Fraude et crise sanitaire : les deux fléaux de l’apiculture française
- gallus
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Quand on voit que les cours du miel font du yoyo dans tous les sens, on voit bien qu'il n'y a pas de capitaine pour piloter le navire.
Et cela fait des années que cela dure.
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- legavot13
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- gfass2
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- delpe12
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Aurais tu un lien a nous proposer concernant l'usage du tau fluvalinate pour la lutte acaricide des ruches . L'amm , ce n'est pas plutot pour l'apistan ! . Dis nous . As tu le nom commercial du produit ? .
www.apivet.eu/varroa.html Le tau fluvalinate est utilisé pour la fabrication des laniéres Apistan donc avec amm , mais n'est pas utilisable autrement . Dis moi , si je me trompe !
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- delpe12
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Investir ou créer un ou pls laboratoires indépendant pour les AMM SURTOUT POUR LES PESTICIDES au lieu de nommer des représentants qui rédigent des rapports quin efont qu'eveiller de l'animosité .....
Comment se fait -il qu'aujourd'hui une firme qui met en vente sur le marché un produit quelconque réalise elle même les tests normatifs????
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Tu écrivais , " un nouvel acaricide " . Ce produit ne donnait plus les résultats escomptés par les apis donc son éfficacité .
Par contre , il est faux de dire qu'il n'y a rien pour la lutte acaricide , les autres laniéres sont trés efficaces et ne générent pas de résidus ( analysés à ce jour ) dans les ruches . Il suffit pour cela de respecter les indications du fabricant .
Nous sommes des centaines à les utiliser et nous n'observons pas de probléme de résistance .
Tous les autres usages s'inscrivent aussi dans le titre du sujet .
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- Michel8
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Les lecteurs ne sont pas assez naïfs pour croire que que ces écrits sont servis par une indigence de pensée et la difficulté de redresser ces propos populistes va vite s'estomper pour les faire rejeter par eux-mêmes une tromperie trop manifeste.
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- delpe12
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Le cheptel d'abord , les idéaux ensuite .
J'ai commencé l'apiculture en pro en 74 , et les idées pour se sortir du varroa ( dés son arrivée ) n'ont pas manquées . Lorsque l'on vit avec un cheptel , le mieux est d'en assurer la santé avant toute autre chose . J'ai toujours vécu uniquement de ce métier et sans provocation , je peux te dire que les laniéres industrielles y sont pour beaucoup .
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- delpe12
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Pour nous les mortalités hivernales sont ridicules . Par contre pour la période que tu cites ( 97) , nous étions presque à 20% de perte tous les hivers et à 25% pour l'année .
La question est : comment se fait il que des apis perdent de 30 à 70 % de leur cheptel en plein hiver en ayant des laniéres efficaces et des néonicotinoides minorés .
Les pertes de gros producteurs que je connais bien ne sont pas dans ces pourcentages .
Tout s'est affiné en apiculture , techniques , pratiques , alimentation ( si nécessaire ), reproduction , libre à chacun de faire comme il veut , mais les résultats comptables doivent etre au beau fixe et aussi sans polluer les cires des autres .
Que les apis veuillent faire front commun , n'est pas à l'ordre du jour , il faudrait probablement qu'ils soient en accord avec eux mémes .
Je ne te parle méme pas des apis qui mettent du miel ou du pollen dans leur sirop ou fondant en pensant que c'est bien pour les abeilles . C'est surtout une trés grande porte ouverte à des pathologies multiples . Certains te diront qu'ils font cela et qu'ils n'ont jamais eu de probléme , jusqu'au jour ou tout le cheptel est contaminé .
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- ian
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Tu fais une différence entre le tau fluvalinate et le fluvalinate .. Tu pourrais nous eclairer un peu plus stp ?
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- ian
- Visiteur
ardecho écrit: est-ce qu'il est possible de balancer une telle quantité de gaz à effet de serre dans l'atmosphère sans que ça change le climat ?
dans notre cas, est-ce qu'il est possible de balancer une telle quantité de pesticides dans l'environnement sans que ça détruise la santé des insectes ?
même chose avec les agris qui manipulent des pesticides des années et qui choppent une maladie bizarre : ils peuvent porter plainte mais il n'y a pas de preuves tangibles...
c'est le bon sens qui parle mais sans la démonstration scientifique pour l'étayer.
donc ce sont des débats qui peuvent durer à l'infini.
Je suis d'accord . Mais face à la justice , il faut apporter la preuve et ça peut être compliqué voir impossible .
Exemple: l'agriculteur qui avait déposé plainte contre Monsanto pour empoisonnement suite à l'utilisation d'un herbicide maïs (Lasso) viens d'être débouté au motif que le lien de causalité n'a pas été établi de manière formelle entre la dégradation de sa santé et l'emploi de l'herbicide Lasso .
La justice recherche la vérité
et laisse aux avocats la défense d'un point de vue ....
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- ian
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legavot13 écrit: .Ce n'est pas un hazard aussi si chez les agriculteurs on recensent le plus grand nombre de cancer.
Bonjour Legavott
J'aimerais beaucoup connaitre ta source qui indique que c'est chez les agriculteurs que l'on recense le plus grand nombre de cancer .
Parce mes propres sources n'indiquent pas du tout cela .
D'une manière globale, la population agricole est moins sujette au cancer que les reste de la population générale en France mais aussi aux USA car une etude identique a été menée sur ces deux pays.
L'explication de cette difference de mortalité par cancer : Le mode de vie . Par exemple, la population agricole fume moins que le reste
Les agriculteurs développent certains cancers plus souvent que la moyenne aussi.
Les cancers de la peau par exemple, lié à l'exposition au soleil.
Mais aussi le cancer de la prostate, du sang ,du cerveau ....et la , l'utilisation de produits phytosanitaires est correlée. D'où les mesures de protection des utilisateurs prises depuis .
Plus étonnant : certaines études montrent que la pratique de l'élevage type bovin fait apparaitre une diminution importante des cancers du poumon sans avoir de facteur explicatif pertinent
Tu vois bien, Legavott, c'est pas si simple ! a moins que tu nous produise une étude qui étaie ton affirmation et que je lirais avec intérêt
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- ardecho
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du luy écrit: à delpe ,
Pour nous les mortalités hivernales sont ridicules . Par contre pour la période que tu cites ( 97) , nous étions presque à 20% de perte tous les hivers et à 25% pour l'année .
La question est : comment se fait il que des apis perdent de 30 à 70 % de leur cheptel en plein hiver en ayant des laniéres efficaces et des néonicotinoides minorés .
Les pertes de gros producteurs que je connais bien ne sont pas dans ces pourcentages .
Tout s'est affiné en apiculture , techniques , pratiques , alimentation ( si nécessaire ), reproduction , libre à chacun de faire comme il veut , mais les résultats comptables doivent etre au beau fixe mais sans polluer les cires des autres .
Que les apis veuillent faire front commun , n'est pas à l'ordre du jour , il faudrait probablement qu'ils soient en accord avec eux mémes .
Je ne te parle méme pas des apis qui mettent du miel ou du pollen dans leur sirop ou fondant en pensant que c'est bien pour les abeilles . C'est surtout une trés grande porte ouverte à des pathologies multiples . Certains te diront qu'ils font cela et qu'ils n'ont jamais eu de probléme , jusqu'au jour ou tout le cheptel est contaminé .
il reste des questions :
pourquoi une telle variabilité de la mortalité hivernale d'une année sur l'autre ?
pourquoi est-ce que des apis ayant des pratiques identiques ont des taux mortalité très différents ?
pourquoi est-ce que dans une même exploitation les tx de mortalité sont différents d'un rucher à l'autre ?
il y a trop de paramètres en jeu : souches génétiques, traitements, nourrissements, micro-climat, ondes magnétiques, résidus de pesticides, nature de la flore, qualité des cires, ruchers mal voire non traités à proximité, spores et pathogènes dans la région, transhumances, météo..... la liste n'en fini pas, difficile d'y voir clair.
pour moi on peut tirer seulement 2 conclusions :
jamais de grosse mortalité : on ne change rien
toujours de fortes mortalité : on doit tout changer
entre les 2 ça devient un casse tête chinois !
je connais des pro qui bossent pareil depuis des décennies sans soucis de mortalité et puis d'un coup, sans qu'ils sachent pourquoi, plein de mortes.
et l'année d'après tout rentre dans l'ordre. ça va ça vient, notre environnement est trop perturbé pour que les choses soient simples.
ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas aussi des mauvaises pratiques ou disons, des pratiques inadaptées...
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- ian
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" Pourquoi en tant que journaliste normalement neutre ne parlez vous pas aussi du rapport de la DGAL sorti en décembre 2016 (du ministère de l'agriculture) qui embête beaucoup Monsieur Le foll.
Faite objectivement votre travail les journalistes.
Sur 195 cas signalés et étudiés par la DGAL en 2015, ZERO détection de néonic. responsable de perte de rucher. Les pb sur rucher qui serait dus a des traitements chimiques représentent moins de 5% des causes de disparitions de colonies.
Les produits incriminés sont en majorités ceux utilisés (mal) contre le varoa et un seul d'origine agricole avéré qui est le spinosad (produit bio).
Ce que dit ce rapport qui constate pour la première foi la réalité de terrain est a l’opposé des discours démago de notre ministre mais qui faisais plaisir a l'unaf.
Alors qu'un grand nombre de professionnel hurlaient que ce n'était pas possible et que les expérimentation qui étaient prise en témoins étaient (pour ceux ayant les compétences de le voir) soit mal interprété soit non représentatif de la réalité.
Tout faux la France qui a même osé vouloir imposer aux autre ses idioties (et le bon français a même insulté les européen qui n’était pas d'accord avec le discours français).
HONTE pour la France.
Le plus ridicule de la situation française est que nous sommes le pays avec le plus de restrictions phyto vis à vis des abeille et celui qui a le plus de perte d'abeilles.
Les pays qui continuent les néonic ., eux, ont remonté leur cheptel"
Fin de la citation ( je peux vous donner l'origine en MP)
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- happy.bee
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antibiotiques a outrance , balance dans les ruches au pulve ,traitement du varroas avec du coumaphos a la cuillère a soupe ,klartan mis a la seringue sur les cadres ....et j'en ai une valise
Je pense que l'apiculture a vraiment évolue et que les apis suivent beaucoup mieux leurs ruches maintenant .
Le miel devient de plus en plus dur a produire ,les abeilles disparaissent le constat est quand même facile a faire, non !
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- gallus
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happy.bee écrit: En matière de mauvaises pratiques,je crois que la panacée a été a l’époque ou le miel a coule a flot .
antibiotiques a outrance , balance dans les ruches au pulve ,traitement du varroas avec du coumaphos a la cuillère a soupe ,klartan mis a la seringue sur les cadres
A te lire, les pesticides faisaient un bien fou aux abeilles
(je plaisante, mais c'est l'effet que çà donne en te lisant )
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- happy.bee
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Pour moi , il y a deux situations liées à l'apiculture ; Les apis d'un coté et leurs pratiques de ce métier , et d'un autre coté , l'environnement . J'évite au mieux de ne pas les confondre , c'est difficile , je te l'accorde .
Les pratiques apicoles . ,J'évite aussi de participer à ce genre de discussion pour la simple raison que j'ai suffisament souffert des complexités de ce métier pour avoir a les faire remonter par des écrits sur un forum . Ce que je communique est plutot de l'ordre des mises en garde pour des apis qui font n'importe quoi sous prétexte que les firmes pharmas gagnent de l'argent ou polluent ( la terre , le ciel , les océans , etc.. ) . Les révoltes de ce genre me paraissent incongrues dans la mesure ou elles ne changent rien au probléme . Pour moi , faire vivre un cheptel est le plus important et surtout avec des pratiques les moins polluantes possibles ( laniéres indus , limitation des déplacements , économies energétiques , nourrissement ) . Perso , je fonctionne avec l'iso , l'homéo , l'acu , la perma bio , mais si on me dit que mon cheptel survivra avec des laniéres indus , je continuerai jusqu'à voir des résultats à 97 ou 98% d'éfficacité avec d'autres produits . Pour ce qui se passe dans la vraie vie , ce sont des apis qui traitent avec des produits avec 75 à 80% d'éfficacité et qui , tout d'un coup s'aperçoivent qu'il en reste trop et donc font n'importe quoi . Je n'irai pas plus loin la dessus , parceque cela fait le type qui dénonce .
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- gfass2
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www.bioaddict.fr/article/cuba-l-un-des-seuls-endroits-au-monde-ou-les-abeilles-sont-en-bonne-sante-a5560p1.html
www.bioaddict.fr/article/declin-des-abeilles-une-etude-de-l-inra-confirme-la-responsabilite-des-pesticides-a5448p1.html
www.tigoo-miel.com/miel-bio-cuba
Et si vous regardez bien le timming de la médiatisation objet du présent sujet elle est postérieure aux informations ici diffusées, par l'INRA entre autre.
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- gfass2
- Visiteur
Faisons tous comme lui.... mais j'en vois qui ont déjà commencé. :woohoo: :woohoo: :woohoo: même le chien rigole..... mais lui , pas touours!
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- mathieua
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La justice ne dit pas que le Gaucho n'y est pour rien, elle dit qu'on n'arrive pas à PROUVER qu'il est le seul responsable.
Le rapport de la DGAL porte sur 195 cas de mortalité (sur plusieurs dizaines de milliers sur le territoire, au bas mot), je me permets de vous mettre ici un extrait d'un article que j'ai écrit sur le sujet :
"La responsabilité des produits phytosanitaires par des intoxications ayant conduit à des mortalités d’abeilles apparaît à nouveau comme très réduite. Selon le bilan de la DGAL, ces cas ne concernent que 4% des cas de mortalité." ("L'oise agricole", 2016)
L'article fait référence au bilan de la DGAL, sur les pertes de colonies d'abeilles sur la saison 2015. C'est à dire qu'elle recense simplement les alertes de mortalités données par les apiculteurs (à peine 200 alertes en 2015, pour 70 000 apiculteurs environ sur le territoire). L'auteur inconnu de cet article oublie de préciser la difficulté pour l'apiculteur de faire constater les mortalités par pesticides, voir de la quasi impossibilité de le faire :
Impossible au delà de 24h (visiter plusieurs centaines de ruches toutes les 24h, comment faire?),
Services de l'état qui ne se déplacent pas à temps, ou ne font pas d'analyses (vécu dans le sud de la Manche il y a quelques années),
Vétérinaires peu ou pas du tout formés à l'apiculture, qui ne peuvent pas faire de diagnostic fiable,
Lorsque par hasard on découvre au bon moment la mortalité, il faudra passer par un huissier, et payer les analyses soi même, soit un coût d'environ 1 000€...
Si le pesticide a été mal utilisé, bien souvent, il faudra passer par un procès long et coûteux, sans garanti de résultat!
Et encore, nous ne parlons ici que des mortalités directes, les effets d'accumulation de produits qui entraînent une mortalité plus tardive n'étant généralement pas décelable par une simple constatation visuelle ou même une analyse des abeilles. Voilà concrètement, comment ça se passe sur le terrain...
Au vu de ces difficulté, ces 4% prennent une autre signification...
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- delpe12
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- gfass2
- Visiteur
delpe12 écrit: j'ajouterais que lorsque on associe les mots apiculture et fraude cela ne fait plaisir à personne sur ce fofo et même sonne comme une provocation de plus dans nos oreilles.
C'est sur que ce n'est pas agréable à "lire" mais si on n'en débat pas.... comment faire evoluer les choses dans la bonne direction?
Des exemples de fraudes il y en a, elles sont le poison d'une réputation que d'autres s'évertuent à défendre par leur travail.... et il ne faudrait pas en discuter?
D'autres s'en chargent.....
www.bastamag.net/Apres-le-scandale-de-la-viande-de
www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/05/18/97002-20130518FILWWW00294-10-du-miel-en-france-est-frauduleux.php
www.mathieua.fr/blog/2015/06/24/les-antibiotiques-en-apiculture/#sthash.iA6E5XOG.dpbs
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Donne moi ta technique alternative et le pourcentage d'éfficacité pour le 12 .
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- happy.bee
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Les effets de la varroase seraient peut être moins importants, si la colonie n' étaient pas fragilisées par l'environnement et cela est pareil pour toutes les autres pathologies.
Un des gros problèmes aujourd'hui est d'avoir des lieux de références suffisants en nombre (des paradis pour hyménoptères) pour pouvoir comparer .
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- delpe12
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- Visiteur
Les mortalités ne sont pas toujours décomptées de la méme maniére sur toutes les exploitations . Ex : si l'api changent les reines en phase descendante en fin d'été ou début d'automne ( parce qu'aprés tu ne peux plus agir sur les colonies ) , il aura un taux trés bas de mortalité sur l'ensemble de son cheptel .
Les essaims ou les reines coutent en trésorerie , mais le cheptel est toujours à flot . C'est une organisation particuliére , mais de toute façon , la problématique de reproduction est obligatoire sur une exploitation ou alors elle achéte.des essaims ou des reines , ce que je n'ai jamais fait de ma vie sauf lorsque j'ai débuté en 74 ou j'ai commencé à 200 et terminé à 700 ( retraite ).
Un des grands pas a faire en apiculture , pourrait etre celui là .
Mortalité 2016 ,67 sur 700 donc juste en dessous des 10% et cela fait des années que c'est comme cela . De plus en production pollen , ce taux normalement augmente sensiblement . Jamais rien demandé à Agrimer pour des achats de cheptel ou ruches .
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