leur entreprise et peut-être vouloir la transmettre à leurs enfants... Je le répète si souvent que j'envisage même de l'inscrire de façon permanente en bas de chaque message.
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- du luy
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Tu as raison , il est loin le temps du Phagogéne prété par l'hopital de Pau pour lutter contre varroa . A cette période là tout est arrivé en méme temps , les TH , les anglaises , les caucasiennes . Des bonnes disait on .
Les problémes Gaucho et Régent en plus des chamailleries syndicales . Et pourtant nous sommes toujours là , nous avons réagi à tout cela , mais ça fait un bail .
Maintenant , c'est plutot l'impression de pédaler dans la choucroute qui prime .
Donc , il faut sortir de cette situation . Ce sera en faisant tous de nouveaux efforts pour en sortir . Il y a beaucoup d'apis pros ou pas qui cherchent des solutions différentes de ce que l'on nous propose actuellement comme le vsh ( par exemple ) .
Effectivement , cela ressemble à de la décroissance , mais pas sur . Une menée de ruche avec des bases nouvelles pourrait aussi porter ses fruits , sans avoir a crier à la faillite , c'est clair , il ne faut pas se tromper .
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- delpe12
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- samdu47
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connais tu beaucoup d'apiculteurs qui nourrissent leur colonies en plein été dans le but de faire pondre? à part les ruchettes ou autres nucléi.
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- du luy
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Il doit s'agir d'une erreur de ta part ? Je n'ai jamais fais de sublimation à l'Ao et ne compte pas le faire . Le traitement expérimental , c'était l'Apil ..ar distribué par le gdsa , donc rien à voir avec les traitements alambiqués .
Redonne moi le numéro du message et le nom du sujet , merci à toi .
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- delpe12
- Visiteur
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- ardecho
- Visiteur
samdu47 écrit: @ gfass
connais tu beaucoup d'apiculteurs qui nourrissent leur colonies en plein été dans le but de faire pondre? à part les ruchettes ou autres nucléi.
ben ceux qui veulent faire une récolte en automne...
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- gfass2
- Visiteur
samdu47 écrit: @ gfass
connais tu beaucoup d'apiculteurs qui nourrissent leur colonies en plein été dans le but de faire pondre? à part les ruchettes ou autres nucléi.
@sam Personnellement je ne nourris pas (sauf pour démarrer des essaims, même pas pour essayer de sauver une colonie qui périclite). On lit parfois dans la littérature apicole que certains utilisent le nourrissement pas que pour..... Pas forcement en vue de faire pondre mais quand après telle ou telle récolte l'apiculteur se retrouve face à une sécheresse inattendue (ce qui semble se répéter ces dernières années) ou une floraison attendue qui fait défaut sur une transhumance par exemple ... faute de laisser une hausse à disposition des abeilles, j'en connais quelques uns qui donnent du sirop. Me trompe-je?
Après, on parle ici de pratiques apicoles, non pas pour les condamner mais simplement pour se poser des questions, savoir si effectivement dans les fameuses causes multifactorielles il n'y en a pas quelques unes qui mériteraient qu'on s'y attarde au lieu de tout rejeter en bloc....discutons en. On se souvient du constat 2014, (j'ai perdu le lien...) production de 10 000 tonnes de miel, à partir notamment de 14000 tonnes de sucre de betterave.
"Errare humanum est, perseverare diabolicum".
Suivent quelques copiés/collés trouvés au hasard.. c'est peut-être pas la peine d'en ajouter...ça existe bien plus qu'on en parle et pour cause..... c'est à ranger dans la case des pratiques apicoles discutables)
Le nourrissement estival........Ce nourrissement a trois objectifs :
1) Éviter une période de disette caractéristique de la période sèche qui peut favoriser l’apparition de maladies.
2) Relancer la ponte de la reine pour passer l’hiver avec des colonies populeuses donc consommant moins pour chauffer.
3) Reconstituer les réserves hivernales.
ou
Après la récolte de Printemps, il convient de surveiller les réserves des colonies car des périodes de disette sont possibles avant les miellées d’été. Il peut être nécessaire de nourrir afin d’éviter de perdre des colonies populeuses pour un problème de famine.
ou
Attention qu’une certaine continuité de la miellée d’été est nécessaire, c.-à-d. qu’il ne faudrait pas en retardant la stimulation que la ponte de la reine connaisse un ralentissement important lié à un manque d’apports
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- samdu47
- Visiteur
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- du luy
- Visiteur
Nourrissement automnale, oui en vue de préparer les ruches à l'hivernage , au moins pour celles qui sont trop justes .
Nourrissement hivernal , oui et non . Oui pour compléter et non parce cela aurait du etre déjà fait .
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- happy.bee
- Visiteur
Posons nous les bonnes questions ,car si nous analysons la situation ,débutant ,confirme ,bio pas bio ,nous sommes tous dans la même galère .( a part peut être gfass )
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