Quels sont vos projets 2017 ?

pour rebondir sur les projets 2017 que du luy a essayé de lancer
nous cela passera par un rémérage complet de toutes les reines de 2ans en début de saison, avec achat de quelques souchesF0, d'ailleurs on veut bien les retours d'expérience,du luy m'en a déja parlé ainsi que carnica, je pense aussi stopper la miéllée de tournesol pour amener la moitiée sur bruyere et faire des EA hivernés avec intro de reine s fécondées pour l'autre moitié afin d'avoir un maximum de jeune reine pour 2018 quitte a doubler certaines ruches sur acacia si trop d'EA
donc objectif miel de crus et essayé de mieux gérer nos miniplus pendant la saison
et vous quel objectif ou projets pour 2017?

objectif 2017 = avoir un maximum de caisse donc EA avec intro reine fecondée et renouvellement de tt les reines de 2 ans et faire un max de nuclei a hiverner pour hiver 2017/2018 pour avoir de la RF début 2018 pour les 1er EA.

objectif : gagner des sous ! :lol:
projet : augmenter le cheptel au maximum pour faire du miel en quantité et pallier le manque à gagner du à mon arrèt de production de gelée-royale (trop de concurrence, trop de galère, prix trop bas... )

ardecho écrit: objectif : gagner des sous ! :lol:

Comme disait Coluche, c'est pas du travail qu'ils veulent ,mais de l'argent!!!!

Avoir des clients qui payent en temps et heure.
Pour le reste, çà dépend des muscles du cerveau et des bras.

Moi je vais élargir mes zones de transhumances à la Creuse pour la bourdaine et aux Landes pour la bruyère, probablement arrêter le tournesol également. Si vous avez des tuyaux sur les zones interessantes je suis preneur!

Matlag écrit: Moi je vais élargir mes zones de transhumances à la Creuse pour la bourdaine et aux Landes pour la bruyère, probablement arrêter le tournesol également. Si vous avez des tuyaux sur les zones interessantes je suis preneur!

oui il faut profiter de l'hiver pour trouver des emplacements chez les agris ou forestier, le tournesol donne plus rien par chez moi donc il faut trouver d'autres miellées

survivre dans ce cauchemar qu'est devenue l'apiculture

satisfaire les clients raisonnables
remplir les caisses,... toutes les caisses,
avoir trop de reines
transhumer peu mais transhumer efficace

maya730 écrit: survivre dans ce cauchemar qu'est devenue l'apiculture

j'irais pas jusque la, mais par chez moi les grandes cultures ne font quasi plus de miel, cela fait 5 ans que je ne vais plus sur colza et il en sera de meme pour tournesol, je suis dans un secteur ou il y a des forets de chataigner et prairie donc les abeilles ont un minimum a gratter, l'acacia(on transhume déja) et la bruyere(transhu a faire) assure des revenus supplémentaire, peut etre faire du pollen mais c'est pas a l'ordre du jour
certains ont encore de bonnes miéllées sur colza et tournesol, qu'ils en profitent avant d'avoir ces variétés qui ne font rien, meme la luzerne n'a quasi rien donné cette année
je vais rester avec mes 200 colos et m'en occuper le mieux que je peux et assurer le train de vie familliale
la vente d'essaim ou de reines fécondées peut etre une alternative intéressante, plus les reines a mon avis pour ceux qui assurent bien les fécondations et feront des reines de qualité, car les reines se fatiguent de plus en plus vite, donc le marché va grossir niveau demande
le sujet est intéressant et permet de réfléchir sur quoi rebondir pour la saison 2017

espérer vendre l'exploitation si 2017 démarre comme 2016 (trop de stress et trop de boulot pour un homo sapiens lambda).

çà respire pas l'optimisme tout çà.......... vous m'inquiétez les amis !!!

J aimerai avoir votre avis
je me pose la question d une installation en pro mais je ne vois personne d optimiste

Salut Ptijames, pas sûr que tu trouves beaucoup d'encouragements à passer pro en réponse à ton mail... Certains ont du mal à rester positif et c'est compréhensible, pour ma part j'aime faire ce que je fais et je compte bien persévérer malgré de gros coups durs qui m'ont fait tout remettre en question à plusieurs reprise. J'arrive tout de même à en faire vivre modestement ma petite famille, c'est deja pas mal

salut ptijames
A mon avis .. si tu n as rien au depart ... evite !!!
j ai un exemple d installation d un jeune qui est arrivé de Paris ; il y a 2 ou 3 ans ; Installation avec , je crois , 250 ruches ... il est a la rue .! tous son matos vendu , ;.... il y a laissé ses quelques economies , ....
Je pense que l ideal est d avoir un boulot salarié ... ( 35 h ca laisse du temps !!) et d avancer petit a petit en voyant les resultats ...Bien sur ca fait beaucoup de travail .... et les congés sont passés au rucher !!!
Au bout de quelques années et surtout au vu des resultats ; alors on peut alors envisager une installation en pro !
Mais y aller bille en tete sans rien ou tres peu au depart .. c est tres tres difficile . Il y a les risques d une mauvaise recolte ( mortalité , mauvaise année , vol , erreur personnelle , ... ) donc pas de revenu pour rembourser les credits , payer les cotisations , les assurances ...et rien pour vivre !!!
Avec du materiel amorti depuis des années , sans aucun credit , sans aucun investissement recent .. j arrive a " survivre " en tant que cotisant solidaire !!
bon courage !

Vu que pour moi, c'est à la fois un loisir , une passion et un plaisir; je ne cherche pas à augmenter mon cheptel ça me suffit sinon cela deviendrait peut-être une surcharge donc une corvée. Toutefois j'espère améliorer la qualité et la gestion de mes essaims .J'envisage aussi de transhumer quelques ruches sur une allée de tilleul dans un parc de chateau

@ ptijames :
je suis 100% d'accord avec Cerise, ne te jette pas à l'eau d'un coup, vas-y progressivement...
ça devient de plus en plus dur, ne serait-ce que pour avoir un cheptel avec de nombreuses ruches productives. récolter en quantité c'est encore une autre paire de manche !
perso si ma femme n'avait pas un emploi salarié j'aurais déjà mis la clé sous la porte, impossible ces dernières années de dégager un revenus suffisant pour une famille avec enfants et une maison à payer
et surtout attention à l'endroit où tu souhaites t'installer !
grandes cultures ? vignobles ? pesticides ? flore mellifère ? climat ? clientèle potentielle pour vente directe ?
si tu dois t'endetter pour créer ton exploitation et que ta région n'est pas favorable (longues transhumances obligatoires, risque d'intox pesticides...) oublie ou déménage
je ne cherche pas à te décourager mais à t'éviter des déboires... moi aussi je connais plusieurs apis qui se sont installés et qui ont fait faillite avec pertes et fracas malgré beaucoup de boulot et de motivation

@ ptijames
Malgré une année 2016 pénible, épuisante et pas bonne, je continu mon développement d'exploitation petit a petit, 2009 2 ruches, 2012 150 2014 250, 2016 500 puis hivernage de 900.
L'apiculture pro c'est pas les vacances et peu vite se transformer en esclavage avec une année comme 2016. Mais je ne regrette absolument rien et je suis très optimiste. Après a chacun de voir ce qu'il veux mais c'est possible, tout en sachant qui voudra bosser durement en pas au 35 h bien entendu.

(aucun endettement et pas rentable avant 2014 de 2009 a 2014 tout a servis au développement ...)

Bonjour à tous,

Quel optimisme!!! Je ne suis qu'amatrice et envisage d'ici un an ou deux de passer pro. A la lecture de vos messages ça peut laisser un gros doute.
Consciente que cette année est catastrophique, les problèmes sanitaires, les pesticides...Mais à la base n'êtes vous pas des passionnés de la nature et des abeilles? Je sais que nous avons nos familles à faire vivre...
Je veux croire en l'avenir...et la nature, les abeilles et nos enfants ont besoin de VOUS, de nous (pas encore assez de ruches )
Ne faut-il pas continuer à mener ces combats , pour que nos enfants puissent continuer à manger des fruits et des légumes et qu'ils connaissent le gout du vrai miel.
Je suis peut être une utopiste!!! Mais je veux encore y croire...Vous faites tous un magnifique métier, hélas peu le reconnaissent. Courage les amis...

A méditer...

Une admiratrice de votre métier :whistle:

le mieux avant de se lancer , c'est d'aller travailler chez plusieurs pros pour voir les differentes techniques de travail et taille de cheptel
l'avantage d'etre a son compte c'est que tu peux faire des heures supp, a vous de les valoriser et de pas en faire pour soritr le tete de l'eau malheureusement
l'hiver reste une période plus calme ou l'on prepare la futur saison mais aussi ou l'on a du temps pour faire autre chose, par exemple, je viens de faire un agrandissement un préau de 40m2, c'est pas énorme mais ça me permet d'avoir plus de place pour retaper mes pompes a essences, qui vont m'assurer quelques dollards en plus pour l'hiver ,bon meme si c'est surtout pour m'occuper
l'implantation dans un site a miel de crus et pour moi une sécurité financiere pour l'exploitation, au début il faut demander les aides pour pallier les mauvaises années, meme si c'est pas une solution a long terme cela reste une roue de secours, au moins pour pas manger la boutique, le probleme de l'apiculture reste pour moi le manque de vision a court et moyen terme(mortalité, petite miéllée, météo, etc)
mais cela reste un bon job, plus tranquille que la plupart des métiers du batiment, et je prefere avoir les mains qui sentent la cire ou le miel plutot que le camboui ou l'essence , enfin surtout ma femme :lol:
l'investissement n'est pas si élevé pour monter une entreprise par rapport a d'autres secteurs
Apres moi je trouve qu'il commence a y avoir beaucoup de concurrence, donc soi il faut vite que certains partent en retraite ou que pas trop s'installent, car si l'offre depasse la demande, les prix s'écroulent et la rentabilité de nos entreprises avec, c'est a prendre en compte, produire c'est bien mais vendre au bon prix c'est essentiel
Afin de ne pas finir comme les collegues agris a qui les banques conseillent de semer le moins possible pour pas perdre d'argent :blink: :silly:
vous verrez il y aura des terres en jacheres en 2017, enfin par chez moi en tous cas
pour l'apiculture l'objectif étant de limiter les pertes , et avoir de jeunes colonies productives , tout en travaillant de sorte que les colos est une bonne hygiene générale

+1 avec morgan, bosser quelques saisons avec un pro ou plusieurs et si possible un pro qui a un cheptel identique en nombre de ruches à celui que l'on envisage d'avoir. perso encore améliorer la sélection, faire une transhumance de moins et arriver à supprimer à 100% les ruches qui avancent pas, je me dis ça chaque année et quand je fais le bilan je m'aperçois que je passe encore du temps avec des colonies qui piétinent. Faire plus de miel avec moins de ruches :silly:

anne44 écrit: Bonjour à tous,

Quel optimisme!!! Je ne suis qu'amatrice et envisage d'ici un an ou deux de passer pro. A la lecture de vos messages ça peut laisser un gros doute.
Consciente que cette année est catastrophique, les problèmes sanitaires, les pesticides...Mais à la base n'êtes vous pas des passionnés de la nature et des abeilles? Je sais que nous avons nos familles à faire vivre...
Je veux croire en l'avenir...et la nature, les abeilles et nos enfants ont besoin de VOUS, de nous (pas encore assez de ruches )
Ne faut-il pas continuer à mener ces combats , pour que nos enfants puissent continuer à manger des fruits et des légumes et qu'ils connaissent le gout du vrai miel.
Je suis peut être une utopiste!!! Mais je veux encore y croire...Vous faites tous un magnifique métier, hélas peu le reconnaissent. Courage les amis...

A méditer...

Une admiratrice de votre métier :whistle:

merci pour tes encouragements.
tu sais je partage ton avis sur la passion et l'avenir de nos enfants. morgan a raison aussi quand il dit qu'il y a pire comme boulot.
en fait, je trouve que le moral est très variable d'un moment à l'autre. quand tu revient des ruches et que tu as trouvé des hausses vides ou des colo crevardes du vois
tout en noir... à l'inverse, une seule bonne récolte et c'est repartit mon kiki !
moi globalement ce qui me fait péter les plombs c'est que chaque année on est déçu et on mise sur la saison suivante, et la suivante est pareille voire pire...
et surtout, je trouve que les problèmes de reines, de fécondité, etc... empire sans arrêt. et on ne comprend pas pourquoi certaines ruches cartonnent quand leurs voisines
font du sur place. je ne trouve plus la logique que je trouvais à mes débuts.

Faire des essaims nus sur la plupart des ruches au printemps et laisser élever la souche (ou mettre des cellules de 3 jours pour les moins belles). Cette année j'ai eu trop de perte et de galères avec mes nucleis et les cellules/reines qui se faisaient massacrer (c'est de l'hybride plutôt noire). J'espère ainsi réduire les dépenses de reines et cellules tout en augmentant mon cheptel....Et passer moins de temps a chercher commander aller acheter introduire contrôler des cellules...puis vider des nucléis sans reines. Je pensais investir dans un fourgon pour mes transhumances mais finalement la location pour 3 nuits me coutera moins cher que l'assurance pour une année.

J'entrevois une solution: le suicide collectif.
Qui vent bien se charger de l'organisation?
Une autre question plus positive : est ce parce que les choses sont difficiles qu'il faut renoncer?
Et encore une autre : croyez vous que toutes les autres activités ne comportent pas leurs propres difficultés? sont elles moindres que les nôtres?
Il y a sur ce forum des personnes naturellement pessimistes, on ne peut pas leur en vouloir, il en est ainsi ; sachez quand même ceci et enfoncez vous le bien dans la tête comme disait la réclame:
ceux qui vont bien ne disent rien.
Alors oui, ce métier n'est pas fait pour tout un chacun Je ne vais pas énumérer le nombre de qualités necessaires à son accomplissement pour ne pas que les chevilles commencent à gonfler.
Il est téméraire de dire: je vais devenir apiculteur (trice) parce que je crois que ça va me plaire.
A mes yeux, il faut dix ans pour savoir que l'on va pouvoir en vivre, c'est à dire le temps d'avoir la compétence technique et d'avoir fait les investissements appropriés (du moins en partie).
La question serait : comment fait on pour gérer cette période qui est la plus compliquée et pendant laquelle l'entreprise est la plus fragile
.Je crois que pour avoir une chance de réussite, il est plus qu'utile de pouvoir s'appuyer sur un collègue parce que lorsqu'on est seul, personne n'est là pour dire ; tu vas te planter en procédant ainsi.
D'où la difficulté de trouver la bonne personne.
Sinon, pour ceux qui n'envisagent pas de mettre un terme à leur vie, il reste à faire l'analyse de ce qui n'a pas fonctionné et de savoir si on en est responsable ou pas.
Il arrive que l'on se dévalorise alors qu'on n'y est pour rien. 2016 est un bon exemple ; hiver radieux (enfin pas d'hiver du tout) printemps assez pourri puis robinet fermé, à l'an prochain.
Ce joyeux désordre à eu pour conséquence des colonies en permanence sur le fil du rasoir avec des trous dans les générations d'abeilles qui n'ont pas pu tirer partie des miellées lorsqu'elles se sont présentées; en prime de mauvaises fécondations dont on pourra encore voir les effets au printemps prochain.
C'est la météo, le temps qu'il fait, ce temps qui peut réduire à néant tous nos efforts, faire que le travail accompli ne sera pas rémunéré.
Et là, deux situations, soit l'entreprise est déjà solide et on courbe le dos en attendant, soit on s'enfonce ou on coule, d'où le découragement de certains d'entre vous que je comprends parfaitement malgré ce que j'ai écrit plus haut pour vous faire réagir.
Ceux qui ont réussi dans ce métier on tous connu à un moment ou autre des périodes similaires.
Ceux qui savent disent que le climat change, et nous le disent tous les jours; je le crois parce que j'ai un peu de bouteille et que je vis la nature; mais c'est en tant qu'apiculteur que je me pose des questions.
Les cinq dernières années (apicoles) préfigurent elles ce qui nous attend ou bien s'agit t'il simplement d'un mauvais cycle pour nos abeilles à l'intérieur de quelque chose de tout a fait habituel.
J'ai refait l'examen des toutes mes notes accumulées depuis 80 avec les résultats annuels bien sûr et j'ai des difficultés à trouver sur cinq ans des années aussi compliquées.
Comme j'aime les choses simples et pour terminer sur un peu d'espoir, je me dis que tous les cycles ont une fin.
Faites quand même des projets pour 2017, la vie continue, ami amateur cajole bien ta ruche, nous avons tous besoin de vous.

Mon projet pour 2017....
Réduire mon cheptel à une dimension qui soit compatible avec mon envie de rester dans le créneau "apiculture de loisir".
Quand on commence avec une ruche, que l'on suit les bons conseils distillés sur ce forum, on a vite fait de se retrouver à la tête d'un rucher qui ne correspond plus à ce que l'on voulait faire.
Comme en plus cette année a été l'année de la décennie (mais ça je l'ai déjà dit), j'ai assez de miel pour tenir une dizaine d'années de disette..... donc pour moi ce sera ...... machines arrières toutes :woohoo: .

oui faut y croire! et l'ideal quand on debute c de pas mettre tous les oeufs dans le meme panier. c a dire garder un job a coté qui rentre de la monnaie en attendant de pouvoir vivre uniquement de l'apiculture. ce qui n'est pas une mince affaire, on subit les aleas de la meteo comme les agris donc des fois c bon et des fois c moin bon.
apres y'a tous l'hiver pour sois bosser en interim ou vendre son miel, autant dire que si vos vente de miel sont en dessous de 1500 euros , il faut mieux bosser ailleur.
perso c ce que je fais je bosse dans le millieu du bois et en + je gere mes caisses. ca permet d'avoir un mini qui rentre, plutot que de passer mon temps sur les marchés ou la concurrence de collegues qu'on a initier a l'apiculture sois disant amateur sont passer semi-pro et qui du coup bah au lieu d'etre 2 par marché a vendre du miel, les gars sont minimum 4/+5 aujourd'huis. donc moi j'ai laisser tomber et je vend que des futs. bref au rythme ou les gars se lance la dedans dans 2/3 ans le miel va passer a 2/3 euros du kg comme avant et la qui gagnera de l'argent que les gents qui font de l'apiculture de loisir qui ont 20 a 50 caisses et qui auront un job a coté et qui vendront tous au black. et nous en déclarer bah va falloir serrer les fesses. bref l'avenir de l'apiculture pro, y'a juste le temps qui va le dire mais faire des gros investissement la dedans avec emprunts , franchement faut etre completement ouf ou tres tres optimiste. ps : je rappel pour info qu'un rucher ecole a coté de chez moi a perdu 150 caisses l'hiver dernier et avez meme plus 1 ruche avec zazas pour debuter 2016 donc oui ca c la realité et perso je la souhaite a personne mais en general ta 30 a 50 % de pertes et coyer moi des larmes lors de c année pourrie et bah ten fais couler + que de l'encre. moi je suis de ceux qui reste optimiste quand meme c pourca que je continu mais on verra en avril 2017 l'etat des caisses???? en esperant que y'es pas trop de casse et qu'uon fasse un max d'EA et de fric surtous.

@ cdsjo: merci pour ce petit moment d'hilarité! Et au passage tu exprimes ce que je pense bien mieux que je ne saurais le faire, bien que je n'ai pas une expérience aussi longue que la tienne je partage totalement ton avis. @ Ardecho: faut bien avouer que j'ai le même sentiment que toi, chaque année je remets en question des connaissances que je croyais acquises... Après pour ce qui est des années pourries qui se succèdent, dans cette moitié de décennie médiocre j'ai quand même eu deux années très bonnes: 2011 et 2015... @Anne44: Merci de raviver notre flamme! Haut les coeurs les apis!

Oui ma question était très évasive, c est vrai.donc d abord je me présente James j ai 49 ans et je fait de l apiculture depuis 9 ans (depuis ma 1ere ruche),j habite dans le centre de la France.
l année dernière j avais 60 ruches,cette année 40.
je travaille dans une usine en 3x8 depuis 25 ans et depuis 1 ans 1/2 c est 48 heures par semaine autant dire la misère,donc fatiguant usant,l apiculture m as apporter une bouffée d air je m y ressources.
J aimerai pouvoir travailler avec un pro pour qu il me suive mais si vous en trouvez un qui accepte dite le moi et croyez moi j ai essayer et je me suis fait gentiment mais qu en même dégager.
J ai voulu apprendre l élevage avec un pro même chose.
Ce qui manque dans ce métier c est l entraide.Je suis même a la recherche de 2,3 apiculteurs de ma région ou pas pour échanger,discuter et si cela est faisable se donner des coup de mains,je pense entre autre a un rucher commun pour essayer de sortir une abeille qui répondrait a des critères de sélection.Pour moi ,mais pas que dans l apiculture et dans un avenir très proche il n y aura que le travail en équipe qui payera.Donc je suis preneur de toute idées.

Bonjour à tous,

Je penses que nous avons pas tous les mêmes attentes et les mêmes envies, mais je souhaites que tout le monde garde espoir et travaille ensemble pour une apiculture meilleure.

De mon côté, je veux continuer à enrichir mes connaissances et à développer ma petite armée.

Bonne journée à tous.

ptijames écrit: Oui ma question était très évasive, c est vrai.donc d abord je me présente James j ai 49 ans et je fait de l apiculture depuis 9 ans (depuis ma 1ere ruche),j habite dans le centre de la France.
l année dernière j avais 60 ruches,cette année 40.
je travaille dans une usine en 3x8 depuis 25 ans et depuis 1 ans 1/2 c est 48 heures par semaine autant dire la misère,donc fatiguant usant,l apiculture m as apporter une bouffée d air je m y ressources.
J aimerai pouvoir travailler avec un pro pour qu il me suive mais si vous en trouvez un qui accepte dite le moi et croyez moi j ai essayer et je me suis fait gentiment mais qu en même dégager.
J ai voulu apprendre l élevage avec un pro même chose.
Ce qui manque dans ce métier c est l entraide.Je suis même a la recherche de 2,3 apiculteurs de ma région ou pas pour échanger,discuter et si cela est faisable se donner des coup de mains,je pense entre autre a un rucher commun pour essayer de sortir une abeille qui répondrait a des critères de sélection.Pour moi ,mais pas que dans l apiculture et dans un avenir très proche il n y aura que le travail en équipe qui payera.Donc je suis preneur de toute idées.

Essaye des stages anercea, peut etre le woofing sur 2 semaines si tu as le temps