Miel de ville
- Apinoires
- Visiteur
Déjà pour l'approbation de la détention de ruches en ville, il ne faudrait pas laisser croire que ça serait à l'appréciation de chacun, comme pour posséder un chat ??
sur ce point nous sommes dans un état de droit, (code rural entre autre) éventuellement modifiable par chaque préfecture et mairie par arrêtés spécifiques, !!
Ce qui s'applique partout et même en ville !!
Si entre autre en ville: à moins de 20m d'habitations, ou à moins de 100m de lieux publics les caisses sont interdites ou doivent répondre à certaines obligations dont une palissade MINI de 2m, (+ davantage de conditions, selon certains arrêtés) ça ne doit pas correspondre ni à des ruches sur des balcons ou dans une cour d'immeuble ??
Ce qui permettrait certainement de dire que la majorité des ruches en villes seraient illégales ??..., quand à me démontrer la dextérité de ces apis-bobos en quête de sauver la planète, en ce qui concerne leur maitrise de l'élevage et donc de l'essaimage, je rejoins volontiers certaines inquiétudes ??
Et question miel, , quelques analyses remettraient les pieds sur terres à beaucoup et décevraient énormément les amateurs convaincus de récolter du tilleul, il suffit de jeter un œil dans les poubelles des kiosques de glaciers et snack divers, pour observer des abeilles agglutinées à lécher les canettes ou tous résidus de produits sucrés !!
Pour Stf, si j'arrive à te suivre pour les grandes cultures que représentent Colza et Tournesol et les Néonico qui y sont associés, je te serai reconnaissant de nous expliquer ce que tu as remarqué de similaire en ce qui concerne la lavande ?? [note de la modération : hors sujet, il faut ouvrir un nouveau thème dans F.A.Q.]
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- amiel
- Visiteur
les uns sont apiculteurs urbains , les autres apiculteurs campagnards....certains sont parfois les 2.... il ne devrait pas avoir de conflit ni meme de polemique....????????
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- ardecho
- Visiteur
amiel écrit: je ne comprend pas pourquoi des gens habitant la campagne ne veulent pas que d autres gens possèdent des ruches en ville???.....
les uns sont apiculteurs urbains , les autres apiculteurs campagnards....certains sont parfois les 2.... il ne devrait pas avoir de conflit ni meme de polemique....????????
personne n'a dit qu'il ne voulait pas que les gens des villes aient des ruches, chacun fait ce qu'il veut.
il a juste été dit qu'il y avait des risques à ne pas négliger et aussi des règles à respecter pour ne pas que le voisinage finissent avec des piqures plein la tronche !
même à la campagne, il faut faire attention, je refuse par exemple des emplacements où il y a des habitations trop proche, ou des chemins de randonnée fréquentés.
alors en ville...
quant à la qualité du miel, on est en droit d'avoir des doutes et ne pas avoir envie de manger du miel récolté à coté du périphérique...
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- amiel
- Visiteur
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- Apinoires
- Visiteur
amiel écrit: je ne comprend pas pourquoi des gens habitant la campagne ne veulent pas que d autres gens possèdent des ruches en ville???.....
les uns sont apiculteurs urbains , les autres apiculteurs campagnards....certains sont parfois les 2.... il ne devrait pas avoir de conflit ni meme de polemique....????????
Oui Amiel, ça ne me dérange pas le moins du monde, je voulais juste faire remarquer que je doute que ces ruchers citadins soient en parfaite légalité !!
Tous les ruchers doivent être déclarés et signalés au niveau sécurité, ce qui en prime est une obligation des assurances en cas de pépin et je ne pense pas que en ville ceci soit également respecté ?
Maintenant si certains sont convaincus que c'est très bien de posséder des abeilles en ville sans se plier aux exigences que ça impose: déclarations, sécurité et assurances et donc en parfaite illégalité, je ne pense pas que ça puisse rendre service, ni aux abeilles, ni à l'apiculture, ni à la population citadine, mais bien évidemment ce n'est que mon avis, mais qui me semble ne découler que du bon sens ??
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- bencha
- Visiteur
Apinoires écrit: @ bencha et stf,
Déjà pour l'approbation de la détention de ruches en ville, il ne faudrait pas laisser croire que ça serait à l'appréciation de chacun, comme pour posséder un chat ??
sur ce point nous sommes dans un état de droit, (code rural entre autre) éventuellement modifiable par chaque préfecture et mairie par arrêtés spécifiques, !!
Ce qui s'applique partout et même en ville !!
Si entre autre en ville: à moins de 20m d'habitations, ou à moins de 100m de lieux publics les caisses sont interdites ou doivent répondre à certaines obligations dont une palissade MINI de 2m, (+ davantage de conditions, selon certains arrêtés) ça ne doit pas correspondre ni à des ruches sur des balcons ou dans une cour d'immeuble ??
Ce qui permettrait certainement de dire que la majorité des ruches en villes seraient illégales ??..., quand à me démontrer la dextérité de ces apis-bobos en quête de sauver la planète, en ce qui concerne leur maitrise de l'élevage et donc de l'essaimage, je rejoins volontiers certaines inquiétudes ??
Bhé en fait l’arrêté préfectoral du 20 janvier 1961 qui décrit les règles d'installation des ruches est très permissif dans la mesure ou un simple palissade /grillage de 2 m de haut et une distance de 2 m par rapport a une fenêtre permet l'installation de ruches. Et sur ce point la ville de Marseille est très claire puisque l’arrête municipale du 18 juillet 2014 (arrété N°003/204/DGUP) annule tous les arrêté précédent en précisant que seul l’arrêté préfectoral fait effet. Donc c'est a peu prés aussi facile que d'avoir un chat si si , quoi que le chat est pénible à ses heures surtout en période de chaleur . A l'époque les services juridiques de la région PACA s'étaient penchés sur la question avant de valider l'installation du rucher au dessus du bureau du président de la région. Pour le coup Apinoir tes affirmations sont infondées.
Bon après on va pas se disputer pour une différence de point de vue qui sur le fond n'est probablement pas si différente. C'est juste le mépris de certaines interventions a propos des petits apiculteurs qui me dérange. J'ai du mal a comprendre cela, pour moi il a de la place pour tous et si les apiurbain ont envie de se faire plaisir why not ...
Gfass, je ne me sens pas concerné par l'intervention de ta question. La convention avec la région est terminée et je peux te garantir qu'aucun essaims n'a pus s’échapper des ruches dont je me suis occupé.
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- gfass
- Visiteur
"Bon après on va pas se disputer pour une différence de point de vue qui sur le fond n'est probablement pas si différente"...
C'est exactement ce que je pense et je sais parfaitement que vous ne pouvez pas nier les désagréments avancés. Loyalement, nous essaierons de suivre cette années les articles de journaux relatant les "petits" désagréments dont je parlais, je pense que la mode aidant nous aurons de la lecture. Je ne suis pas focalisé ou foncièrement contre à tout pris, tout simplement j'ai en face de moi des clients parfois exaspérés et ça me conditionne peut-être un peu je l'avoue. Je suis tombé par hasard sur cette vidéo c'était l'occasion de vérifier que les avis sont toujours aussi partagés.
Allez, comme le manque de franchise n'est pas ma qualité première, je vais t'avouer et ça va pas m'arranger, pour mon entreprise, un essaim cueilli c'est une heure facturée 37€, un essaim détruit c'est 120€. Chaque année bon an mal an, j'en ramasse une bonne vingtaine que je revends sur 5 cadres pondus 35€ à un pro, par ailleurs j'en détruit une dizaine.
N'étant pas non plus maso.... si je te dis que je ne suis pas fan, c'est juste une opinion personnelle, mais c'est pas moi qui vais signer une pétition pour interdire l'abeille en ville. .
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- amiel
- Visiteur
n est-ce pas toi, apinoires, qui disait dans un post précédent: "UN JOUR LES CITADINS VIENDRONT NOUS DONNER DES LECONS D AGRICULTURE"...n est-ce pas l inverse que tu es en train de faire???
l apiculture urbaine ne concurrencera jamais celle de nos campagnes...sa production est insignifiante...vous n avez rien à craindre ....sur Marseille il doit y avoir tout au plus une cinquantaine de ruches urbaines , ce n est pas ça qui va vous manger une part de marché...
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- Apinoires
- Visiteur
Puisque bien que du même coin, nous ne devons pas avoir le même code rural, :lol: tu nous présentera le tiens avec "ta palissade grillage" (et ta distance de 2m de la fenêtre du voisin), vu que jusqu'à présent à part les moustiquaires, un grillage n'a jamais pu dissuader les abeilles ?? ... et qu'il est plutôt précisé dans le dit code (qui nous concerne): une palissade de 2m en planches jointes, mur ou haie sèche ou vive.
Bref, on ne va pas s'éterniser, comme tu dis, chacun peut bien faire ce qui lui plait si ça le rend heureux, mais pour la cohérence de ce que j'ai écris, si tu es capable de me démontrer que tous les apis citadins sont tous en parfaite légalité, je suis prêt à te parier le contraire et en étant certain de gagner, c'est juste ce que j'ai voulu dire et absolument rien de plus !!
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- Yoann
- Visiteur
Quand aux clichés sur "les bobos et les abeilles" qui revient souvent c'est un peu lourd.
Je ne me sens pas concerné du tout mais cela dénote un manque de respect pour d'autres façons de vivre avec les abeilles.
Je rencontre pas mal de ces gens qui s'intéressent aux abeilles en ville, car je suis exploitant en zone péri urbaine et je fais des marchés en ville. Certains sont à la masse et ne font pas long feu quand ils découvrent la complexité d'une ruche. D'autres sont piqués comme nous et font ça bien.
J'encourage les seconds car les échanges sont intéressants.
Quant à la qualité du miel bon on parle sans vraiment avoir d'éléments concrets. Ce serait intéressant de comparer miel urbains et miels "sauvages". Je précise encore que je fais les deux donc sans arrière pensée.
Je trouve quand même dommage qu'il y ait toujours des gens pour diviser et isoler les pratiques.
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- bencha
- Visiteur
Gfass, j'ai la flemme de continuer à écrire mais moi si tu fais ton business comme ça ca ne me dérange pas plus que ça. Y a de la place pour tout le monde et que chacune y trouve sa place et son plaisir est à mon avis la seul chose vraiment importante.
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- gfass
- Visiteur
amiel écrit: je pense que les gens des villes connaissent les règles et le droit aussi bien que ceux des campagnes......a travers vos propos je sens plutot une anémosité ( de certains ) envers l apiculture urbaine..voir le post :"une ruche dans son jardin".....ou la meme polémique revient avec les memes personnes.......c est vraiment dommage car urbaine ou campagnarde l apiculture devrait etre la meme passion.......
Amiel a raison de nous rappeler que nous avions déjà abordé ce sujet dans "Une ruche dans son jardin".
www.apiservices.biz/fr/component/kunena/4-f-a-q-foire-aux-questions/75811-une-ruche-dans-son-jardin?limitstart=0#119930
J'ai pris plaisir à relire des échanges de points de vue différents, mais échangés dans le respect de l'opinion de l'autre même si cette dernière n'est pas partagée. Aujourd'hui rien de changé, des pour des contre comme hier et comme demain sûrement.....
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- daniel34
- Visiteur
à lire :
CONSÉCRATION JUDICIAIRE DE L’APICULTURE EN VILLE
Abeilles & Fleurs N° 726 – Avril 2011 – Actualité Infos
– Consécration judiciaire de l’apiculture en ville
Vendredi 4 février 2011, le Tribunal de grande instance de Paris s’est prononcé, pour la première fois, dans une affaire relative à l’apiculture en ville.
Au cours du printemps 2010, Monsieur et Madame D., qui ont une fillette de 8 ans, ont décidé d’installer une ruche sur le toit-terrasse de l’appartement qu’ils habitent au dernier étage d’un immeuble situé dans le Xie arrondissement de Paris, dans un but pédagogique et ludique ainsi que dans une démarche d’intérêt pour l’apiculture et de préservation de la biodiversité.
Quelque temps après l’installation de leur ruche, Monsieur et Madame D. ont été inquiétés par une action judiciaire introduite par le syndicat de copropriétaires et certains voisins de leur immeuble, qui souhaitaient obtenir du juge des référés qu’il ordonne le retrait de leur ruche sous astreinte.
La décision du tribunal du 4 février dernier est particulièrement emblématique puisqu’elle a permis pour la première fois à un juge de valider l’implantation de la ruche d’un propriétaire privé dans un environnement très urbanisé comme Paris. Afin de motiver sa décision, le tribunal a notamment relevé que la ruche de Monsieur et Madame D. était peuplée d’abeilles de race « Buck-fast® » qui sont spécifiquement adaptées à l’apiculture en ville car elles sont réputées pour leur douceur, dénuées de toute dangerosité et de toute agressivité. Le tribunal a également insisté sur la circonstance que Monsieur et Madame D. avaient pris soin de se conformer à la réglementation prescrivant les distances qui doivent être respectées entre la ruche et les voies et propriétés voisines.
Monsieur et Madame D. avaient également produit un constat d’huissier, ainsi que des attestations établissant l’absence de dangerosité de leur installation. Le Tribunal de grande instance de Paris a donné raison à ces apiculteurs urbains et il a débouté le syndicat de copropriétaires et les voisins de leur action, précisant au passage que « le caractère nuisible des abeilles n’est pas démontré puisque les abeilles sont des espèces protégées qui sont nécessaires à toute vie ».
Cette décision, particulièrement importante pour les enseignements qu’elle apporte sur les conditions d’installation d’une ruche privative dans une ville comme Paris, constitue à notre connaissance la première reconnaissance judiciaire d’une apiculture citadine en plein essor…
Grégory Parade – Avocat à la Cour, Cabinet de maître Fau[/font][/color]
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- mathieua
- Visiteur
Si la reine fraîchement achetée estampillée "Buckfast" (et dont la traçabilité réelle est bien difficile!) est douce, qu'en sera t il de sa descendance? Et qu'adviendra t il éventuellement de l'essaim voué à quitter la ruche souche?
Le juge n'aura pas été renseigné sur le sujet, on se doute de la raison.
Attention au retour de bâton, croisez les doigts pour qu'il n'y ait pas de problèmes avec vos abeilles, en ville comme à la campagne, mais la densité de population n'est pas la même cela semble un évidence.
Quand au conflit de qualité des miels, les études comparatives existent, réalisée entre 2007 et 2010 par le laboratoire ONIRIS de Nantes.
Elle a été réalisée sur 18 ruchers différents, disposés dans 4 structures paysagères différentes (Zone de culture, zone de bocage, zone urbaine et insulaire). L’aspect sanitaire des ruchers a été analysé un an auparavant, puis suivit tout au long de l’étude. Les produits phytosanitaires utilisés ont été recensés sur 3 km autour des ruchers, afin de rechercher les molécules présentes de manière efficace.
Dans chaque rucher, ont été recherchées un grand nombre de molécules, à la fois dans la cire, sur l’abeille, mais également dans le miel et le pollen.
On découvre par exemple qu’en zone urbaine et en zone insulaire, le taux de HAP (hydrocarbures, fumées diverses…) est plus présent dans le miel, ce qui vient modérer la croyance récente selon laquelle « l’abeille est plus heureuse en ville »
Sur les 18 ruchers, on retrouve plus de 1000 traitements en totalité sur les 4 zones étudiées (Culture, bocage, urbaine, insulaire). Les nombres de molécules différentes trouvées par zones sont les suivantes :
238 molécules différentes en zone de culture
208 molécules différentes en zone de bocage
177 molécules différentes en zone urbaine
27 molécules différentes en zone insulaire
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- gfass
- Visiteur
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- gfass
- Visiteur
www.lepopulaire.fr/couzeix/art-de-vivre-bien-etre/2018/03/13/les-hauts-viennois-de-plus-en-plus-tentes-par-l-apiculture-en-amateur_12768843.html
Juste une réserve ""Certains ne récoltent même pas le miel produit et dans ce cas, les ruches ne servent qu'à la pollinisation et à la survie de l'espèce"".
Mais bon ben, pourquoi pas?
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- stf
- Visiteur
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- mathieua
- Visiteur
ça contribue à préserver certaines souches que les pros ne peuvent ps se permettre de garder.
C'est une bonne chose pour la diversité génétique.
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- gfass
- Visiteur
Exact, j'avais pas réfléchi à ça, comme quoi il faut toujours tripoter sept fois son clavier avant d'écrire .:sick:
Je suppose que si ils ne récoltent pas le miel, ils ne traitent non plus, ni ne contrôle l'essaimage. Au final, si on regarde bien, c'est plus d'essaims à récupérer ou à détruire en ville, moins de vendeurs de miel, plus de souches résistantes à varroa, belle diversité génétique des souches locales etc... Tout bénef quoi?.
En définitive, on se demande pourquoi on n'encouragerait pas davantage cette apiculture là, au besoin en la subventionnant. Idée à soumettre à l'Interapi.:woohoo:
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- mathieua
- Visiteur
Il cherche des souches essaimeuses pour les installer partout en France...
Dès que j'ai une emmerdeuse je lui donne!
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- Apinoires
- Visiteur
gfass écrit: @stf et @mathieu
Exact, Je suppose que si ils ne récoltent pas le miel, ils ne traitent non plus, ni ne contrôle l'essaimage. Au final, si on regarde bien, c'est plus d'essaims à récupérer ou à détruire en ville, moins de vendeurs de miel, plus de souches résistantes à varroa, belle diversité génétique des souches locales etc... Tout bénef quoi?.
En définitive, on se demande pourquoi on n'encouragerait pas davantage cette apiculture là, au besoin en la subventionnant. Idée à soumettre à l'Interapi.:woohoo:
Heureusement que connaissant suffisamment Gfass pour son esprit, c'est à prendre au second degré !!
Sinon effectivement quel progrès dans l'anéantissement de tout ce qui aura été fait depuis plus d'un siècle ??
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- gfass
- Visiteur
Allez va! On ne va pas me reprocher ce petit trait d’humour sachant bien que pour des professionnel comme Papynoires ,du luy et d'autres, la ficelle était un peu grosse :woohoo: .
Mais, mais mais.... je me permets d’insister un peu quand même, si on se souviens de ce que j'écrivais plus avant.... plus j'ai d'essaims à collecter ou détruire en ville plus je peux voyager loin et donc ..... c'est quand même du second degré à tiroir. :whistle:
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- thierry26/07
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Ca va quand même être [strike]le bordel[/strike] la pagaille, entre ceux qui veulent des races pures,ceux qui veulent des souches essaimeuses,ceux qui ne traitent pas à coté de ceux qui veulent produire, etc etc ,bref pour moi chacun peut bien faire comme il veut tant qu'il ne m'impose pas de penser comme lui...
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- gfass
- Visiteur
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- mathieua
- Visiteur
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- th1164@gmx.com
- Visiteur
Gros bisous aux citadins !!!
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- triapiculteur
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- Visiteur
Que veux tu dire exactement . Je ne comprends pas bien entre le fait de dire que tu as 20 ruches en ville et un api qui apporte 150 ruches la nuit , est ce également en ville ? Eclaire nous .
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- gfass
- Visiteur
www.20minutes.fr/planete/2343303-20180926-strasbourg-cause-tendance-ruches-urbaines-trop-abeilles-ville
Les textes, lois, règlements, arrêtés ne vont pas tarder à paraître je pense.
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- babillou
- Visiteur
Par exemple, je serai curieux de connaitre la composition florale du miel produit par la huitaine de ruches située sur le toit du centre commercial de la Part Dieu à Lyon.
Habitué du quartier, j'achète de temps en temps un sandwich dans une boulangerie ouverte sur la voirie.
Il y a toujours plein de valeureuses pillardes en train de butiner les pâtisseries...
Dans la rue, sur les corbeilles et poubelles, ce ne sont pas des guêpes mais des abeilles.
Une boite de soda ouverte qui dépasse, des butineuses pompent vaillamment, dans l'indifférence du flot humain, le nectar urbain.
Tout cela me laisse vraiment perplexe.
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