Un type épatant
- gallus
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- Visiteur
Je reviens de 3 jours de stage.
Sujet: "transformation du miel" organisé par Alain Condon
Vous pouvez aller sur son site: lesfustesdecoyac.fr/presentation/fustes-alain-condon-coyac/
Là, vous apprendrez les bases et les recettes pour faire une foultitude de produits transformés:
pain d'épice, sablés, bonbons, nougats noirs et blancs, chocolats au miel etc etc
Pour ceux qui cotisent à Vivea, çà coute 63€ pour 3 jours.
Si c'est subventionné par Vivea, c'est que çà tient la route et çà tient la route.
C'est un sujet très important pour tous ceux qui veulent vivre du miel car la transformation est un formidable levier si on veut vivre de l'apiculture.
Le seul hic, c'est comme le reste çà s'apprends, c'est très technique, çà demande beaucoup beaucoup de rigueur.
Certaines recettes qui paraissent simples peuvent demander des mois de mise au point.
(faire du bon nougat blanc, vendable, c'est un peu comme gravir l'Everest, très très balaise.... )
Si j'en fait une telle information c'est qu'en trois jours, j'ai vu plus de choses que la daube BPREA qui dure un an.
De plus, c'est un sacré bonhomme que l'on ne regrette pas d'avoir rencontré.
Donc si vous voyez passer une annonce sur apiservices, n'hésitez pas !!
Si vous avez des infos similaires sur de telles formations n'hésitez pas à partager, c'est essentiel.
De plus, çà fait super plaisir de partager de telles journées avec des gens hyper motivés de tous les âges.
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- RUCHER GP
- Visiteur
je confirme, j'ai fait ce stage début novembre et c'était vraiment super.
Alain est une personne très pédagogue, très à l'écoute, ambiance superbe !
je m'installe l'année-ci sans aide sans BPREA au autre, j'apprend grâce à des personnes comme Alain et je pense que c'est la meilleure des écoles !
Le moindre détail qui est être partagé par des apis pro qui ont de la bouteille est indispensable. Un détail peut paraître insignifiant pour un "ancien" pro mais peut être d'une grande aide pour un jeune.
merci à tous ceux qui partagent leur savoir comme Alain (et à tous ceux du forum)
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- lenazu
- Visiteur
Du coup, cela va me tenter
Les autres participants du stage sont tous des apis ou il y a des particuliers passionnés de cuisine aussi?
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- gallus
- Auteur du sujet
- Visiteur
çà se fait si tu cotises à la MSA, même les cotisants solidaires je crois y ont droit: à vérifier.
Sinon çà coute entre 400 et 500€ !!
Après il faut rajouter transport, nourriture, hébergement.
Mais si tu mets en pratique ce que tu as appris, c'est très vite amorti.
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- apimichel
- Visiteur
J'ai suivi le stage au mois de Décembre.
Je confirme qu'on y apprend plein de choses qu'on aurait du mal à comprendre autrement.
Le problème, que je n'ai toujours pas résolu, c'est comment le mettre en pratique... légalement :
Pour Alain, le problème ne se pose pas car comme il est aussi pâtissier, il peut vendre la quantité qu'il veut de produits transformés, avec un statut d'auto-entrepreneur (pas possible si pas diplômé).
Pour un simple apiculteur, on ne peut déjà que transformer son propre miel, mais en plus, il y a une limite (est-elle vraiment écrite quelque part ?) de 30% du CA.
Quand je vois sur les marchés, le nombre d'apiculteurs qui vendent autre chose que du miel, je me demande comment font-ils pour rester dans la loi ?
Si vous avez connaissance de solutions légales, je serai très intéressé, dites-moi comment faire.
Sinon, je ferai comme tout le monde, je tricherai, car je trouve cette restriction vraiment absurde.
JC
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- gallus
- Auteur du sujet
- Visiteur
Il a été déja répondu à ta question dans le fil www.apiservices.biz/forums/6-marche-du-miel/75017-statut-pour-vente-produits-transformes
Si tu penses le contraire indique nous alors tes sources, çà va être intéressant de comparer.
Ma source: bit.ly/21DLDjH
Pour anticiper ta prochaine question, pour le fisc, produire du lait ou du miel, c'est pareil.
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- apimichel
- Visiteur
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- pppswing
- Visiteur
Au forfait vous pouviez déjà transformer votre production sans aucun problème.
bofip.impots.gouv.fr/bofip/1760-PGP
C'est même mentionné pour les apiculteurs !
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- gallus
- Auteur du sujet
- Visiteur
- un apiculteur qui fabrique des produits de confiserie avec le miel provenant de sa récolte et du sucre acheté dans le commerce exerce une profession qui peut être considérée comme le prolongement de son activité agricole s'il ne spécule pas sur la fourniture du sucre ;
- les profits retirés par un contribuable possédant une dizaine de ruches, de la vente d'emplâtres qu'il fabrique en partant du propolis ne sont pas, compte tenu du caractère sommaire des opérations de fabrication, rangés dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux ;
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