Comment voyez-vous le futur de l’apiculture ?
- jww
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- PrOpOlis83
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- mathieua
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Sur la pure "technique apicole", j'entends ce que tu dis, et je ne peux que te donner raison devant cette réalité...
MAIS...
En changeant les reines tous les ans ou deux ans (plutôt la norme en fait), et bien que ce soit nécessaire a la bonne vie de l'entreprise, on casse le thermomètre tout simplement....
Qu'une vieille reine ne produise pas de miel, on peut l'entendre, mais que ça crève à tout va au bout de deux ou trois ans... Il y a un réel soucis, et tu le sais bien, sinon tu ne te fatiguerais pas à faire tout ce travail pour maintenir ta production à un bon niveau!
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- bozon
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Et vous qu'avez-vous fait ? Rien? D'ailleurs beaucoup d'amis ne veulent pas reconnaître cette maladie, c'est de l'ignorance. Je sais très bien comment il faut soigner cette maladie depuis grâce aux analyses.
Mathieu pourquoi les abeilles crèvent, c'estquand-même facile à comprendre une reine de deux environ être humain à 40 ans 3 an s à 60 ans, pas sur qu'une femme de 69 ans, soit une très bonne reproductrice à cet âge là ( c'est une métaphore),chez let abeilles c'est pareil.
Donc la façon de travailler qui est très pointilleuse, permet d'éviter ces soucis
Mais cette nosemose céranae fait toujours des ravages en France c'est environ 70% des mortalités actuellement.
Pas la peine de prendre un microscope, les spores nosema apis et nosema céranae, sont identiques.
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- stf
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vous c'est la nc d'autre les phyto
en tout cas moi je me dirais qu'avec 80% il y a peut etre un problème d'immunité lie a environnement ou un affaiblissement du a un appauvrissement genetique par sa pratique ..
apres c'est vrai de l'on peut toujours repondre a ces problématique par des intrants
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- mathieua
- Visiteur
On en est plus là.
Sur les causes, si ne m'en tient a ce que l'on sait collectivement (la science est la pour ça, nous mettre d'accord au delà des croyances de chacun) :
-lorsqu'on expose une colonie d'abeille a un produit phytosanitaire, cela produit des effets divers et variés : désorientation, mortalité, affaiblissement du système immunitaire.
Juste pour exemple et puisque et puisque l'on parle de nosemose : imidaclopride = développement de nosemose (source : www.ruche-apiculture.com/media/kunena/attachments/1280/InteractiontoxicopathologiqueentrelesmicrosporidiesNosemaetlimidaclopride.pdf )
Après, quel pourcentage cela représente dans les causes de mortalités ? Je ne sais pas. Et personne ne sait.
La dgal a tenté de chiffrer, mais sa méthodologie a été démontée par les instances (il faut dire que le protocole était tout sauf fiable...) résultat : entre 6% et 89% de mortalités dues aux pesticides... En gros impossible de savoir!!!!
C'est pourtant pas difficile a admettre : on en sait rien, ni vous, ni moi!
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- bozon
- Visiteur
Tes abeilles te font vivre,? ça m'étonnerait fort.[/strike]
[...propos supprimés par la modération qui propose à l'auteur de relire les règles de ce Forum...
Vous n'avez rien compris : "Pas d'attaque personnelle" !!!
Au prochain écart, c'est le banissement à vie de ce Forum)]
Quand il y a un problème avec les abeilles il faut le résoudre très rapidement, mais pour cela il faut en trouver les causes !
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- jww
- Visiteur
tu controle ta genetique avec tes propres souches ou tu importe tes reines ca expliquerait le 12 mois max une reine est mature a 24 mois au top du top la troisieme annee elle perd 25 % max de sa capacité de ponte et la quatrieme année les abeilles la remplacent par supersedure dans 60% des cas quitte a avoir cohabitation de deux reines pendant une periode .
Bien sur si on veut produire sur trois mielles consecutives pendant trois ans ca bousille la reine , normalement le cycle naturel c'est ponte de jeunes abeilles, mielle, abeille hiver hivernage et ainsi de suite...
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- stf
- Visiteur
pour revenir a nos abeilles pouvez vous nous sourcer ce que vous dites a propos que :"nosemose céranae fait toujours des ravages en France c'est environ 70% des mortalités actuellement."
par avance merci
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- Laurent37370
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Je remercie Mathieua qui lui étaie presque à chaque fois ses propos avec des preuves scientifiques, cite ses sources et j’apprécie sa retenue dans ses écrits qui font preuve de sagesse.
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- Gilles Ratia
- Auteur du sujet
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Quant aux autres veuillez vous recentrer sur le sujet. Ici on parle de futur, pas de ce que l'on fait ou pas pour ceci ou pour cela. C'est un exercice intellectuel de prospective...
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- fort myers
- Visiteur
MG
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- Eric30
- Visiteur
En conjuguant les nouvelles réglementations agricoles (je devrais dire certification) il pourrait y avoir un plus pour tous.
Mon exploitation est en terra viti et en HVE , je peux grâce a la présence de mes ruches sur cette exploitation vérifier la tolérance des abeilles a ces nouvelles méthodes d'exploitations. N'étant qu'un amateur au niveau de l'abeille ne serait il pas intéressant pour un Apiculteur professionnel de se mettre en relation avec des Agriculteurs qui ont se (ou d'autres) certification, pour établir une entente?
Cette entente permettrait de mettre en place des solutions économique viable pour les deux parties.
Je pense que l'Apiculture moderne ne peut plus se contenter d'ancienne méthodes si elle veut survivre a la modernité et a la destruction progressive et inéluctable de l'environnement sauvage dans lequel l'abeille avait prospéré.
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- Benja39
- Visiteur
L'abeille c'est notre avenir l'agriculture aussi eric le dialogue existe déjà et se passe souvent tres bien !
Les racourcis facile c'est pour les journalistes... les pute à clic en l'engage moderne.
La flore sauvage va s'attapter au changement le soucis et de savoir dans combien de temps...
En attendant c'es plus le tournesol qui ferra du tonnage mais la luzerne... adaptation pemanente et pas avoir peur de bouger des caisses c cela l'avenir.
Sivpersonne est d'accord alors on supprime le petrole et les choses retournerons a leur place ! Et les premiers a raler maintenant parce qu'un tel améne des ruches sera le premier a raler de ne pas pouvoir aller manger un beignet aux saintes marie...
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- jww
- Visiteur
bio pas bio ca suffit pas a determiner ce que tes abeilles produisent et combien d'apis en bio traitent a l'oxalique 3 fois par an alors qu'on sait d'aprés des etudes que cet acide s'infiltre dans l'organisme des avettes.
Je parle meme pas du formique methode nassenheider ou il faut innonder quasiment la ruche et 15% reste au tapis direct quand c'est pas la reine.
Combien d'apis produisent du bio industriel c'est juste une methode differente la vie c'est pas tout blanc tout noir mais plus souvent des nuances de gris. Tout est une question de methode et des possibilités qui nous sont offertes et beaucoup de facteurs rentrent en ligne de compte que vous connaissez tous. Après évidemment subventionner et financer des industriels ou grosses exploitations/entreprises comme vous voulez la c'est un choix des politiques et ca depend du coté ou tu te place selon tes interets et convictions (la c'est autre chose).
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- maya79
- Visiteur
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- happy.bee
- Visiteur
Respecter une promesse environnementale ou sauver l’emploi sur fond de crise économique ? En dépit de l’opposition des écologistes, dont Nicolas Hulot, les députés doivent examiner, ce lundi à l’Assemblée nationale, le projet de loi controversé permettant la réintroduction temporaire des néonicotinoïdes pour préserver la filière betteraves.
En voulant utiliser temporairement des néonicotinoïdes, un insecticide néfaste pour les abeilles, le gouvernement est accusé de brouiller son message sur la transition écologique. Mais selon l’exécutif, cette mesure permettrait de sauvegarder les emplois de 46.000 personnes dont 25.000 agriculteurs.
« C’est une question de souveraineté »
En raison de la prolifération d’un puceron vert vecteur de la maladie qui affaiblit les plantes dans de nombreuses régions, les betteraves issues de semences non enrobées d’insecticide sont atteintes de « jaunisse ». La réintroduction de semences enrobées avec des néonicotinoïdes doit permettre de protéger les rendements sucriers. Le hic est que ce type de pesticide a été interdit en 2018. Le gouvernement a décidé de rétropédaler, en s’appuyant sur le règlement européen sur les phytosanitaires permettant de déroger à l’interdiction en l’absence d’alternative.
« C’est une question de souveraineté », met en avant le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie, alors que 11 pays producteurs ont en Europe autorisé les dérogations pour les néonicotinoïdes. « Nombre de planteurs, en ce moment même, hésitent à replanter des betteraves » et « si les sucreries ferment, c’est toute la filière de la betterave qui peut disparaître en une ou deux saisons », fait valoir le ministre. C’est lui qui sera présent dans l’hémicycle où plus de 130 amendements seront débattus, et non la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili, qui avait elle-même porté en 2016 la loi interdisant ces insecticides et appuie désormais cette réautorisation ciblée.
Pas de « renoncement »
Pour le gouvernement, qui pourra compter sur le soutien des LR, le projet de loi n’est pas « un renoncement écologique ». Il programme « la fin des néonicotinoïdes » à l’horizon 2023, souligne le rapporteur LREM du texte, Grégory Besson-Moreau. Pour le député de l’Aube où se trouve l’une des plus grosses sucreries d’Europe, « personne ne nie les dangers de cette substance ». Pourquoi dès lors ne pas y renoncer purement et simplement, tempêtent les opposants au projet gouvernemental ? Happening près du Palais Bourbon, tribunes, les pro-environnement et la gauche estiment que le projet de loi, conçu selon eux « sous la pression des lobbys de l’agriculture », est un « recul démocratique majeur » et un « contresens historique ».
Dimanche, l’ancien ministre de l’Ecologie, Nicolas Hulot a appelé dans le JDD « les députés à ne pas voter » le projet de loi. « Ma fondation a estimé les pertes pour cette année à 77 millions d’euros pour les betteraviers. Indemnisons-les en échange de la mise en place de pratiques : allongement des rotations, réintroduction des haies… », propose-t-il. « C’est le dernier grand vote sur la biodiversité du quinquennat », attaque Matthieu Orphelin (EDS). Ce proche de Nicolas Hulot a obtenu un vote solennel sur l’ensemble du projet de loi, qui aura lieu mardi et lors duquel tous les députés « pourront se positionner sur ce sujet important ».
Le « traumatisme » du vote du glyphosate encore présent
En dramatisant l’enjeu, l’ex- « marcheur » cherche à enfoncer un coin au sein du groupe majoritaire, où des voix dissonantes sont apparues. « On sait très bien que la discussion va être serrée dans l’hémicycle », reconnaît Jean-Baptiste Moreau (LREM), agriculteur, qui soutient le projet de loi. Selon lui, des députés « ne veulent pas revivre la séquence » d’il y a deux ans autour du glyphosate, cet herbicide controversé dont la sortie n’a finalement pas été inscrite dans la loi. Un épisode vécu comme un « traumatisme » par certains, et qui avait coûté cher dans l’opinion publique.
Pour « verdir » sa position, le groupe LREM a fait voter en commission la création d’un conseil de surveillance où figureront quatre parlementaires. Et aussi l’interdiction, sur des parcelles où ont été utilisés des néonicotinoïdes, d’implanter des cultures attirant les abeilles afin de ne pas les exposer. Les députés ont en outre précisé que les dérogations permises visaient explicitement les betteraves sucrières. Le gouvernement l’avait promis mais ne voulait pas l’inscrire dans le texte par crainte d’une censure du Conseil constitutionnel.
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- louiseluc
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- happy.bee
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Hors l abeille n a pas spécialement d avenir dans un environnement pollué.
Les effets nocif des neonics s.est fait ressentir des leur utilisation et après de nombreuses études ils ont étés reconnus dangereux pour l es pollinisateurs.
Pour moi c est suffisants pour avoir un avis .
Apres les arguments ,de traitements massifs avec d autres molécules mériterait aussi un débat.
Je pense que l avenir de l apiculture est menacé surtout par le manque de réaction et de communication entre acteur de la filière contrairement à celle de la betterave qui a mon avis , n en a pas manqué pour faire admettre une nécessité douteuse.
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- Laurent37370
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Cependant, des solutions évidentes plus respectueuses de l'environnement (testées par l'INRA) existent comme la fameuse rotation des cultures, l'implantations de haies pour créer des habitats naturels aux insectes prédateurs du puceron (appelés auxiliaires)... et c'est ce qui manque beaucoup dans les zones betteravières. Encore une fois, c'est l'agriculture intensive qui est à l'origine de ses propres problèmes...
Le retour des neonicotinoïdes serait donc une très mauvaise nouvelle pour l'apiculture...
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- Gilles Ratia
- Auteur du sujet
- Visiteur
www.apiservices.biz/fr/articles/2561-deputes-votent-retour-neonicotinoides
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- Gilles Ratia
- Auteur du sujet
- Visiteur
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- dom17
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- mathieua
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Je ne me prononce pas sur la nécessité ou non d'interdire ces produits, je ne suis pas qualifié.
En revanche ce que je peux dire c'est que cette dérogation ouvre la voie. Les apiculteurs redoutent une généralisation (déjà demandée pour le maïs par exemple).
Je comprends les agris, pourquoi les betteraviers et pas nous?
Quand a "pleurer pour de faux problèmes", changer de reines tous les deux ans constitue un sérieux problème a mon sens...
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- dom17
- Visiteur
tous les jours , je me fais insulter sur les réseaux sociaux car je suis agriculteur ; pourtant , je ne veux qu expliquer ma façon de voir les choses … il y a une crise agricole due au changement climatique et à la volatilité des cours ; mais aussi toutes ces critiques venant de personnes qui ne connaissent absolument pas le probléme ! si on ne fait pas du bio , on est un criminel , rien que ça . au début des années 60 , il fallait produire , intensifier au maximum , et cela a continué jusqu en 2000 environ … cette modernité de l' agriculture était necessaire , car la population augmentant le réclamait . il faut dire que depuis le moyen age , ce n avait pas beaucoup évolué !
aujourd' hui , en fait , on reproche aux gens comme moi , d' avoir suivi le mouvement qui nous était pratiquement imposé ! je me suis renseigné pour passer au bio ; cela ne fonctionnerait pas chez moi , car je devrais trop investir dans du nouveau materiel … en plus , puisque je réalise des récoltes chez des voisins bios , je ne trouve pas que la qualité des produits soit excellente .
je fais plus confiance aux nouvelles variétés de céréales nouvellement créées , nettement moins sensibles aux parasites divers … cela demande beaucoup moins de traitements . aussi de nouvelles techniques permettant de travailler le sol le moins possible .. aussi , essayer d avoir un sol couvert le plus longtemps possible ….. depuis trois ans et demi , ma curiosité a fait que je suis devenu apiculteur ; je vais avoir plus de 50 ruches l' an prochain ; cette année , j ai produit une tonne de miel . cette nouvelle activité m a permis de modifier ma façon de pratiquer l agriculture : jachéres fleuries , bandes enherbées , heures des traitements , etc je parle de mes abeilles à mes collègues , ceci les intérésse ! le futur de l apiculture , ce n est pas se mettre à dos de l agriculture …. il faut nouer des relations , chacun devrait expliquer à l autre ses pratiques ...
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- stf
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apres je ne serais pas forcement d'accord avec toi sur les mutagénèses et l'agriculture intensive....
mais , je suis sur ou on se retrouvera: c'est que c'est pas forcement les apiculteurs qui sont des pleureuse; mais plutot un autre corps de métier que l'on entends pleurer chaque année : sur les quotas; la pac les prix du carburant, les taxes , le prix du porc du lait , le trop réglementation ,le trop pluie ou pas assez ect ect .....
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- kerouls
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Gilles Ratia écrit: Effectivement le "futur de l'apiculture" en prend un coup :
www.apiservices.biz/fr/articles/2561-deputes-votent-retour-neonicotinoides
si seulement 1% de notre territoire est impacté par la question.... il faut comprendre que ce 1% pèse lourd dans l'intérêt national puisque la majorité de nos représentants y ont dit oui.
chez moi en 22- à côté du bout du monde , sur les 5 représentants du département: 1 contre; 1 abstention (des voix à reconquérir); 3 pour... ainsi ils ont voté contre l'intérêt environnemental des citoyens qu'ils représentent
si vous voulez "tout savoir" - Retrouvez le détail du vote sur trombi-neonics.agirpourlenvironnement.org/
grosso modo ce qui a pesé c'est une forme de "solidarité" pour ne pas mettre en péril la production française de betterave sucrière- parer au plus pressé.
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- Laurent37370
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Aïe, aïe, ce n’est donc vraiment pas bon pour la biodiversité, et même pour l’apiculture dans ces secteurs...
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- happy.bee
- Visiteur
Plus l agriculture s intensifie ,moins il y a de rotation ,la chimie devient le seul outil dans l esprit du producteur car elle détruit les auxiliaires dont les abeilles font partie.
Heureusement, ils y a des passionnés pour les elever
Les régions bettravieres comme la beauce croyez moi ne sont pas paradisiaques pour les abeilles et les apis ,mais la nappe phréatique elle ,couvre un espace qui s ettend bien au-delà et nous puisons de cette eau.
Le raisonnement dans cette affaire est à court terme et aussi très court phylosofiquement .
Je ne comprend pas que des personnes responsables puissent privilégier des solutions qui tuerons leur descendance.
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- dom17
- Visiteur
je suis entièrement d' accord pour tout ce qui est de limiter les phytos , essayer de trouver des solutions alternatives …. mais le bio , c' est une perte considérable de production , donc des prix de vente qui doivent étre nettement supérieurs pour éspérer une certaine rentabilité ; en résumé , le bio serait il bon pour nourrir des ventres pleins? et ceux qui n' ont pas les moyens , on leur fera du pain avec le nouveau blé OGM cultivé en argentine ?
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