Quels sont vos projets 2017 ?
- cdsjo
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Je suis obligé de m'appuyer sur mon parcours qui n'est pas un exemple mais peut être une solution.
Pour apprendre les fondamentaux du métier et quelques tours de main, la case à cocher c'est le rapport humain.
Seul pendant plusieurs années dans la conduite cahin caha de quelques dizaines de ruches, je me suis approché et ai sympathisé avec un professionnel.
Je ne lui ai rien demandé parce que je n'attendais rien, simplement le contact des abeilles. J'ai donc passé des nuits à transhumer ses ruches, à les récolter, bénévolement, sans arrière pensée.
J'ai appris ce qu'il fallait faire et ce qu'il ne fallait pas. Notre cheptel à grandi et à chaque question ou difficulté, il était là pour m'apporter une solution.
Il m'a dit que c'était possible, qu'on pouvait en vivre et il en a été ainsi.
Maintenant, je pense que sans affinité, il y a trés peu d'api professionnels pour se faire chaperonner.; pour de bonnes ou moins bonnes raison en voici quelques unes.
Une majorité d'entre nous sont très, très individualistes, ils n'ont pas le temps, savoir et faire savoir sont des choses différentes, il y a eu part de jalousie ou de suspicion, il faut savoir que les acquis sont longs à obtenir, certains ont peur que l'apprenti vienne s'installer à proximité et concurrencer les emplacements ce qui est souvent le cas.
En gros, le refus de partager ce qui a été obtenu le plus souvent difficilement, on en pense ce qu'on en pense mais c'est comme ça.
La seule possibilité à mon avis est d'établir une relation humaine préalable pour qu'un professionnel vous fasse partager son savoir, il y a bien sûr des gens accessibles mais c'est une petite minorité.
Reste que l'acquisition de fondamentaux et de quelques réponses à des situations particulières ne peut se faire sans tuteur sauf à mettre vingt ans pour s'installer et disposer de revenus par ailleurs, tout autre cas de figure, à mon avis, est voué à l'échec.
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- maya79
- Visiteur
-acheter une miéllerie digne de ce nom
-faire de l'élevage plus sérieusement
-faire de nouvelle transhumance
-preparer des partitions isolantes HP pour réduire les colonies
-finir batiment de stokage
-....
et puis vendre le miel de 2016 a un bon prix
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- stf
- Visiteur
Une majorité d'entre nous sont très, très individualistes, ils n'ont pas le temps, savoir et faire savoir sont des choses différentes, il y a eu part de jalousie ou de suspicion, il faut savoir que les acquis sont longs à obtenir, certains ont peur que l'apprenti vienne s'installer à proximité et concurrencer les emplacements ce qui est souvent le cas.
En gros, le refus de partager ce qui a été obtenu le plus souvent difficilement, on en pense ce qu'on en pense mais c'est comme ça.
La seule possibilité à mon avis est d'établir une relation humaine préalable pour qu'un professionnel vous fasse partager son savoir, il y a bien sûr des gens accessibles mais c'est une petite minorité.
c'est vrai que l'on a rien a envier au monde agricole.. ego peur de perde un part du gateau ect,,, le monde apicole n'est pas aussi joli que ce que l'on peu esperer
le plus simple c'est de trouver un vieux api en fin de carriere...
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- Damien05
- Visiteur
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- ardecho
- Visiteur
par contre, j'ai mis du temps à le trouver et il était à 1h30 de route de chez moi. mais bon ça valait le coup (en plus j'ai épousé sa fille :oops: )
il avait lui -même appris le métier chez un ancien à qui il a ensuite racheté le cheptel (250 caisses). cet ancien qui avait toujours gardé un petit boulot salarié à temps partiel à coté, lui avait toujours conseillé de faire de même et de ne pas dépendre financièrement que de l'apiculture. pourtant, il n'a pas écouté le conseil et a fini par ne faire que
de l'apiculture mais après 12 ans de pratique, le temps de rembourser les investissement et d'acquérir assez de pratique...
moi je suis passé pro 10 ans après avoir débuté et si c'était à refaire je ne le referais pas :S
ça fait 3 ou 4 ans que j'ai comme projet de trouver une autre activité parallèle qui me permette de rentrer de l'argent lors des années de vaches maigres mais je n'ai toujours pas trouvé
le problème c'est que mes gouts et mes compétences me poussent vers des activités agricoles... qui sont elles aussi peu rentables et soumises aux aléas de la nature.
:huh: ...
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