ITSAP (Institut Technique et Scientifique de l'Abeille et de la Pollinisation)
- ardecho
- Visiteur
puyloubier écrit: MDR, et aprés il ne faut surtout pas etre provocateur??
Mais tu as raison on ne m'a pas tout expliqué et si tu savais les choses qu'on nous cache!
Mais Gfass et Ardecho vont surement nous expliquer ce que apparemment nous n'avons pas compris, a moins que bien sur, n'ayant rien a dire ils se lâchent.
On ne vous dis pas tout, si vous saviez!
En fait l'ITSAP a été mis en place par le gouvernement pour endormir les apiculteurs, leur donner un os a ronger et pendant ce temps là la FNSEA et Monsanto continu a profiter des gentils couillons qui survivent en assurant la polinisation des semences avides de pesticides tueuses d'abeilles. L’étude sur le vol de non retour a la ruche n'est qu'un leur de plus, d'ailleurs vue le temps qu'il faut pour faire valider les résultats et les prendre en compte dans la réglementation!!!
Vous avez surement raison retournons a nos abeilles indigénes et vendons notre petite production issue de nos ruches traitée aux feuilles de rhubarbes aux gentils couillons de touristes.
Aller, continuez bien a semer le doute et la zizanie, ça vous va bien.
t'as raison Ardecho c'est amusant de foutre le bordel, je m'y suis aussi amusé dans ce forum, mais a d'autre fin
Celle de comprendre ce qui anime les détracteur et les faiseurs de bonne aventure.
Allez ca dérape mais là c'est pas de mon fait!!
Vous voyez quand on veut tuer un sujet c'est pas dur de foutre le bordel.
Alors si vous avez des informations, des suggestions, des exemples, bref quelques chose d'intelligent a dire, vous êtes bienvenus, si non passez votre chemin.
bon alors déjà :
1- je dis ce que je veux (tant que je n'insulte personne bien sur...)
2- je ne veux pas tuer le sujet (pas besoin de moi pour ça), je dis juste que ce sujet me rappel le genre de débat sans fin où ceux qui sont dans un parti, une organisation quelconque,
disent aux autres "au lieu de critiquer, agissez, venez avec nous travailler" et ceux qui ne participent pas disent "ben non car votre truc est une usine à gaz et j'ai autre chose à faire"
ça marche pareil avec la gestion de toutes chose publique, pas seulement avec l'apiculture, c'est tout ce que je voulais dire.
pour les suggestions, je pense que notre problème vient des pesticides, du réchauffement climatique et du commerce international, donc la réponse doit venir du plus haut niveau politique.
et pour finir oui je bosse sur des abeilles indigènes et je vend ma modeste production aux touristes et ça me va très bien parce que c'est ça que j'ai choisi !
maintenant je te prierai de me parler poliment STP
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
Et évidement dans toute démocratie si tu t'exprime pas en votant ou en élisant un représentant, alors tu n'a pas de voix.
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- du luy
- Visiteur
J'ai bien peur que tu minimises la capacité du forum a instruire les apis . Si un jour , tu as le temps , relis tous les sujets , tu vas découvrir des gens merveilleux , qui n'ont jamais compté leur temps empreints de délicatesse pour répondre aux questions posées . Tu en fais partie maintenant et si toutefois tu sens la pression monter , ne rajoute rien qui puisse l'accélérer , ce n'est pas facile , mais ce sera pour toi un bon apprentissage dans la connaissance des techniques d'échanges .
N'échange que sur le structurel de l'Itsap et ne te laisse pas embarquer dans des états d'ames !
Tu es le seul de l'Itsap à communiquer , nous t'en remercions , méme si tu as l'impression d'étre une cible .
Si pour certains d'entre nous cet institut nous rappelle du vécu désagréable , il ne faut pas penser que suite à plusieurs échecs , cette structure ira obligatoirement dans le mur .
Vous étes jeunes , c'est à vous d'organiser votre vie de pros ou non pros .
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
j'ai pris l'exemple du frelon car il est d'actualité: mais toi non plus tu ne dis pas tout, les premiers a s'etre intéressé au frelon ont été les gens de l'ADA aquitaine, et depuis le recrutement d'une personne Ad Hoq a l'itsap, les choses ont avancé et c'est ce que je décris pour ce qui est de la recherche de l'appat.
Et oui la description de la structuration d'une filiére en passant par cet exemple permet de bien comprendre le rôle de chacun, mon propos n'était pas d'étre exhaustif sur le sujet du frelon mais de choisir un exemple ou tout les acteurs étaient présent et ont tenu le rôle qui leur appartient; Alors si on veut etre juste effectivement on peut reprocher aux uns et aux autres tel ou tel dysfonctionnement, comme par exemple aux revues de n'avoir jamais relayé le boulot fait par l'ITSAP (mais ce n'est qu'un exemple)
Pour ce qui est du rôle de l'Etat tu te trompe la destruction des nids leur incombe bien car c'est une espéce dangereuse, alors dans les faits un nids en pleine nature n'est pas détruit, la seule présence d'habitation ou humaine permanente a proximité oblige les services de l'Etat a intervenir pour la sécurisation des personnes.
Donc Gfass si tu as quelque chose a dire tu le dis et tu l'explique mais tu ne dis pas: Si vous saviez on ne vous dis pas tout etc etc.
Cela s'appelle jeter la suspicion ou discréditer sans preuve.
C'est pourquoi je dis et répète " Alors si vous avez des informations, des suggestions, des exemples, bref quelques chose d'intelligent a dire, vous êtes bienvenus, si non passez votre chemin."
Car c'est bien le fond, soit on donne des informations ou on corrige celles émises,soit on sème le doute le discrédit, la suspicion, bref on fout le bordel.
Alors c'est comme on veut, soit on fait un poste intelligent et on débat sur l’intérêt de l'ITSAP et les moyens d'arriver a ce que l'on veut, soit on intervient pas. Je suis désolé Ardecho tes réactions sont puériles (et ce n'est pas une insulte de le dire) en ce sens ou tu refuse et tu déforme la réalité: Non les solutions ne viendrons pas d'en haut car non les problèmes de l'apiculture ne sont pas que pesticides et réchauffement climatique, et en ce qui concerne le second, il nous faudra bien trouver nous producteur des solutions car on s'inscrit sur le long terme qu'elles que soit les décisions prises même au plus haut niveau.
Donc c'est trop facile de discréditer en disant (je te résume): De toute façon on n'a pas le pouvoir a quoi bon, et encore une foi de simplifier les chose en focalisant sur les seules pesticides
et encore une foi le lieu de l'ITSAP n'est pas de faire de la politique mais d'étudier, comprendre et proposer les solutions qu'elles que soit les causes.
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- gfass
- Visiteur
Il me semblait avoir donné des éléments de réponses concrets qui peuvent être vérifiés par toute personne intéressée par la problématique. J'essayais de croire que tu avais effectivement des informations à nous transmettre mais quand j'ai lu ça " Pour ce qui est du rôle de l'Etat tu te trompe la destruction des nids leur incombe bien car c'est une espéce dangereuse, alors dans les faits un nids en pleine nature n'est pas détruit, la seule présence d'habitation ou humaine permanente a proximité oblige les services de l'Etat a intervenir pour la sécurisation des personnes.".
Je me suis dit ok!, on n'est pas sur la même longueur d'onde, il y a une grande différence entre un fait et une idée (si louable soit-elle).
Je vais donc me retirer de ce débat (dans lequel j'en conviens je n'ai rien à faire) non sans te demander de bien vouloir entendre le conseil de modération que te donne plus avant mon ami du luy de façon à dépassionner les échanges qui frisent la limite des règles que nous nous sommes engagés à suivre.... apiculture.com/fr/forum/regles-du-forum .
Je serais un peu peiné de voir ce sujet verrouillé pour cause de dérapage.
Merci à toi
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- du luy
- Visiteur
Pour une méme somme , 2 millions x 4 ans , n'eut il pas mieux valu financer davantage les adas . Les structures éxistaient déjà , les apis étaient intérréssés , il ne restait plus que le financement à trouver ( état , apis , mécènes ou autres diffuseurs papier ) . Des poles de recherche auraient pu etre attribués à chacune et les résultats diffusés aux apis comme le font l'anercea et la fnosad .
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- ardecho
- Visiteur
consommer bio et avoir un mode de vie plus écologique.
tu peux dire le contraire mais moi des ruches dans un coin de montagne pas trop pollué et avec une météo clémente ça fait du miel et les abeilles se portent bien.
le problème est global et dépasse de loin le petit monde de l'apiculture, c'est tout ce que je voulais dire...
maintenant l'Itsap c'est très bien moi je n'ai rien contre.
je dit juste que ce type de débat me rappel le débat sur la démocratie, je n'ai jamais dit qu'il ne fallait pas s'engager.
mais je pense qu'on peut agir de 1000 façons.
qu'est ce que tu veux que je fasse à l'Itsap, je n'ai rien à apporter si ce n'est l'avis d'un petit apiculteur parmi tant d'autres.
les protocoles scientifiques et les questions de financement etc ça me dépasse de très loin.
bon aller, je vous laisse à vos débats de grandes personnes matures
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- Gilles Ratia
- Visiteur
1. Ce sujet échauffe les esprits. Beaucoup plus qu'un point de vue différent entre amateurs et pros (quoique...), l'incompréhension des uns envers les autres vient, non pas de leurs statuts, mais de leur volonté :
- soit d'être solidaires, (avec les collègues, les instances, les syndicats, les instituts, les scientifiques, voire même l'administration) c-à-d. une minorité d'individus ;
- soit d'être indépendants (je pratique à MA façon, je me débrouille, je n'ai pas d'argent à donner à des entités inconnues que je ne peut contrôler car je ne m'engage pas) c-à-d. une majorité des personnes qui peuplent le P.A.F (Paysage Apicole Français).
Une partie de ce brave peuple se retrouve sur ce Forum. Beaucoup seulement en tant que lecteurs et une minorité en tant que rédacteurs d'où, au regard de ce qui vient d'être écrit plus haut, l'ambiance "chaude" parfois (merci aux modérateurs pour les évitements de dérapage). A propos du Forum si vous vous amusez à parcourir l'historique des messages, vous devez convenir qu'il n'est pas simplement dédié/animé aux amateurs. Beaucoup de pros (alors qu'ils sont fort occupés dans leurs ruchers) ont pris la peine, et la prenne encore, de répondre à de nombreux questionnements. Ce Forum est simplement un reflet du P.A.F. Par rappel il est dédié aux questions techniques pas aux querelles de chapelles.
2. Dans de nombreux messages de ce sujet il est écrit que l'ITSAP ne communique pas. Faux, ce sont les revues syndicales que ne relaient pas ou si peu ce que l'on trouve sur les site Internet propre à L'ITSAP. Tiens l'ITSAP possède un site ? Hé oui ! Si vous allez sur la page d'accueil d'Apiservices, regardez à la catégorie "Organisations". Je vous mâche le travail, voici le lien direct : ITSAP . Donc un conseil, si vous voulez continuer à intervenir sur le sujet, faites-y plus qu'un tour, lisez tout et revenez par ici
3. Le sujet est intéressant, je ne le verrouillerai pas, soyez rassurés. Par contre soyez aussi rassurés que je supprimerai tous les messages qui dérapent. Revoir les règles de ce Forum. Par avance merci pour votre compréhension et collaboration constructive (pas de "demolition men" ici !).
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- du luy
- Visiteur
Les adas semblent assez representatives des besoins des apis . Des centaines d'apis y cotisent directement ou indirectement ( par leur gdsa qui y adhére ) .
Pourquoi des structures qui fonctionnent bien comme l'anercea ou le gpgr , ne pourraient pas servir de modéle à d'autres structures qui , elles , seraient missionnées pour chercher les produits phytos dans les miels , cires , pollen , pour chercher des produits acaricides , pour chercher des techniques de lutte contre le frelon . . Je pense que beaucoup d'apis aimeraient avoir l'avis de labos européens qui pourraient faire ce travail .
Tout compte fait plutot que d'obliger les apis à adhérer à ceci ou cela , ne vaudrait-il pas mieux connaitre leurs besoins immédiats , pour survivre . Je pense que beaucoup d'apis seraient préts à financer ce type de structure comme ils le font pour les deux ci-dessus citées .
Pour l'Itsap , je pense qu'il y a beaucoup trop de monde dans cette structure et que des non apis n'ont rien à y faire sauf bloquer des sujets de recherches qui pourraient etre dangereux pour leur boutique .
Qui consulte les apis en France aujourd'hui pour savoir , comment nous pourions sauver les exploitations ou si définitivement notre pays n'a plus besoin d'abeilles !
Et enfin , pourquoi les adas ne publient pas plus dans leur région quitte a faire entrer de nouveaux cotisants intérréssées pas les objectifs de celles ci ?.
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- cdsjo
- Visiteur
A du luy: oui mais les adas sont des structures régionales reposant sur le bénévolat local, ce qui fait que certaines se sont très bien développées et d'autres non alors qu'un institut fonctionne au niveau national avec d'autres règles.
Les instituts sont représentatifs de toute une filière et il ne sera pas fait d'exception pour l'apiculture, gardiens d'abeilles ou pas, il nous faut rester dans le droit, du moins il me semble.
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- du luy
- Visiteur
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- ian
- Visiteur
Je me permet d'intervenir dans ce débat intéressant
Je suis plutôt agricole qu'apicole , et je compare vos débats à l'organisation de l'agriculture
Il faut se poser la question du but à atteindre ...dans le cadre de l'apiculture, les objectifs sont ils bien définis?
Une interprofession sert à organiser un marché ,
tandis qu'un institut technique sert a la fois de relais avec la recherche mais aussi de vulgarisation auprès des producteurs , d'où une présence sur le terrain indispensable pour légitimer son existence, avec des résultats , des perspectives car le producteur est pragmatique: on veux des chercheurs qui trouve .
Un institut technique n'a donc pas pour vocation de faire du fondamental, mais de l'opérationnel.
Quelle est la place de l'ISTAP dans le monde de la technique apicole ?
Quelle est sa mission et est elle en adéquation avec les besoins de terrain ?
L'ISTAP peut il rester une structure independante ?
ou bien peut il intégrer un institut de l'élevage ? ( les instituts techniques agricoles ont regroupé leurs forces, à l'image d'Arvalis ouTerre Inovia ) .
Pour le financement, l'interprofession devrait financer l'institut puisque celui ci travaille pour l'amélioration de la production.
encore faut il que l'interprofession existe .
Mais c'est celui qui paye qui décide .
A aller chercher des financements pour survivre, l'ISTAP s'éloigne du terrain et pourrait devenir un institut plus soucieux de son budget que de sa mission.
Donc, le financement , c'est important .
Sauf que les apiculteurs n'ont pas un radis a mettre la dedans
L'interprofession est nécessaire quand il y a déséquilibre entre les partenaires : des petits producteurs face à quelques gros acheteurs par exemple.
Nous agriculteurs , on connaît ca avec le sucre , le lait , la pomme de terre industrie, la fécule, le malt d'orge ....
difficile de faire sans une organisation des producteurs intégrée au sein d'une interprofession
Que serait l'état des prix sans l'interprofession? Je peux juste vous dire que les industriels n'aiment pas toujours ce genre d'organisation...
Mais ne rêvons pas , ce n'est pas l'interprofession qui va empêcher les importations des industriels .
Exemple avec le sucre ou les deux grands sucrier betteraves français investissent massivement dans la canne à sucre
En réalité, 'interprofession est une organisation nécessaire munie de pouvoirs limités ....
La possibilité pour beaucoup d'apiculteur de vendre au détail sur les marchés leur production les rend insensible à l'organisation de le profession. Je les comprend .
C'est de l'artisanat agricole pouvant être défendu par des syndicats face aux pouvoirs publics.
Mais les vendeurs de fut ? C'est le syndicat qui va les accompagner face aux acheteurs ? .
Les coopératives apicoles n'ont pas fonctionné dans mon coin
l'apiculteur n'est pas un animal grégaire ..
Les coop agricoles ont été formées dans les années 30 sous l'impulsion de l'Etat pour contrer les négociants privés qui avaient un penchant pour la spéculation....
Comme c'est étrange...
Mon grand père me disait qu'un apiculteur , c'est comme un braconnier .C'est un cambrioleur des champs .
Sous entendu qu'un apiculteur n'avait pas d'autre règle que les siennes
C'est vrai qu'il n'existe pas d'interprofession regroupant les braconniers ...
( je n'ai pas trouvé les smileys, mais il y a plein de sourires partout ....°
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
c'est aussi l'idée: par l'interprofession de financer les ADAs et les groupement techniques. Mais pour ce qui est de l'ITSAP il s'agit de missions bien différentes demandant des compétences différentes, mais aussi des moyens; Il existe bien l'INRA et le CNRS qui font déja du bon boulot mais qui sont difficilement accessible aux apis, a moins de s'entendre avec un chercheur et de mener des projets ensemble, ce se fait aussi mais c'est moins structurant.du luy écrit: à puyloubier ,
Pour une méme somme , 2 millions x 4 ans , n'eut il pas mieux valu financer davantage les adas . Les structures éxistaient déjà , les apis étaient intérréssés , il ne restait plus que le financement à trouver ( état , apis , mécènes ou autres diffuseurs papier ) . Des poles de recherche auraient pu etre attribués à chacune et les résultats diffusés aux apis comme le font l'anercea et la fnosad .
L'avantage de l'ITSAP est d'avoir un Institut dédié et gérer par des apis, il est adossé a l'ACTA pour des raisons de taille, mais en lien trés étroit avec l'INRA d'Avignon ou tous les chercheurs ont leur Bureau. Le lien se fait aussi avec l'ADAPI dans le cadre de l'UMT "Prades"; c'est une force de frappe intéressante regroupant 3 entités, oups 4 avec terre inovia (cetiom) qui a rejoint depuis 1 an (mais sans réelle participation pour l'instant);
Donc oui il faut aussi financer les ADAs mais les ADAs ne peuvent et a mon avis ne doivent pas faire le boulot de recherche, chacun sa place chacun son rôle, mais il est super important dans tous travaux de recherche d''etre en lien étroit avec le terrain et pour qu'il y est interaction et échanges positif ca ne peut pas etre la même entité, a deux c'est mieux.
Et puis c'est aussi une question de partage des compétences et des moyens, l'écotoxyco de l'ITSAP peut aussi intervenir pour chaque ADAs, alors que s'il avait été embauché par l'une ou l'autre il n'y aurait pas équité.
Donc différenciation des missions, optimisation des moyens, et collaboration avec les ADAs, normalement ca doit marcher comme ca, d'ailleurs le CRDA qui est un outil de gestion au sein de l'ITSAP sert a cela justement: coordonner le travail entre ITSAP et ADAs et etre au plus prés des attentes du terrain.
Je suis l'un de ceux qui réclame une plus grande sollicitation du CRDA et une activation effective. Il y a une réunion sur 2 jours fin septembre; Donc rapprochez vous de vos ADAs pour savoir ce qu'il en ait et faire connaitre vos besoins en région.
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
du luy écrit: à puyloubier ,
Les adas semblent assez representatives des besoins des apis . Des centaines d'apis y cotisent directement ou indirectement ( par leur gdsa qui y adhére ) .
Pourquoi des structures qui fonctionnent bien comme l'anercea ou le gpgr , ne pourraient pas servir de modéle à d'autres structures qui , elles , seraient missionnées pour chercher les produits phytos dans les miels , cires , pollen , pour chercher des produits acaricides , pour chercher des techniques de lutte contre le frelon . . Je pense que beaucoup d'apis aimeraient avoir l'avis de labos européens qui pourraient faire ce travail .
Tout compte fait plutot que d'obliger les apis à adhérer à ceci ou cela , ne vaudrait-il pas mieux connaitre leurs besoins immédiats , pour survivre . Je pense que beaucoup d'apis seraient préts à financer ce type de structure comme ils le font pour les deux ci-dessus citées .
Pour l'Itsap , je pense qu'il y a beaucoup trop de monde dans cette structure et que des non apis n'ont rien à y faire sauf bloquer des sujets de recherches qui pourraient etre dangereux pour leur boutique .
Qui consulte les apis en France aujourd'hui pour savoir , comment nous pourions sauver les exploitations ou si définitivement notre pays n'a plus besoin d'abeilles !
Et enfin , pourquoi les adas ne publient pas plus dans leur région quitte a faire entrer de nouveaux cotisants intérréssées pas les objectifs de celles ci ?.
sur le fond tu a totalement raison et le GPGR et l'ANERCEA sont effectivement deux belles réeussittes.
Mais trés spécifiques, de plus pour permettre la recherche il faut des financements et actuellement ce sont essentiellement (je ne dirais pas 100% mais pas loin) des finacements publiques qui sont disponible via des appels a projet, pour y répondre il faut une certaine crédibilité (financiére structurelle et technico sciéntifique) que les Instituts ont plus facilement. On peut dans une ADAs se rapprocher ponctuellement d'un Institut pour un travail particulier, mais cela demande un investissement en temps supplémentaire (on l'a fait avec Irstea pour le guide sur les débroussaillement forestiers par exemple)
A l'ITSAP enfin j'entends au CA il y a beaucoup de monde effectivement mais beaucoup de représentant de l'ETAT qui interférent peu sur les choix stratégiques, ils sont là pour "surveiller" pas pour interagir (je simplifi). Dans les membres des organisations ce ne sont que des apis pros ou pluriactif.
Qui consulte les apis?
A mon avis c'est le rôle des syndicats de connaitre les besoins et les faire remonter, ils le font via le comité apicole qui ensuite met en place les appels d'offre en conséquences.
Dans les régions aussi les syndicats doivent jouer leur rôle, ils peuvent (ou leur représentant) sieger dans les ADAS. Mais tu as raison c'est une vrai question que je me pose souvent et dés qu'une réunion ou un séminaire est organisé je prends toujours le temps de questions réponse avec la salle et un relevé des attentes. Evidement peu s'exprime et souvent les gens attendent qu'on fasse le boulot pour ensuite le critiquer (au bon sens du terme) et le commenter. Mais difficile de cerner les attentes particuliéres d'autant que les publics sont nombreux et fort différents.
On a créer un groupe de jeunes en pensant a juste titre que leurs questions étaient spécifiques, et maibtenant on va faire un groupe de vieux (a la retraite) disponible pour donner des conseils aux jeunots.
Les adas publient leur résultats sur les sites ou par leur lettre d'information, mais il;faut etre membre pour en avoir la primeur et l'intégralité.
Mais tout apis peut devenir membre il suffit de cotiser. on y revient toujours (faut payer pour voter et pour profiter)
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
gfass écrit: @Puyloubier
Il me semblait avoir donné des éléments de réponses concrets qui peuvent être vérifiés par toute personne intéressée par la problématique. J'essayais de croire que tu avais effectivement des informations à nous transmettre mais quand j'ai lu ça " Pour ce qui est du rôle de l'Etat tu te trompe la destruction des nids leur incombe bien car c'est une espéce dangereuse, alors dans les faits un nids en pleine nature n'est pas détruit, la seule présence d'habitation ou humaine permanente a proximité oblige les services de l'Etat a intervenir pour la sécurisation des personnes.".
Je me suis dit ok!, on n'est pas sur la même longueur d'onde, il y a une grande différence entre un fait et une idée (si louable soit-elle).
Je vais donc me retirer de ce débat (dans lequel j'en conviens je n'ai rien à faire) non sans te demander de bien vouloir entendre le conseil de modération que te donne plus avant mon ami du luy de façon à dépassionner les échanges qui frisent la limite des règles que nous nous sommes engagés à suivre.... apiculture.com/fr/forum/regles-du-forum .
Je serais un peu peiné de voir ce sujet verrouillé pour cause de dérapage.
Merci à toi
désolé de te contrarié mais si un nid de frelons est présent dans une école ou un square publique entends bien que celui ci doit etre enlevé? mais si il est au fond d'un bois il ne le sera pas a moins d'etre a proximité d'un GR.
tu donne des infos mais incomplétes, tu cites des gens par leur initiales, difficile de te suivre.
et encore une foie j'ai choisi le sujet du frelon par exemple pas "en exemple" et je ne prétendais pas etre exhaustif (j'aurais du prendre un autre sujet, comme les néo par exmple?)
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
pour vivre heureux: vivons cachés, et les apis sont effectivement comme les braconniers ils connaissent beaucoup de cachette et les protègent. Cela les (nous) sauvent pour l'instant, mais l'avenir n'est pas rose et beaucoup risquent de ne pas trouver les bonnes solutions a l'avenir s'ils restent seuls.
Difficile adéquation entre vouloir conservé nos libertés et nos "secrets" et répondre aux besoins de plus en plus pressens.
L'apiculture professionelle et pluriactive est trés diversifiée et complexe, autant d'apiculteurs presque autant de profils, renforcé par les disparités régionale;
Heureusement il y a des sujets qui nous rassemble (ou plutôt nous préoccupe tous) comme varroa le frelon, les pesticides, d'autres qui nous divisent, mais la grande spécificité des apiculteurs et de vouloir trouver chacun sa réponse sa solution personnalisée (honnête ou légale pas toujours)
2017 qui s'annonce encore une foi assez catastrophique en terme de récolte aprés 2013, 2014 et 2016, pourrait bein permettre de féderer un peu du monde autour d'un projet collectif!???????????
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- gfass
- Visiteur
puyloubier écrit:
gfass écrit: @Puyloubier
Il me semblait avoir donné des éléments de réponses concrets qui peuvent être vérifiés par toute personne intéressée par la problématique. J'essayais de croire que tu avais effectivement des informations à nous transmettre mais quand j'ai lu ça " Pour ce qui est du rôle de l'Etat tu te trompe la destruction des nids leur incombe bien car c'est une espéce dangereuse, alors dans les faits un nids en pleine nature n'est pas détruit, la seule présence d'habitation ou humaine permanente a proximité oblige les services de l'Etat a intervenir pour la sécurisation des personnes.".
Je me suis dit ok!, on n'est pas sur la même longueur d'onde, il y a une grande différence entre un fait et une idée (si louable soit-elle).
Je vais donc me retirer de ce débat (dans lequel j'en conviens je n'ai rien à faire) non sans te demander de bien vouloir entendre le conseil de modération que te donne plus avant mon ami du luy de façon à dépassionner les échanges qui frisent la limite des règles que nous nous sommes engagés à suivre.... apiculture.com/fr/forum/regles-du-forum .
Je serais un peu peiné de voir ce sujet verrouillé pour cause de dérapage.
Merci à toi
désolé de te contrarié mais si un nid de frelons est présent dans une école ou un square publique entends bien que celui ci doit etre enlevé? mais si il est au fond d'un bois il ne le sera pas a moins d'etre a proximité d'un GR.
tu donne des infos mais incomplétes, tu cites des gens par leur initiales, difficile de te suivre.
et encore une foie j'ai choisi le sujet du frelon par exemple pas "en exemple" et je ne prétendais pas etre exhaustif (j'aurais du prendre un autre sujet, comme les néo par exmple?)
Ahhh! je suis obligé de revenir sur ma décision mais, tu ne me contraries pas, tu me confortes dans mon opinion tu aurais dû choisir un autre exemple.
Il y a une énorme différence entre dire " Pour ce qui est du rôle de l'Etat tu te trompe la destruction des nids leur incombe bien car c'est une espéce dangereuse, alors dans les faits un nids en pleine nature n'est pas détruit, la seule présence d'habitation ou humaine permanente a proximité oblige les services de l'Etat a intervenir pour la sécurisation des personnes.".
et préciser ensuite....
"si un nid de frelons est présent dans une école ou un square publique entends bien que celui ci doit etre enlevé"
Car effectivement, les pompiers continuent d'intervenir sur la zone et les lieux publics et pour être complet, chez les particuliers lorsqu'il y a carence d'entreprise privée. Leurs interventions sont toujours facturées tant au public qu'au privé. Ceci revient à dire que les entreprises privées interviennent dans 99% des cas. Maintenant, tu as le droit de penser que l'Etat devrait intervenir systématiquement, je respecte ton avis mais.... quid des entreprises privées qui se sont créées pour pallier la réorganisation des services de sécurité et l'abandon de cette mission traditionnelle.
Voilà, ce n'est pas pour polémiquer, c'est juste pour être précis.
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- Apinoires
- Visiteur
vous chipotez sur des détails certes très importants, mais le fond du problème c'est finalement de faire appel à la générosité d'une corporation exsangue dont près de 80% des exploitations survivent en perfusion permanente (aides diverses) qui attendent bien évidemment des solutions et qui auraient même très souvent des idées, (système démerde) car elles ne peuvent faire autrement et surtout ni financer ni subventionner quoi que ce soit, c'est un peu comme demander à un aveugle si il souhaiterait voir ?
Il est tout là le vrai débat et entendre des gens (de bonne foi) dire: "oui c'est très bien, il faudrait aider tel ou tel programme" ça ne remplace pas le nerf de la guerre !!
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
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- Eric25
- Visiteur
puyloubier écrit: un détail, l’inter profession prévoit de faire financer les actions par des cvo sur les produits, ce seront donc les consommateurs qui paieront pas les apiculteurs
Une belle CVO, intermiel 2 le retour, je pense que certains doivent rêver tout debout.
Avec la fragilité de certaines exploitations, les difficultés de reprise ou d'installation suite au années de récoltes aléatoire.
Il faut arrêté de mentir en disant que c'est le consommateur qui payent.
Comme il y a trente ans, ce sont bien les exploitants qui ont pignons sur rue qui vont financer, est surtout ne pas nous faire le mensonge de la CVO payer par le consommateur sur les Miels d'importation.
Le fond du problème est où, le financement l'itsap à bien tapé dans la caisse rabotant les aides direct d'investissement au Api venant de FA, rabotant les fonds de fonctionnement des ADAs via FA.
Cher puyloubier, lorsque nos entreprises connaissent des difficultés suite au mauvaises années vous pense que nous faisons appel au don participatifs !!!!!!
Bien non, on gère le stock, la banque et on ce met au boulot......
Le monde apicole à besoins de concret, non pas de poudre au yeux.
Juste pour finir, j'ai presque une vie d'apiculteur dernière moi avec des abeilles qui ne sont pas indigènes, sur une exploitation moderne qui emploie du personnels ne vendant pas forcément au touriste de passage.
J'ai apporté ma pierre à l'édifice sur la rédaction du guide des bonnes pratiques, mais cette fois cela dépasse les limites du politiquement correcte.
Merci monsieur puyloubier de nous annoncer le CA de fonctionnement de l'itsap 2016 afin que chacun ce rende compte des montants en jeux, pour une belle reliure distribué à discrétion. Je fais l'impasse sur le site Mr l'administrateur.
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- maya730
- Visiteur
500 000 € à 800 000 € de budget de fonctionnement pour ce faire traiter de bidouilleur
et nous dire de traiter varroa avec un traitement avec AMM avec une efficacité relative
la priorité des priorité est le varroa l'itsap là oublier ?
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- du luy
- Visiteur
Si Puyloubier est un représentant de l'Itsap , c'est peut etre le moment de dire ce que , vous , vous feriez pour sortir de cette situation . Il pourra ensuite retransmettre lors de réunions utiles .
Exemple .Vous aimeriez financer quel type de recherche .
NB . Avant que les exploitations ne deviennent des musées . Les varroas , frelons , pertes des colonies , impots , cotisations , pesticides , cires , adultération , finiront bien un jour par déséquilibrer complétement la filiére .
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
As tu particper aux négociations pour l'interpro, il y a plusieurs cvo possible,sur le nombre de ruches, sur les CA, sur le matériel, pourquoi pas sur le sirop, mais une CVO sur les pots de miel vendu sera bien payé par le consomateur, comme la TVA, dire le contraire est une contre vérité qui séme le trouble; La tva est perçue par les vendeurs (nous) mais elle est bien payé par le consomateur en sus du prix HT, ce serait la même chose avec une CVO sur le miel en pot, même si le vendeur (nous) reverse a l'Etat la TVA il ne la paye pas, il en est juste le collecteur.
L'ITSAP n'a tapé dans aucune caisse et si tu reprends les chiffres des aides directes aux apiculteurs tu t'apercevras que les budgets globaux ont largement été augmenté depuis le PDDA. L'Itsap ne se finance pas sur les mêmes lignes de crédit, ce sont d'autres budgets, comme le casdar le feaga, le feader etc.
Mais pour ce qui est du financement de l'ITSAP certains parmis les apis ont justement émis l'idée de rogner sur les aides directes. Et tout le mponde n'est pas d'accord avec ce systéme d'aides directes. Car si tu y réfléchi ce systéme d'aide bénficie surtout aux revendeurs de matériel. C'est l'idée soutenu par beaucoup, qui pense qu'il vaut mieux aider en formant et en accompagnant plutôt qu'en distribuant de l'argent. "Apprends au paysan a cultivé sa terre et au pécheur a pecher plutôt que lui donner un sac de riz "
pour ce qui est de l'appel au dons je suis d'accord avec toi, je ne crois pas que ce soit une solutions durable même si cela peu tout de même etre un signe fort de la profession pour soutenir son Institut, les pouvoirs public l'ont bien dit ils sont dans l'attente d'une reconnaissance de l'Institut et de son financement par les apis.
"J'ai apporté ma pierre à l'édifice sur la rédaction du guide des bonnes pratiques, mais cette fois cela dépasse les limites du politiquement correcte.
Merci monsieur puyloubier de nous annoncer le CA de fonctionnement de l'itsap 2016 afin que chacun ce rende compte des montants en jeux, pour une belle reliure distribué à discrétion. Je fais l'impasse sur le site Mr l'administrateur."
je suis d'accord avec toi la communication de l'Institut est déficiente et beaucoup d'argent est dépenser inutilement en rapports et comptes rendu sur papier glacé, il manque la courroie de transmission vers les apis, c'est un enjeu fort qu'il faut mettre en oeuvre: Vulgarisation, valorisation et transfert des résultats de la recherche: Cela n'est que trop peu effectif actuellement;
Il ne suffit pas d'organiser les JRA a Paris pour croire que le travail de transfert est fait.
mais voila les publications sur papier glacé et autres colloques d'aparat sont un peu un passage obligé pour les chercheurs et pour justifié du boulot réalisé pour les financeurs qui demandent des comptes et des rapports, qui hélas occupent beaucoup nos salariés. Pour les Adas c'est quasiment un 1/2 temps occupé a la paperasse!
Pour ce qui est du varroa, tu as tors de réagir ainsi, c'est le premier axe de travail de l'ITSAP et des ADAs, mais pour ce qui est des produits de traitement si l'ITSAP peut intervenir pour l'évaluation des produit il n'a ni les compétences ni la fonction d'en développer de nouveaux, et quand un produit pose probléme comme Apibioxal par exemple il le dénonce et vous encourage a le faire également. Le probléme avec ce produit a base d'acide oxalique est que maintenant ont ne peut utiliser que cela si l'on veut traiter a l'AO!!!
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- happy.bee
- Visiteur
Travailler pour lutter conte varroa par la voie génétique de l'abeille ,va couter beaucoup plus que la filière est capable d'assumer ,cherchons les moyens d’éradiquer les varroas ,avant de bricoler sur l'abeille, car la aussi il y a débat .
l'apiculture a besoin d'un institut technique, mais il serait mieux que sont organisation n'ait pas signé, de convention auprès de l' acta ,qui elle coordonne des associations qui ont des enjeux défavorables a l'apiculture et qui ont un poids énorme; sur les décisions de l’état .
Maintenant j’arrête avec ce sujet ,car de toutes façon on ne sera jamais tous sur une même longueur d'ondes .
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- mathieua
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Mais les "usines à gaz" dans lesquelles le "représentant" n'est reconnu que par une minorité des financeurs (consommateur ou api, peu importe)... Aura toujours du mal à fonctionner et a obtenir le soutient "populaire".
Alors, pourquoi ne pas s'inspirer de ce qui marche?
L'ANERCEA est selon moi un exemple du genre. Pourquoi ça fonctionne? A mon avis, parce que la distance entre la structure et les "usagers" est réduite au minimum. C'est pour les apis, par les apis...
Je crois qu'il y a ici une clé, on pourrais s'appuyer par exemple sur les ADA et les multiples tests dans les exploitations!
Je repars au boulot, mais je pense que le problème de reconnaissance de l'ITSAP peut être résolu, mais pas forcément en se focalisant sur les euros dont il a besoin!
Je fais parti de ceux qui profitent et lisent régulièrement les publications ho combien intéressantes de l'ITSAP, mais ça ne m'empêche pas d'être critique s'il le faut!
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- max16380
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
happy.bee écrit: les problèmes a la base sont environnementales ,pour pallier a ça nous pensons qu'il faut faire de la recherche, mais ne faudrait -il pas se demander comment concilier apiculture et environnement et qui est responsable .
Travailler pour lutter conte varroa par la voie génétique de l'abeille ,va couter beaucoup plus que la filière est capable d'assumer ,cherchons les moyens d’éradiquer les varroas ,avant de bricoler sur l'abeille, car la aussi il y a débat .
l'apiculture a besoin d'un institut technique, mais il serait mieux que sont organisation n'ait pas signé, de convention auprès de l' acta ,qui elle coordonne des associations qui ont des enjeux défavorables a l'apiculture et qui ont un poids énorme; sur les décisions de l’état .
Maintenant j’arrête avec ce sujet ,car de toutes façon on ne sera jamais tous sur une même longueur d'ondes .
tu as raison beaucoupn des problémes sont environementaux, maos je crois que malheureusement on auras du mal a faire changer la situation, pour les pesticides c'est un combat de longue haleine sans cesse remis sur le tapis avec de nouvelles molécule, la pression des grands groupe financier etc, cela dépasse largement les apis et concerne toute la société. Mais en attendant que ca change on fait quoi? moi je ne suis pas de ceux qu'il ne faut rien faire pour "risquer de minimiser" l'impact des pesticides voir comme certains le disent demander des compensations: non face a ces problémes les apis nous demande d'intervenir pour faire des analyse des enquétes, des recherche comme le vol de non retour, bref bosser sur le sujet pour aussi faire avancer les choses.
Pour le climat et ses conséquences je te donne l'exemple des feu, et b ien l'une des conséquences va encore etre la recrudescence des débrousaillements qui servent peu la lutte contre les incendies. Quand on étudi les causes des départ de feu et la raison de leur violence: on trouve incendie volontaire, négligence et mistral, l'un des dernier feu a nice a été causé par justement une débrousailleuse; Mais le recrudescences des débrousailement nous prive de toutes les ressources malliféres et en Provence cela devient dramatique de nombreux emplacement de ruchers deviennent inutilisable. Donc là pareil on fait quoi??
pour ce qui est de varroa comme du frelon l'éradication est devenue impossible, il suffit de regarder l'infestation mondaile du varroa pour comprendre, 1 seul varroa suffit, il se reproduit tout seul, fils fécondant filles. du clonage a perpétuité!
comme pour le frelon certains pense qu'il faut laisser l'équilibre écologique, mais ca peut prendre des années voir des centaines d'années, et avec la mondialisation on fausse les équilibre en "poluant " les écosystéme a vitesse grand V.
L'abeille VSH a été mis en évidence par l'observation, cela peut etre une piste en sélectionnant sur ce "géne" pour multiplier les abeilles plus résistantes, des tests sont fait actuellement sur les exploitations et certains ont été surpris de trouver parmis leur apis mellifera l'expression du VSH à 80%.Pour ce qui est du cout tu as raison, le labo prové qui a investi 3 millions au coté de l'itsap pense rentabiliser en vendant les tests aux apis?? moi je pense que cela est utopique, je peux me tromper, si ca marche je ne dis pas qque je ne testerais pas mes abeilles pour voir
Au fait Apinoire tu parlais surement de Apis mellifera mellifera chez qui tu pense qu'il n'existe pas le VSH, pour ce qui est de mellifera hybrida (80% de nos abeilles) je peut t'assurer qu'on en trouve. Au fait est tu sur d'avoir mellifera mellifera pure qu'as tu fait comme test??
quand le conservatoire fonctionnait a Porqueroles J Y P avez bien du mal a trouver des souches pure et il fallait passer par la génétique pour confirmer
pour ce qui est de la convention avec l'ACATA il n'y avait pas d'autre possibilité, tous les petits instituts sont "adossé" a l'ACTA pour obtenir leur agrément, l'ITSAP est trop petit pour naviguer seul , c'est comme ca mais je suis d'accord cela seme un doute compliqué a lever chez les apis et améne une vigilance renforcée des apis administrateurs pour rester en phase avec les apis! mais bon l'institut doit aussi faire le lien avec le monde agricole.
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- puyloubier
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- Visiteur
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- puyloubier
- Auteur du sujet
- Visiteur
max16380 écrit: j'ai fais un gros geste financier pour eux, je leur ai commander un cahier d'elevage et un cahier de miellerie pour 2018. par contre j'ai eu aucun mail comme quoi j'attendais une commande. je pense que c en fournissant ce genre d'article qu'ils peuvent s'autofinancer, meme pourquoi ne pas vendre des RF de compet pour que chacun puisse suivre l'evolution de leurs recherche et amener derriere un vrai retour.
les publis ne sont que trés peu rentable et souvent vendu a prix proche du coutant.
on ne peut pas vendre des reines ce serait une concurence déloyale pour les éleveurs, par contre les programmes de testage sont là pour les aider a améliorer leur sélection, la l'ITSAP fait son boulot, et l'ANERCEA le sien.
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- centrevar
- Visiteur
si on veut être efficace, je rejoint happy.bee il faut être réaliste et pragmatique, il faut s'en prendre aux causes principales, si on veut mieux gérer son budget on regarde ses principales dépenses on va pas rogner sur l'alimentation si 80% de l'argent passe dans l'essence et les véhicules
l'environnement, la grande culture, les pesticides sont les principaux maux, le reste c'est du blabla. Sur ces problèmes de société on peut s'investir aussi, ça dépasse le cadre de l'apiculture certes
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