Cours des miels
- Forest
- Auteur du sujet
- Visiteur
Peut-être est-il un peu tôt pour se lancer (risquer?) à vouloir vendre ses fûts en gros, mais les annonces qui fleurissent sur ce site me laissent un peu songeur...Je me pose pas mal de question quand je vois des annonces de miel de printemps à 4e voir moins, perso mon prix de revient est supérieur à ce tarif qui me semble digne des miels d'import avec qui nous entrons en concurrence???? Ma question est : comment font ces apis pour s'en sortir à ces tarifs? Va ont accepter encore de baisser nos prix et brader notre boulot? Qd je vois un mécano, un informaticien ou un plombier facturer ses heures à quasi 50 euros/h, à combien estimez-vous la valeur de votre travail? Car là on est clairement pas sur les mêmes rapport !
Qu'en pensez-vous?
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- ardecho
- Visiteur
1- comment gagner suffisamment à ce tarif ?
2- comment considérer la valeur son propre travail dans ces conditions ?
perso, vendre à ce prix et laisser les conditionneurs/revendeurs/distributeurs gagner bien davantage que moi sur chaque kilo, je ne pourrais pas.
nous avons un métier qui réclame des efforts, beaucoup de temps, de l'expérience, du savoir-faire et du matériel.
tout cela se paye normalement et quand on vend au détail, les gens comprennent bien qu'un miel français de qualité se paye le prix qu'il faut.
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- Forest
- Auteur du sujet
- Visiteur
on est bien d'accord, mais du coup j'ai pas l'impression qu'on soit bien nombreux à partager ce point de vue...Au printemps je fais du miel de culture et d'aubépine, donc vendre tout en direct pour moi est compliqué et chronophage, je suis bien un peu obligé de passer par le marché de gros, mais du colza en dessous de 5 euros franchement, vous le vendez??? A moins d'en avoir 50 fûts en stock franchement ça fait réfléchir non???
Ça ne choque donc personne???? Ou bien pour écouler notre miel français on doit faire le gros dos?
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- maya79
- Visiteur
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- maya730
- Visiteur
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- LAS87
- Visiteur
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- ardecho
- Visiteur
le bio importé est entre 12 et 15 le Kg et le pas bio importé autour de 10 avec une exception
pour la pate sucré orange made in china qui est à 5 ou 6
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- maya730
- Visiteur
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- Lionel
- Visiteur
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- maya730
- Visiteur
je serrais en retraite d'ici laLionel écrit: T'inquiète pas maya, bientôt l'IGP SAVOIE !
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- thierry26/07
- Visiteur
Maya730 ,en lisant bien la pub ,,
1er prix ..9.75,mais il n'est pas précisé qu'il s'agit d'un miel Français!
le deuxieme prix 5.25 "le produit" celui là récolté en France il est à 14,00 euros le kilo..
donc voilà,s'il s'agit d'une promotion,les prix proposés sont corrects,maintenant je pense qu'un consommateur,amateur de miel ne sera pas choqué par les prix affichés par Ardecho !
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- maya730
- Visiteur
le meilleur en appellation je l'invente pas ( miel de nos régions et d’Espagne )
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- ardecho
- Visiteur
et aussi un magnifique miel d'acacia beige et entièrement cristallisé, qui ressemble comme 2 gouttes d'eau à du colza :lol:
ce que j'aime bien aussi ce sont les miels "sélectionnés par la miellerie untel..."
traçabilité en béton :woohoo:
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- max16380
- Visiteur
pour le semis gros printemps (meurisier) 6e / kg, tt fleurs 6,5e/kg, chataigner 8e/kg, tournesol 4a 5e/kg, acacia 8e/kg, ceci pour des sceaux de 40 kg
pour des futs colza 4e/kg, tt fleur 6,5e/kg, chataigner 7,5e/kg, acacia 8e/kg, tournesol 4,1e /kg
apres perso moi plus personne ne veux de colza donc j'en fais plus car synonyme de rampe de sulfatage, idem pour le tournesol donc en pot je vend surtous le meurisier, le chataigner, tt fleur et acacia. bref que du miel de cru
je suis au prix par rapport a chez moi en pot verre de 500g et j'ai des concurrents a 2 e de moins du kilo en pot, quasi au prix semi gros, si tu compte ton gasoil et ta MO tu perd du fric a vendre en pot a ce prix la. pour moi le mini c 6 e le pot de 500g sauf tournesol a 5e le 500g, ca me semble honnette apres je doit tourner a 2,5 e ou 5 e de l'h en MO et avec un prix du miel au ras des paquerettes sinon t'arrete de suite et vla la concurrence
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- max16380
- Visiteur
et je pense que le prix des futs en bio va se casser la gueule niveau francais, affaire a suivre
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- Matlag
- Visiteur
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- Risson
- Visiteur
Reste à savoir pourquoi : qu'est-ce qui n'a pas fleuri en même temps cette année ?
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- ardecho
- Visiteur
peut-être que la production globale n'a pas été très élevée, ce qui peut expliquer des cours élevés.
par contre le miens est légèrement jaune, pas totalement translucide car les premières ronces ont fleuri pendant les derniers jours des acacia les plus tardifs.
en 2016 il était vraiment pur et translucide mais 5kg/ruche à peine. je préfère cette année
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- stf
- Visiteur
*
Pourquoi c'est important
Monsieur le Ministre de l'Agriculture,
Très vite, une loi pour connaître la provenance des miels !
Aucune information sur les pays d'origine des miels en mélange produits hors de France ne sera exigée sur l'étiquetage par la loi française !
L'article 43 de la loi Agriculture et Alimentation a été délibérément censuré par le Conseil constitutionnel, entretenant le fl ou sur l'origine des miels vendus en mélange, provenant ou non de l'Union européenne. Une décision inacceptable face aux scandales sanitaires et à la concurrence dont nous sommes victimes.
Les consommateurs exigent transparence et traçabilité. Aux côtés des apiculteurs français, avec le Syndicat National d'Apiculture - acteur engagé des États généraux de l'Alimentation, nous réclamons l’adoption d’un texte de loi permettant de délivrer une information fiable sur la provenance de TOUS les miels proposés à la vente, quelle que soit leur origine.
Monsieur le Ministre de l'Agriculture, par cette loi vous protégerez les consommateurs, les apiculteurs et la biodiversité sur le territoire national.
Le Syndicat National d’Apiculture
secure.avaaz.org/fr/petition/Ministere_de_lagriculture_et_les_deputes_Pour_un_etiquetage_transparent_de_lorigine_des_miels/?cTwZEnb
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- ian
- Visiteur
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- mpironnet
- Visiteur
Moi pour ma part je m'installe dans le poitou-charentes, cela fait depuis 2015 que je vends du miel en gros, un peu de détail aussi.
Par grossistes encore l'année derniere la moyenne c'était 6€ le kg, ce qui était encore correct, là cette année je constate qu'enormément d'apis on réussis leur saison en miel, il y a de la quantité. En discutant par telephone a plusieurs négociants et grossistes, tu te rends compte qu'ils ont pratiquement tous adapté leur stratégie d'acheter les miels français a des prix avoisinnant les 3€ le kg ( du moins pour le tournesol et toutes fleurs d'été ), l'année derniere sur ces miels on était a 6€ 6€50 le kg.
Là ça fait trés mal dans le sens ou les charges sont toujours au meme niveau, la MO c'est toujours autant d'heures mais à ces prix on peux pas se projeter a moins de doubler le cheptel en production pour esperer arriver a ses objectifs de CA, sauf que doubler le cheptel c'est doubler le taf et les charges, au final tu rentres dans un systeme ultra conventionnel et pour ma part c'est pas le but. Le probleme c'est la trésorerie, a 3€ le kg prix des grossistes comparé a des miels importés a 2€ 2€50, ils veulent faire couler les petits. Et toi si tu as pas ce qu'il faut en tréso et bien tu peux vite tomber et je pense que c'est leur but principal, faire du tri, bosser qu'avec des grosses exploitations qui leur assurent la quantité, et importer leur miels de l'etranger, eux ils rentrent dans leur frais comme cela, et les petites exploitations coulent derriere...
Donc forcément comme vous le soulignez il faut revoir nos modes de commercialisation et mieux valoriser nos productions, sauf que pareil que quelques posts plus haut, dans mon coin a 100km a la ronde nous sommes une dizaine d'apis professionnels, et les marchés ou GMS sont pratiquement tous reservés a des apis, donc la vente en gros encore l'annee derniere vallait le coup, là cette année c'est chaud.
Encore l'entre deux a 4,50€ le kg ça peux encore dépanner, mais 3€ c'est du gros foutage de gueule tandis qu'eux le revendent en magasin a 12 ou 15€ le kg, donc je sais pas vous mais moi la vente en gros je pense que tant que les prix ne reprennent pas les cours des années précédentes, je vais limiter au maximum la vente en gros a seulement quelques futs et revoir ma comm, pas le choix quand tu as des emprunts et des objectifs, si ce que tu gagnes tourne au négatif pour des enfoirés qui s'en mettent plein les poches sur ton dos...a quoi ça sert
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- cdsjo
- Visiteur
Il semble que beaucoup, à mon avis parce qu'ils ont une haute opinion de leur travail (j'en fais partie) voudraient que le travail soit rémunéré correctement et de manière linéaire d'une année sur l'autre.
Et bien si c'est sur ce quoi l'on compte, il faut changer de métier.
C'est dit brutalement, on peut avoir des avis divergents mais les mêmes causes produisent généralement les mêmes effets.
Beaucoup de lancent en apiculture pensant que le travail de l'apiculteur et l'abeille vont tout régler, ce n'est pas vrai.
A quoi donc sert de produire s'il n'y a personne pour acheter, et ceux qui achètent où n'achètent pas le font selon leur besoins et c'est tout.
Quant on part en apiculture ou dans n'importe quel domaine où l'on produit sans savoir à qui on va vendre et à quel prix, il faut s'en aller salarié où quelqu'un a fait le travail pour vous en amont.
La détresse de celui qui a un bâtiment plein de miel et pas d'acheteur peut se comprendre et même se partager lorsqu'on fait le même métier d'autant plus qu'on a tous connu ça à un moment ou autre de notre carrière.
Avant de se lancer dans l'aventure parce que c'en est une, il faut bien se mettre dans la tête qu'on ne peut produire que ce qu'on est capable de commercialiser.
Quant on a un cheptel important pour produire des volumes importants, il faut mettre les abeilles pour produire du miel qui va se vendre en dehors de tout autre critère.
On va se répéter encore une fois:
Le miel produit en gros va sur les linéaires de GMS ; ce miel, le conditionneur connaît les besoins, il achète ce qu'il a besoin en fonction des ventes réalisées les années précédentes, rien de plus, stocker coûte trop cher et aujourd'hui personne ne stocke ; donc lorsqu'on produit 20 50 ou 100% de plus que l'année passée il ne se vend pas 1kg de plus sur le territoire ; c'est l'apiculteur qui va stocker.
Que les nouveaux arrivants dans le métier connaissent les règles, ça a toujours été ainsi.
En 2018 puisque c'est le sujet, c'est le miel de luzerne qui est venu semer la zizanie sur le marché, mais on n'en voudra ni à la météo ni aux abeilles d'avoir été top.
Comme qui plus est certaines exploitations sont plus fragiles que d'autres, des apis ont pu proposer de la luzerne a moins de 3e ; où est le problème lorsqu'on produit 3 fois plus que la moyenne ?
Et bien le problème il est pour les autres qui doivent s'aligner, même s'ils sont dans d'autres régions ou la météo a été moins favorable et se retrouvent avec peu de miel à vendre à un vil prix.
Pour relativiser, il semble que ce soit principalement un problème de miel de cultures, le cours des miels de crus, semble, lui, mieux se tenir.
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- ardecho
- Visiteur
parce qu'il faut voir aussi que les quantités énormes de miel (et de faux miel édulcoré) importées changent la donne.
si les apis français qui vendent en gros se retrouvent concurrencé par des producteurs et négociants étrangers qui coupent leur miel au sirop de sucre, il ne s'agit plus du simple jeu de l'offre et de la demande.
de la même manière, même des producteurs intègres et sérieux, s'ils se trouvent dans un pays où les couts de production sont 2 ou 3 fois moins élevés qu'ici, sachant qu'il n'y a plus aucune barrière douanière, en vendant leur miel en France faussent le jeu.
un kg de miel a un cout de production incompréssible, si le prix du marché pour ce miel est égal ou inférieur à ce cout pour les raisons expliquées plus haut, on peut comprendre
que ceux qui ont du stock invendu empilé au fond du bâtiment l'aient mauvaise...
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- cdsjo
- Visiteur
Dans la production de miel en gros, il y a deux marchés : celui des miels de base et celui des miels de cru.
Les miels de base sont généralement issus de grandes cultures (colza luzerne tournesol peut être sarrasin) qui ont comme particularité de pouvoir être produits en masse, de façon assez régulière et n'ont pas, pour la plupart, la possibilité de débouchés directement au niveau du détail, du moins à l'état pur.
Ces dix dernières années leur prix a fluctué entre 3 et 5e mais sont descendus encore plus bas dans le passé, ces prix fonctionnent à l'envers de celui des carburants, vite à la baisse et longs à remonter (comme quoi le c.n, c'est toujours le même).
Ils sont en concurrence directe avec les miels d'import.
Par contre au niveau des miellées, sauf accident, le développement des colonies est bon, voire très bon et cela permet d'accueillir un grand nombre de ruches et de rationaliser le matériel.
Les miels de crus, c'est à peu prés le contraire:
Irréguliers, voire récolte nulle certaines années, ils ont l'avantage de trouver preneur à un prix plus élevé et rémunérateur, il peut arriver que les ruches sortes lessivées de miellées ratées.
Quand on a en tête tous les paramètres de ce marché (y compris les potentiels mellifères de chaque fleur au niveau de ses ruchers) on peut orienter son action ; sa stratégie ; si ça ne marche pas, il faut soit en changer, soit modifier mais surtout pas persévérer quelque chose qui ne fonctionne pas en attendant que ça passe (voir l'actualité).
Dans la production de gros, on se met en sécurité lorsqu'on a un an de trésorerie d'avance: non pas pour changer le camion ou partir en vacances mais pour pouvoir stocker au moins un an une partie de la récolte qui finira toujours par se vendre et souvent à un meilleur prix. On peut aussi, même si on a choisi ce métier pour sa liberté, se faire violence en prenant contact avec des collègues dans la même situation, ensemble on est plus fort.
Pour ce qui est des miels de crus: ce dont on ne parle jamais, on sait pourquoi, ce sont les transactions entre apiculteurs gros producteurs et apiculteurs détaillant.
Il n'y a pas (ou à la marge) d'apiculteurs détaillants qui ne soient à la recherche de miels de crus chaque année, soit parce que la vente est plus forte que la production, soit pour mettre à disposition des miels qu'ils ne produisent pas.
Ce débouché à toujours existé pour nous producteurs de volumes et il se développe fortement ; reste à établir le contact.
Suivant les situations, à un moment donné l'apiculteur a un choix: vais privilégier une miellée de culture à 20kg ou une de miel de cru à 9kg ?
Enfin, pour vendre, il y a deux écoles:
Celui qui chaque année change d'acheteur pour bénéficier du prix le plus élevé mais comme il n'y a pas de relation, risque de se retrouver avec ses fûts sur le c.l lorsqu'il y a grosse production.
Celui qui s'engage avec un partenaire qui assurera le débouché chaque année mais au prix moyen du marché.
Il est illusoire de croire qu'il est possible de commercialiser la totalité du miel produit en gros par le canal du petit détaillant local ou du tourisme, d'ailleurs cette production correspond a un besoin réel ensuite si on la flèche vers le détail direct, il va y avoir de la casse.
Pour des raisons détaillées ailleurs sur le forum, le nombre de grosses structures est en diminution constante où lorsqu'elles perdurent, c'est en raison de regroupement de plus petites qui galèrent seules ou bien qui nécessitent l'embauche de personnel, mais là, ce n'est plus tout à fait le même métier.
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- Gilles Ratia
- Visiteur
Pour les plus curieux, faites donc un tour sur les Petites Annonces concernant le miel. Vous y trouverez des apiculteurs de toutes tailles qui vendent depuis un seau de miel de 20 kg jusqu'à 25 fûts de miel de 300 kg, avec toute une palette de prix. Cela vous donne la température du marché, pas celui du gros vers des négociants / conditionneurs, mais celui du particulier à particulier.
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- BenoitR
- Visiteur
On a forcement de la frustration en ayant le sentiment de "brader" à 4€ en 2018 un produit de gros qu'on écoule à 7€ en 2016.
Mais toutes les matières premières agricoles sont exposées à ces fluctuations, certaines de 1 à 10. Pour autant on a jamais vu le prix du produit fini baisser.
La filière laitière est l'exemple le plus notoire et n'attendez RIEN des Michel-Edouard et des juments de M..... : le prix rémunérateur pour le producteur n'est pas leur soucis.
Valorisez local et faites de la filière courte autant que vous pouvez !
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- max16380
- Visiteur
offre en gros a 2,90 e du kg. a ce prix faut avoir les reins solides et aimer bosser pour pas grand chose...
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- ian
- Visiteur
L'inversion de tendance actuelle fait bouger les lignes . Avec des apiculteurs qui investissent dans les pompes de mise en pot.
Un ami qui possède une supérette qui vend mon miel depuis toujours est sollicité toute les semaines par de nouveaux producteurs qui veulent poser leur production dans les rayons. Ce n'est pas très agréable a la fin , surtout quand ces apiculteurs de loisir viennent chercher des renseignements chez moi l'air de rien...
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- du luy
- Visiteur
Merci à vous
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- pinglot
- Visiteur
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