Tournesols 2015
- maya730
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- abeille64
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- maya730
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- ian
- Visiteur
jerome12 écrit: bonjour à tous .
juste pour vous dire que j'avais un ami qui travaillait chez des semenciers pour ne pas les citer et ils cherchaient à fabriquer une variété de tournesol ou les abeilles ne pourraient pas atteindre le nectar . je me souviens juste de cette remarque et je n'en sait pas plus . cela remonte à une dizaine d'années .
Cette information me semble farfelue et dangereuse car elle declenche des reactions de type " les empoisonneurs vont encore frapper"
donne moi le nom de la boite de sélection de variétés de tournesols afin que je puisse remonter la source et confirmer ou infirmer ce qui , pour moi, reste, en l'absence de vérification, du domaine de la rumeur.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- gallus
- Visiteur
Il ne faut pas partir en vrille comme çà.
Chouchie récemment a envoyé un lien sur une communication faite par un chercheur du CETIOM, publié par l'ITSAP.
Montrant qu'il y avait une corrélation entre la longueur du fleuron et l'attractivité de la variété de tournesol.
Il montre aussi que le caractère nectarifère du tournesol n'aurait pas changé.
Le problème de cette communication est qu'elle ressemble plus à un brouillon qu'à une réelle publication scientifique.
C'est bien dommage.
L'absence de donnée scientifique sur les problèmes de l'apiculture ne peut que favoriser des informations de type "farfelue et dangereuse".
Mais à qui la faute ?
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- maya79
- Visiteur
on est loin des abeilles
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- maya79
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- samdu47
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- stf
- Visiteur
c'est hallucinant rien ne bouge!!!..l'Homme est un veritable virus..
ca me deprime ce manque d'égard pour la nature: juste pour la tune.!!.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- apilolo
- Visiteur
renseignez vous de la variété semé déjà, et ça fera avancé le problème... non ?maya79 écrit: en plus je crois bien que les butineuses y crèvent encore en masse sans faire de miel, ce matin des abeilles ce frotte la tete sur les fleurs puis tombe par terre? d'autre butine aux ralenti :whistle: petite récolte en vue dans le poitou
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Flo86
- Visiteur
De toute façons, pour avoir du nectar il faudrait aussi un peu de flotte et chez moi hormis 70mm début juin il n'est pas tombé grand chose.
Et puis pour pouvoir se renseigner faudrait déjà que l'agri sache ce qu'il a semé ... enfin je dis ça ... :dry:
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- maya79
- Visiteur
ca aurait du faire du miel.
Tout le monde est d'accord sur ce point dans mon secteur, on se frottait les mains, presque plus de hausses pour faire de la place aux abeilles avant la miéllée mais au final plus de toute fleurs que de tournesol.
Les voisin agri de mon coin savent se qu'il sément et se qu'ils font, ils font ce que la coop achéte et ca parait logique, il voudrait bien faire du tournesol qui me fait du miel mais les anciennes varieties sont sensible a la maladie, moins oléique(dit la coop)
Ils sont pour la plupart triste ou pas au courant de voir que les apis font moins de miel et plus d'effort qu'avant alors qu'ils ont l'impréssion de moins balancer de merde.
De plus certain apiculteurs dissent que tt va bien sauf varroa et frelon sur les medias agricole...
"un api qui transhume chez nous fait 60kg de moyenne" ma dit un agris.
mais pour ceux qui reste a belle année c pas la même :whistle:
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- bozon
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- maya79
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- ian
- Visiteur
Le travail de sélection pour l'amélioration des plantes ne se fait pas contre les apiculteurs .
Ca serait idiot et contre productif .
Ne voyons pas Machiavel dans tout.
Pour le tournesol, l'accent est mis sur les rendements oléiques , mais aussi sur les résistances contre les maladies (entre autres )
Le tournesol ne reçoit pas de fongicide . La lutte contre le mildiou , par exemple, est génétique .
Concernant la recherche sur les variétés de tournesol résistantes à certains herbicides :
l'objectif est de pouvoir utiliser un herbicide qui , normalement , n'est pas sélectif du tournesol , mais qui apporte des caractères techniques intéressants pour la lutte contre certaines adventices difficiles car proches de la famille botanique .
La sélection porte sur des cultivars résistants naturellement .
Ca n'a rien à voir avec la production de miellat à mon avis .
Le tournesol est souvent positionné dans les parcelles sechantes , pour diverses raisons .
Le manque de pluie combiné au type de sol des parcelles peut être un facteur explicatif de la faiblesse de la miellée constatée.
Pour les abeilles qui meurent dans les capitules :
allez demander les traitements effectués sur le précèdent à l'agriculteur, sans oublier le traitement de semence utilisé.
Cette démarche peut faire avancer les choses plutôt que de se perdre en conjectures .
La traçabilité des opérations phytosanitaires est obligatoire . Il ne devrait pas y avoir de problème , du moment que c'est fait de manière constructive, avec intelligence.
Si vous avez besoin d'un coup de main pour traduire , faites moi signe.
enfin,
L'agriculteur connait évidement la variété qu'il sème .
Il ne faudrait pas trop nous prendre pour des chèvres non plus.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- maya79
- Visiteur
Pour les abeilles qui "tremble" sur la fleur ca se passe devant mon rucher precedent blé traité o néonic plus désherbage plus fongi après la récolte moutarde qui na pas fleurie puis désherbage aux printemps avant semi de tournesol traité graine bleu fluo du grand classique quoi!!! Alors savoir ce qui gratte la tete de mes abeilles .... :lol: je pense savoir
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Flo86
- Visiteur
ian écrit: enfin,
L'agriculteur connait évidement la variété qu'il sème .
Il ne faudrait pas trop nous prendre pour des chèvres non plus.
Ils nous prennent bien pour des c**s depuis 20 ans quand on leur dit qu'ils nous défoncent nos ruches !
Chez moi, ils arrosent les routes alors que les particuliers sont en restriction sur l'eau. Alors pour me faire croire que tous les agriculteurs sont aussi soucieux et technique que tu semble le dépeindre va falloir se lever tôt parceque je n'dois pas avoir de chance mais par chez moi ce n'est vraiment pas la majorité !
Et aux dernières nouvelles les VTH les plus répandues dans le monde sont issues de la transgenèse ou par des techniques de mutagenèse et pas que par des sélections naturelles comme tu dit Ian (raison de coût de fabrication)
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Eric25
- Visiteur
ian écrit: Je ne pars pas en vrille Gallus, mais:
Le travail de sélection pour l'amélioration des plantes ne se fait pas contre les apiculteurs .
Ca serait idiot et contre productif .
Ne voyons pas Machiavel dans tout.
Pour le tournesol, l'accent est mis sur les rendements oléiques , mais aussi sur les résistances contre les maladies (entre autres )
Le tournesol ne reçoit pas de fongicide . La lutte contre le mildiou , par exemple, est génétique .
Concernant la recherche sur les variétés de tournesol résistantes à certains herbicides :
l'objectif est de pouvoir utiliser un herbicide qui , normalement , n'est pas sélectif du tournesol , mais qui apporte des caractères techniques intéressants pour la lutte contre certaines adventices difficiles car proches de la famille botanique .
La sélection porte sur des cultivars résistants naturellement .
Ca n'a rien à voir avec la production de miellat à mon avis .
Le tournesol est souvent positionné dans les parcelles sechantes , pour diverses raisons .
Le manque de pluie combiné au type de sol des parcelles peut être un facteur explicatif de la faiblesse de la miellée constatée.
Pour les abeilles qui meurent dans les capitules :
allez demander les traitements effectués sur le précèdent à l'agriculteur, sans oublier le traitement de semence utilisé.
Cette démarche peut faire avancer les choses plutôt que de se perdre en conjectures .
La traçabilité des opérations phytosanitaires est obligatoire . Il ne devrait pas y avoir de problème , du moment que c'est fait de manière constructive, avec intelligence.
Si vous avez besoin d'un coup de main pour traduire , faites moi signe.
enfin,
L'agriculteur connait évidement la variété qu'il sème .
Il ne faudrait pas trop nous prendre pour des chèvres non plus.
Bonjour ian,
Dans un autre post je t'avais dis que le monde agricole faisait partie de mon paysage de par ma famille et mon métier d'apiculteur ou je côtoie agriculteurs à longueur de journée, je les respectes et apprécie..... cela juste pour ouvrir le débat.
je suis dans une région ou il y a très peu de tournesol et qui ne donne pas de nectar, région laitière ou le colza et très présent en rotation de culture sur un bon nombres d'exploitations.
les agriculteurs ne sont pas généticiens, sélectionneurs ou laborantins... leurs métier est de travailler la terre, semer et bien veiller à mener a maturité les cultures avec un rendement optimum et bien sur avec un registre de culture traçant les diverses intervention de traitement en bonne connaissance des types de semence utilisé. je pense que tu ne peux me contredire sur ce point......
maintenant je vais te parler de mon métier,
cela fais 34 ans que je côtoie les abeilles, j'ai une exploitation moderne que ce soit sur le plan mécanique, génétique ou pratique d'élevage. j'exploite plus d'un millier de ruches sur culture ensuite en transhumant.
j'ai connu l'arrivé du colza, ou quand les conditions météo conjugué à l'humidité des sols nous donnait de très belles récolte de l'ordre de 25 à 40 kilo suivant les années et avec en prime des colonies magnifique en sortie nous permettant de réaliser des essaims sans porter préjudice au récoltes suivante.
Mais tout à changé depuis bon nombre d'années, les récoltes dans de bonne condition sont minable 8 /10 kilo, les ruches souffre pendant et surtout après, la constitution d'essaims ce pose parfois !!!
Je ne suis pas le seul dans ce cas, nous allons devoir adopter une stratégie pour fuir le colza qui est devenu invasif pour ne pas mètre en péril notre cheptel au dépend de la santé financière de nos entreprises, je te laisse faire le calcul de perte, le colza n'étant plus à 2,5 franc comme j'ai pu le connaitre mais bien au delà de 6 euros.
je comprend bien le point de vue que tu nous donne, dans ma région avec notre ADA entre autre la relation Agri/Api est très bonne, le dialogue est là, les rencontre ce multiplie les API et Agri sont présent à chaque rendez vous, mais !!!!!!!!!!
Je ne pointe pas du doigt la culture du colza en elle même, mais un environnement global bien au delà de nos pensés.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Carnica22
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- happy.bee
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- maya730
- Visiteur
je fuis toutes les cultures ça devient très compliqué
d'où ma question y a t'il encore une place pour l'apiculture ?
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- cdsjo
- Visiteur
La remontée brutale des cours est venue masquer cette "descente aux enfers".
Le colza est devenu infréquentable pour toutes les causes que vous évoquez. Le tournesol, pour l'ensemble des raisons décrites ici est de moins en moins rémunérateur malgré le doublement du prix.
Mes meilleures ruches ont pris 30kg cette année, je ne sais pas encore à quoi cela correspond au niveau de la récolte, réponse dans quinze jours.
J'en suis persuadé, cette année, ce sont les températures raccourcissant encore un peu la durée de floraison qui sont en cause, mais les années se suivent et il y a toujours une m....
Trés dur d'accepter que des régions entières soient devenues impropres à l'existence d'une apiculture professionnelle, au train où vont les choses c'est le cours des choses.
Donc fuir où carnica? Fuir dans des régions moins inhospitalières, ou l'abeille trouve des ressources naturelles et où sa vie n'est pas en permanence mise en danger.
Pour le coup, notre territoire est restreint, il y a encore un peu de place pour quelques apiculteurs, mais pas plus ; le doublement du nombre d'api souhaité par le ministre ne se décrète pas, dans les conditions de ressources actuelles il est inenvisageable.
Tant qu'il n'y aura pas de plan de restauration d'une flore et d'un habitat non agressif pour l'abeille, la restriction de la production de miel est au menu.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- gallus
- Visiteur
Mange écrit: le colza n'étant plus à 2,5 franc comme j'ai pu le connaitre mais bien au delà de 6 euros.
Petite remarque en passant, un négociant très connu m'a proposé le colza 2015 à 4,5€, c'est à dire moins cher que l'an dernier.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- ian
- Visiteur
j'entends bien ce que tu me dis et ca m'effraye un peu parce que les pratiques agricoles évoluent et que les conditions de vie des abeilles ne font que se dégrader.
J'ai commencé à bosser comme ingénieur dans un CETA il y a 30 ans
La biodiversité, personne n'en parlait. Et on ne rentrait pas dans les essais colza aux heures de butinage tellement ça bruissait d'abeilles.
Bref, on ne faisait pas vraiment gaffe à la nature . Le progrès seul nous motivais . Dailleurs, c'était notre seule feuille de route: produire plus.
Sous l'impulsion et la contrainte de l'Europe, les méthodes de production ont changé. des centaines de matières actives ont disparu. On s'est adapté, on a trouvé des solutions et c'était pas toujours simple.
L'agronomie a repris sa place et c'est tant mieux
Les paysans ont changé aussi: les nouvelles générations sont mieux formée, plus sensibilisées à l'impact de l'activité sur la nature ( les lycées agricoles ont fortement participé à cette prise de conscience)
bref , les agri ont l'impression d'évoluer dans le bon sens.
Un peu contraint et forcé dans un premier temps mais les mentalités changent.
Vous m'opposerez toujours l'exemple qui contredit , comme l'arrosage des routes au démarrage du canon....(faut comprendre qu'un canon arrose en demi cercle , et que le démarrage implique un dépassement de zone qui dure quelques minutes)
Faut comprendre notre position:
on fait des progrès terribles vers une agriculture plus propre et malgré cela , la situation des abeilles n'évolue pas dans le bon sens . c'est inquiétant .
Il y a quelque chose qu'on ne saisit pas dans cette histoire. On ne comprend plus .
Apropos des neonicotinoides: merci à l'abeille d'avoir fait prendre conscience de la toxicité inédite de cette famille chimique .
On a cultivé sans l'aide de cette molécule durant des années, on arrivera bien à le faire encore. Cette famille chimique , l'agriculture peut s'en passer .
J'essaie de faire le pont , très modestement, et je suis effaré des réactions débridées qui détruisent les relations entre ces deux professions .
Le rôle de vilain petit canard est difficile à porter .
On nous demande de nourrir une population à pas chère et on nous blâme.
Il faut etre competitif pour conserver sa place de puissance mondiale , et on nous flingue à tout va
10% ... c'est la part du budget consacré à la nourriture par les ménages ...(20%il y a encore quelques années)
On sera d'accord que l'agriculture remplit sa mission de dégager du pouvoir d'achat pour favoriser la consommation, avec une espérance de vie qui augmente toujours ....
ConcernantLesgrandes cultures : ici , il n'y a que ça . Alors , c'est pas facile de fuir. On est nombreux a avoir des ruches dans ce biotope et ca fonctionne .
Alors pourquoi ca ne marche pas dans d'autres secteurs ? Mystere.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- ardecho
- Visiteur
les miennes ne connaissent que les Cévennes, sauf celles qui vont en garrigues et cotoient les vignes pendant quelques semaines. et bien que je fasse l'effort de rouler sur la caillasse jusqu'à 3 ou 4 km du vignoble, mes ruches en ressortent affaiblies, l'année dernière j'ai même eu du couvain crevé et des ruches dépeuplées
si le thym ne valait pas si cher et ne m'était pas autant demandé, j'arrèterais définitivement de les amener là-bas !
je fuis aussi les arboriculteurs et pose mes ruches au printemps près de vieux vergers en terrasses abandonnés depuis 20 ou 30 ans...
le refuge pour les abeilles, c'est là où le relief empêche les tracteurs de passer... et encore même ici il y a des mortalités inexpliquées, des problèmes de fécondation des reines, etc... aussi le problème des traitements contre les parasites et les gales sur les chèvres/brebis... on n'est jamais à l'abri !
mais je comprend bien que pour les collègues en plaine ça doit pas être marrant. pour les nouveaux qui s'installent je dirais n'hésiter pas à déménager, quitte à tout construire, aller vous mettre là où les abeilles sont le mieux et oubliez les promesses mirifiques de tonnes et de tonnes sur les immensités de colza, tournesol et autres
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- maya79
- Visiteur
Les pluri actifs retraité qui on tout payer et sans investissement trouve que l'apiculture va bien? tant mieux pour cette generation pourri de fric.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- happy.bee
- Visiteur
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- ian
- Visiteur
happy.bee écrit: j'ai suffisamment côtoyé les responsables de la fnsea pour te dire Ian que nous n'avons pas tire les premiers .
Je ne sais pas .
Le problème, c'est le clivage qui s'opère: la FNSEA veut prendre la main et montrer qu'on peut faire du miel dans les conditions actuelles en zone de grandes cultures .
D'où la controverse sur les causes du déclin de la production de miel.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- gallus
- Visiteur
ian écrit: la FNSEA veut prendre la main et montrer qu'on peut faire du miel dans les conditions actuelles en zone de grandes cultures .
Peux tu illustrer ton propos par des faits concrets, parce que çà m'intéresse.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- ian
- Visiteur
gallus écrit:
ian écrit: la FNSEA veut prendre la main et montrer qu'on peut faire du miel dans les conditions actuelles en zone de grandes cultures .
Peux tu illustrer ton propos par des faits concrets, parce que çà m'intéresse.
c'est simple : incitation et mise en place d' une production de miel sur les exploitations grandes cultures .
achat d' une centaine de ruches et essaims et formation d' un employé volontaire de la ferme à la conduite du troupeau, ou bien partenariat avec un api pro déjà en place qui travaille à façon sur les ruches de l'exploitation.
l'objectif : montrer qu'il est possible de faire du miel dans ces zones . (on va leur montrer que c'est possible en utilisant les dernieres techniques )
Mise en place d'essais de pâturages pour abeilles avec des plantes meliferes, en calque avec ce qui a été fait avec les bovins lors de la domestication
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.