Etat des floraisons châtaignier et lavande
- florent48
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j'ai moi même finis par emmener mes ruches de garrigue au dessus de Saint Ambroix dans les chataigniers hier matin.
C'est la première transhumance de ma vie!
J'en avais trop mare de constater que les ruches faiblissent au lieu de se développer et d'attendre en vain une hypothétique miéllée!
D'autant que je n'avais pas eu de chataignier dans les Cevennes l'année dernière, du moins il n'en avait pas les caractéristiques.
Mais il est vrai que cette année je vois pas trop à ce jour ce que je pourrais bien avoir d'autre à récolter!
J'ai bon espoir quand même c'est déjà quasiment la pleine floraison, j'ai même peut être loupé une semaine de fleurs, mais c'était de l'improviste et j'ai fais ça dans la précipitation.
Je suis partis l'esprit tranquille en me disant au moins qu'elles auront de quoi manger et se développer.
Seul un point me tracasse depuis hier, les ruches sont dans un champ, en plein soleil, je sais pas pourquoi ça me fait peur, surtout avec cette chaleur, car là où elles étaient c'était aussi au soleil, j'ai peur que tout fonde!
On verra bien, mais vivement la prochaine visite pour voir si ça aura porté ses fruits et si tout va bien!
Par contre, combien de temps en moyenne récoltez vous le chataignier aprés avoir posé les ruches?
En attendant bonne aprés midi à vous
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- morgan
- Visiteur
met un nourrisseur dessus la hausse avec isobulle et tu seras tranquille, si ça mielle fort met 2 hausses direct sur les +fortes qui peuvent etre remplie en 10 jours
bonne miéllée
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- florent48
- Visiteur
Nourrisseur nico à demeure sur les ruches, isolant réflecteur multi couches coupé à la dimension de la ruche et toit tole. D'habitude je fait déborder l'isolant de quelques cm et je mets des toits bois et tôle, c'est pour ça que là j'ai un peu de crainte.
Pour les hausses c'est ce que j'ai fais aussi, 2 aux plus fortes, vu que je suis loin.
Donc tout va bien!
Merci pour les conseils et bonne aprés midi
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- max16380
- Visiteur
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- tooney05
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Quelqu'un a une idée de l'avancée des floraisons de lavande sur oraison /entrevennes et sur les chataigniers en nord isere (roybon)
Merci
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- concors
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J'espère pour toi que ca va donner. En tout cas c'est une belle transhumance que d'aller dur ce chataignier.
A mon avis roybon c'est passé et oraison faut pas tarder. Je crois, je ne suis pas sûr.
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- concors
- Visiteur
Les lavandes ne risquent de donner qu'au début et en plus ont démarre par une canicule. Pour le moment elles rentrent 1 kg par jour plus ou moins pour les plus belles mais ca sent le roussi.
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- concors
- Visiteur
Hier soir c'était mouillé en surface sur 2 mm à l'intersection de digne et à puimoisson. Ça à faillit le faire.
Il fait 32 à l'ombre. Donc deux options. Celle ou la chaleur fini par provoquer des orages ou celle ou tout vat griller. Il y à des gros cumulos naimbus, faut croiser les doights.
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- max16380
- Visiteur
putain ca fais plaisir
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- ardecho
- Visiteur
chez moi c'est la sécheresse sévère, pas d'orage et chaleur caniculaire. les chataigniers souffrent et ça donne moyen...
en plus j'ai pas mis assez de sirop en mai/début juin et mes caisses font un peu la tronche.
les + fortes arrivent à remplir une hausse mais c'est pas comparable avec les autres années.
faudrait vraiment qu'il pleuve mais ils annoncent que du très chaud et sec pour les 10 jours à venir alors que tout est déjà grillé...
les fruitiers prennent tous cher d'ailleurs ça va être une année pourrie pour les arbo, ya que les oliviers qui se portent bien
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- concors
- Visiteur
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- max16380
- Visiteur
bon j'espere pour toi que ca va pisser chez toi. sinon ta + qu'a demenager par chez moi. au moin il pleut un minimum
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- ardecho
- Visiteur
sinon je me demande si dans le sud, avec le réchauffement climatique, on est pas en train d'avoir un nouveau climat défavorable à l'apiculture...?
en tous cas chez moi je remarque ces dernières années que c'est toujours le même scénario :
printemps très venteux et donc frais (voire carrément froid) et complètement sec et puis en juin le vent s'arrête et c'est direct la canicule. et en septembre plus d'orage comme avant mais du chaud et sec jusqu'en octobre.
après des épisodes cévenols super forts mais trop tard il y a plus de fleurs...
si ça se maintient comme ça on aura des saisons pourries à chaque fois.
bon après ça peut changer, c'est pas une science exacte...
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- kentin
- Visiteur
Notre dernier espoir, qui commence à donner, se trouve à plus de 1000m...
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- tooney05
- Visiteur
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- Apinoires
- Visiteur
ardecho écrit: sinon je me demande si dans le sud, avec le réchauffement climatique, on est pas en train d'avoir un nouveau climat défavorable à l'apiculture...?
...
"un nouveau climat défavorable à l'apiculture"
Ouais, moi aussi je me suis posé un peu ces mêmes questions, mais en comparant objectivement avec des coins que je connais (sud Italie ou Sud Espagne, Grèce (très Sud) ou encore Turquie) ces pays bien plus au sud qui connaissent déjà ces mêmes situations en périodes comparables et depuis fort longtemps avec pourtant finalement une apiculture qui ne se porte pas si mal que ça et surtout bien mieux que chez nous, il faut donc peut être en tirer les conclusions qui s'imposent et qui demandera sans doute de nous adapter ??
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- fifiniak1963
- Visiteur
Apinoires
[quote="Apinoires"
.... et qui demandera sans doute de nous adapter ??[/quote]
c'est sans doute la flore qu'il faut adapter ...il faudrait peut être anticiper et aider à s'implanter une flore venue du sud et peut être même d’Afrique du nord
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- ardecho
- Visiteur
chez moi quand il fait entre 25 et 30°en avril et qu'il ne pleut pas du printemps, ben les acacia ils sont cramés et ils fleurissent à sec...
si j'avais la flore du sud de l'Espagne elle donnerait du nectar quand même sans avoir besoin de bonne pluie...
après dans tous ces pays ils n'ont pas non plus les même charges que nous et surtout ils ont beaucoup beaucoup moins de pesticides...
pour finir planter des espèces su sud chez nous peut être une bonne solution mais le problème c'est qu'on n'est pas non plus à l'abri d'une vague de froid en hiver et là aie aie aie !
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- fifiniak1963
- Visiteur
ardecho écrit:
pour finir planter des espèces su sud chez nous peut être une bonne solution mais le problème c'est qu'on n'est pas non plus à l'abri d'une vague de froid en hiver et là aie aie aie !
Salut ardecho
les vagues de froid effectivement.. : ces derniers temps je réfléchis beaucoup à l’appauvrissement de la flore mellifère de mon secteur ..la cause en est surtout la disparition des agriculteurs et de ce fait la disparition des sainfoins et autres luzernes cultivées ..je m'intéresse donc à la flore sauvage qui pourrait coloniser les prairies en friche qui ne servent qu'a faire un peu de foin pour les chevaux et les moutons ...ces friches sont donc malgré tout fauché ...je me suis donc intéressé aux espaces rocailleux et non cultivés mais qui sont parfois malgré tout 'rasé' par les moutons ..d'ailleurs le surpâturage est sans doute catastrophique pour la flore sauvage ..mais il y a aussi le gel : les rares années ou il gel à moins 20 ou presque doivent faire beaucoup de dégâts et il faut sans doute de longues années pour que la flore recolonise les espaces qui ont subit le plus de pertes...
suite à cette réflexion j'en conclu qu'il faudrait aider un peu la nature sauvage à recoloniser les espaces 'perdu' en disséminant des graines d’espèces locale (déjà adapté ou d'autres plus adapté à la sécheresse) mais quel boulot!...les fourmis font ça très bien (mais sont elles encore suffisamment nombreuse?...)
parmi les plantes sauvages de mon secteur il y en a une dont je suis 'tombé amoureux' c'est l'orpin de nice . Elle pousse dans la caillasse et est très facile à multiplier par bouturage . J'ai fait un test l'an dernier : j'ai fait une vingtaine de pots plastique que j'ai posé dans un rucher sans plus jamais m'en occuper et elles sont toujours en pleine forme et vont bientôt fleurir ...j'ai l'intention d'en faire en grand nombre en pot en matière végétal ou carton ...j'ai de quoi m'amuser un moment !!!..mais vais-je trouver le temps ?...
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- max16380
- Visiteur
j'ai plusieur fois été au bled donc je pense que votre climat est un peu pareil et la bas les types tranchume grva sinon tu fais 3 a 5kg par caisse alors qu'en transhumant tu peu faire 30 a 40 kg voire plus.
par contre il y a toujours qq'un pour surveiller les caisses, apres chez nous avec les voleurs c la merde sinon tu mettait 10/16 caisse par remorque et hop tu attelle, tu detelle avec hausse ou pas hausse, c pratique et pas de punice pour le dos. a voir en les mettant chez des paysans ou berger qui peuvent jetter un oeil dessus. ca peu etre une solution a moindre frais pour celui qui n'a pas un 18 T avec un chargeur. moi meme pour l'accacia je crois que je vais adopter ce genre remorque d'occaze a amenager et quand tu pose tu sort juste le cric et tu vire les 2 roues et a la rigueur tu soude un boulon (1goujon sur chaque roue) et la quand meme!
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- Apinoires
- Visiteur
max16380 écrit: je pense que par chez vous il faut transhumer a mort,
+1, Tout à fait !!
Mais le hic, c'est que certains (bien que convaincus) voudraient bien s'en passer !!
Là j'arrive à l'instant de contribuer au chargement et le fiston (+ son aide de camp) vient de partir avec une soixantaine de caisses pour le plateau, ce qui veut dire y passer presque la nuit et moi à + de minuit je vais donc enfin souper, ça ne fait donc rigoler personne, mais c'est le prix à payer en apiculture pastorale !!
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- ardecho
- Visiteur
perso je suis pas trop chaud pour enchainer des nuits blanches et ne pas voir mes gosses de la saison en échange d'un salaire de polonais.
je préfère encore trouver un petit boulot l'hiver à coté de chez moi.
en plus après, niveau commercial, c'est dur de jouer la carte "miel local", "produit du terroir"...
après chacun voit midi à sa porte... mais perso mon pauvre fourgon qui a déjà du mal à passer le contrôle technique n'y résisterais pas :lol:
par contre un truc que j'ai jamais compris c'est comment font ceux qui transhume tout le temps sur longue distance font pour avoir des emplacements accessibles en camion, mellifères, isolés des habitations et ce partout dans le pays ??? ça ma parait encore le plus compliqué, sans compter les risques de vol...
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- Apinoires
- Visiteur
ardecho écrit: oui c'est sur c'est ce qu'il faudrait faire... enfin comme dit precédemment il faut aussi avoir le temps et réussir à concilier ça avec la famille :whistle:
perso je suis pas trop chaud pour enchainer des nuits blanches et ne pas voir mes gosses de la saison en échange d'un salaire de polonais.
je préfère encore trouver un petit boulot l'hiver à coté de chez moi.
en plus après, niveau commercial, c'est dur de jouer la carte "miel local", "produit du terroir"...
après chacun voit midi à sa porte... mais perso mon pauvre fourgon qui a déjà du mal à passer le contrôle technique n'y résisterais pas :lol:
par contre un truc que j'ai jamais compris c'est comment font ceux qui transhume tout le temps sur longue distance font pour avoir des emplacements accessibles en camion, mellifères, isolés des habitations et ce partout dans le pays ??? ça ma parait encore le plus compliqué, sans compter les risques de vol...
Ardecho, pour ce qui consiste "faire du miel" nous sommes tous les deux convaincus que c’est effectivement en apiculture, la tache la plus difficile à réussir !!
Ca dépend comme disait mon cher oncle de 3 conditions à réunir :
1/ posséder d’excellentes caisses,
2/ posséder d’excellents emplacements,
3/ profiter d’une météo complaisante !!!
et mon oncle rajoutait à ceci que si pour la 3° condition on ne peut pas grand chose, pour les deux premières ça ne dépend que de l’api !! :woohoo:
Je ne discute donc pas du tout les choix de chacun loin de là, mais seulement au niveau gestion, si on possède des ruches et qu’on souhaite les rentabiliser, il me semble qu'il n’apparaît malheureusement que peu d’alternatives à part les transhu et même si ça impose c’est vrai, bien du boulot voire des sacrifices, ce qui comme je l’écrivais précédemment n’amuse absolument personne ?
Dans des contrées comme les nôtres ou sur une floraison, une fois la miellée terminée les abeilles peuvent se retrouver quasiment en disette, les colonies laissées en place n’auraient pas d’autres choix que de survivre sur leurs acquits, ce qui ne laisse donc que 2 choix à l'apiculteur: soit récolter et déplacer sur d’autres floraisons, ou ne pas récolter et laisser gérer la récolte aux abeilles, pour envisager une seule et unique récolte « toutes fleurs » de fin de saison qui représentera finalement ce que les colonies n’auront pas consommées et qui donnera donc une récolte en gestion sédentaire !!
Mais tout au contraire, si après miellée et récolte, les caisses sont déplacées sur une autre éventuelle miellée, sur les colonies la disette par manque de fleurs ne se produira pas et le peu qui sera toujours présent et récolté représentera toujours une nouvelle récolte et en principe une nouvelle référence pour la vente !..., concernant ce choix et donc cette gestion, même si les miellées se révèlent parfois décevantes, c’est pourtant déjà suffisant pour faire une énorme différence sur le sédentaire qui ne cumulera jamais autant dans le même laps de temps et sur les mêmes périodes ??
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- ardecho
- Visiteur
on est d'accord sauf que dans mon cas j'ai des emplacements en piémont cévenol qui ont aux alentours et en quantité :
prunelliers, merisiers, aubépines, ronces, chataigniers, genêts, serpolet + en moindre quantité des bruyères et quelques beaux massifs de romarins échappés des jardins sans oublier trèfle blanc, la sauge des prés de l'inule et un peu d'arbousier.
cela devrait permettre de ne pas connaitre de disette trop marquée et de pratiquer une apiculture sédentaire relativement rentable (il suffit juste de descendre en bord de rivière pendant 15 jours pour l'acacia).
j'ai connu des saison à 25kg/ruche avec une récolte fin mai/début juin et une autre fin juillet.
maintenant comme je l'ai déjà dit, il nous arrive des saisons avec des météo qui gachent toutes les miellées donc il me faudrait aller poser mes ruches très loin de chez moi pour qu'elles profitent d'un autre climat... mais comme je met en pot toute ma production et que je vends tout en tant que produit local estampillé parc naturel d'ardèche à des boutiques du terroir, biocoop rayon produits locaux, gites touristiques, marchés de producteurs, etc... si je vais faire de l'acacia en isère, du thym en provence et du chataignier en Lozère ça va poser quelques problèmes :whistle:
maintenant si le climat est définitivement différent et reste comme cette année, il va falloir effectivement tout repenser de A à Z... :huh:
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- concors
- Visiteur
Lol. C'est tres mauvais pour l'organisme humain, les abeilles supporte tant bien que mal et en plus ce n'est pas sûre que ca marche. En plus faut parfois remonter nourrir, poser des hausses, récolter puis redescendre les caisses. .lol la vie de famille.. lol
Moi je vous le dit finalement en provence ont est mal. En plus l'hiver ont ce paye l'influence des alpes et massif central avec le vent du rhone. Super region non ?
Par contre des lux de luminosité ont en mange mais guère plus que le sud Ouest.
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- Damien83
- Visiteur
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- fort myers
- Visiteur
10 jours après avoir monté des essaims tout juste passés de ruchette 5c (Lang) en ruche, i.e 3 à 4 CC+ 1CC (renforcement)1 CP+ 1B+ 3 à 4 GF
(CC couvain operculé, CP cadre de provisions, B bâtisse, GF gauffrés)
Bilan ce matin
Les colonies sont sur 10 cadres, pleines de nectar, surtout de couvain
Belle cires blanches étirées convenablement
Je n'ai pas de problème de cadre de pollen en surnombre
Tout ce petit monde à reçu sa hausse Dad ce jour
RDV dans 7 à 8 jours
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- ardecho
- Visiteur
les hausses se remplissent timidement.
la canicule annoncée me fait un peu peur, cet après-midi au dessus de La souche à 800m il faisait 30° ! et là haut ils sont en fleurs aussi, c'est un peu n'importe quoi !
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- fort myers
- Visiteur
Je suis à St Cirgue exactement, donc une plus haut que toi vraisemblablement
J'ai aussi remarqué au moins deux espèces différentes, dont une bien en retard par rapport à celle de mes photos...tu connais cela?
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- Apinoires
- Visiteur
concors écrit: Lol pour nous qui sommes en extrême sud-est, il faut déjà faire 2 h de route pour aller chez ardecho qui lui aussi dit que c'est la mouise. Donc il faut faire 4h de route et au retour pour les lavandes faut faire 6h.
Lol. C'est tres mauvais pour l'organisme humain, les abeilles supporte tant bien que mal et en plus ce n'est pas sûre que ca marche. En plus faut parfois remonter nourrir, poser des hausses, récolter puis redescendre les caisses. .lol la vie de famille.. lol
Moi je vous le dit finalement en provence ont est mal. En plus l'hiver ont ce paye l'influence des alpes et massif central avec le vent du rhone. Super region non ?
Par contre des lux de luminosité ont en mange mais guère plus que le sud Ouest.
Si transhumer voudrait dire d'envisager d'aller si loin ?
tu peux aussi bien aller faire ton Acacia en Hongrie et pourquoi pas dans la foulée et en revenant faire du sapin en forêt noire ?? :lol:
Pour ma part, sortis du romarin, la majorité de mes ruchers ne font pas plus de 20 voire 30 km pour les miellées suivantes, ce qui ne me dérange pas énormément puisque certaines situées par exemple dans le haut var me rapproche des lavandes, ce qui sera la miellée suivante et donc le prochain déplacement !!
Je te le concède, quelques ruchers font un peu plus que 30 km et ne sont pas non plus forcément dans la direction des lavandes, mais je te garanti que aucun ne fait 4h de route et pour finalement, souvent rien faire de mieux, ???
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