Le frelon asiatique gagne du terrain
- stf
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- gfass2
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Pour éviter que chaque apiculteur pro ou de loisir ne fasse tout et n'importe quoi dans son coin, il serait bien que les scientifiques descendent jusqu'à nous, c'est à dire sur le terrain, expérimentent les différentes recettes... en retiennent une qui fonctionne et la développe utilement. Non?
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- clemars
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www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ151119015.html
Lutte contre la prolifération des frelons asiatiques en Drôme
14e législature
Question écrite n° 19015 de M. Didier Guillaume (Drôme - Socialiste et républicain)
publiée dans le JO Sénat du 26/11/2015 - page 2723
M. Didier Guillaume attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur la prolifération de frelons asiatiques en de nombreux lieux en Drôme.
En effet, de plus en plus de Drômois font la découverte de nids de frelons asiatiques chez eux ou à proximité de chez eux et sont démunis sur la façon de traiter et de détruire ces nids. Si la fédération départementale des groupements de défense contre les organismes nuisibles de la Drôme assure le recensement de la présence de frelons asiatiques dans le département, elle n'en assure pas le traitement. Par ailleurs, les services d'incendie et de secours n'interviennent qu'en cas d'urgence et de danger et sur la base d'un tarif payant.
Il est alors assez compliqué pour les particuliers de contribuer à l'éradication de cet insecte nuisible alors que celui-ci représente un risque environnemental notamment pour les ruches et l'apiculture, déjà bien menacée, et un risque sanitaire quant au risque de piqûres aux personnes et de réaction allergique.
Alors que le frelon asiatique colonise depuis 2011 la région Rhône Alpes, il l'interroge sur la façon dont elle entend organiser son éradication.
Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie
publiée dans le JO Sénat du 07/01/2016 - page 54
L'article L. 411-3 du code de l'environnement qui pose le principe de l'interdiction d'introduction dans le milieu naturel des espèces considérées comme exotiques envahissantes, prévoit la possibilité pour l'autorité administrative de procéder ou faire procéder à la capture, au prélèvement ou à la destruction des spécimens d'une espèce introduite lorsque la présence de tels spécimens est constatée. Le frelon asiatique (Vespa velutina), a été inscrit sur la liste des espèces exotiques envahissantes. Cette disposition prise au titre de l'article L. 411-3 du code de l'environnement est prévue par un arrêté interministériel du 22 janvier 2013 qui interdit notamment l'introduction de spécimens de l'espèce sur le territoire national. Elle complète la prise en compte du risque sanitaire dû à cette espèce qui découle de son classement en catégorie II du nouveau dispositif de gouvernance sanitaire, par arrêté ministériel du ministre en charge de l'agriculture en date du 26 décembre 2012. Dans ce cadre réglementaire ainsi rénové, afin de mettre en oeuvre dans les territoires des opérations de lutte contre le frelon asiatique pour protéger les colonies d'abeilles, le ministère chargé de l'agriculture a diffusé le 10 mai 2013 une note de service élaborée par les deux ministères dans le cadre d'un large groupe de travail tenu au niveau national regroupant des représentants des apiculteurs, des associations de protection de la nature et des experts scientifiques, ainsi que des professionnels de la lutte contre les organismes nuisibles. Cette note de service établit un cadre pour la conduite des actions entreprises à l'initiative des organisations professionnelles ou des collectivités locales. Les méthodes de lutte collective qui sont utilisées contre le frelon asiatique doivent toutefois satisfaire aux recommandations émises par le muséum national d'histoire naturelle afin de ne pas être dommageables à l'environnement, notamment par leur sélectivité et leur absence de dommages directs. Dans ce contexte, et afin d'être opérationnelle, l'action publique est organisée par les préfets, qui procéderont ou feront procéder à sa mise en oeuvre après consultation du conseil scientifique régional du patrimoine naturel et de la commission départementale de la nature, des paysages et des sites.
Mon p'ti coup de gueule....
Les méthodes de lutte collective qui sont utilisées contre le frelon asiatique doivent toutefois satisfaire aux recommandations émises par le muséum national d'histoire naturelle (MNHN) afin de ne pas être dommageables à l'environnement, notamment par leur sélectivité et leur absence de dommages directs
Un entomologiste du MNHN n'a pas vocation de donner des conseils en matière de lutte contre les insectes envahisseurs. Son truc à lui c'est de se pencher sur sa binoculaire ou son microscope et de s'émerveiller de la sublime irisation du métathorax de la bestiole épinglée par le dos devant lui. Tant que nos décideurs n'auront pas capté que ce conseiller technique là n'est pas le bon, fausse la réaction opérationnelle qui devrait être prise depuis longtemps, le frelon continuera sa progression.
Je m'explique, depuis 2010, le MNHN, s'oppose, par principe, à l'application d'un appât larvicide sur et aux abords des ruchers au prétexte qu'il ne serait pas "sélectif".
Ce manque de sélectivité aurait pour effet d'impacter "uniquement" les insectes de la famille des vespidés (guêpes et frelons) nichant aux abords. Certes, ce dégât collatéral ne serait pas acceptable en temps normal, mais nous sommes dans l'urgence (depuis un moment d'ailleurs). Quand on y réfléchit un peu, en se privant de ce mode d'action au prétexte qu'il serait dommageable, non pas à l'environnement, soyons précis, mais à quelques nids de guêpes et frelons situés aux abords, on a le droit de s'interroger sur l'objectivité du conseil...non?
Ensuite, si on prend la peine de quitter un peu son petit fauteuil douillet et de regarder autour de soi au lieu de scruter sa binoculaire on voit quoi? On voit qu'en suivant cet avis de poètes (pardon mais c'est un p'ti coup de gueule) on voit que le frelon à pattes jaunes gagne sur toute la ligne, les derniers départements sont en train de tomber. En ville, il n'y a plus de guêpes et cela sans que l'on puisse en imputer le fait à un quelconque larvicide, on est bien d'accord? Où en sont les ruchers installés en zone urbaine ou suburbaine?.... C'est catastrophique.
En sortant un peu, on observe que le frelon à pattes jaunes lui, ne se contente pas de ses cousins vespidés .. il bouffe tout. Le piégeage bouteille longtemps encouragé par les "conseilleurs" a fini par porter un coup fatal au seul qui pouvait opposer une résistance a l'envahisseur...vespa crabro.
Alors pour finir, un appât larvicide, même non sélectif pour sa famille.....Non? Vous ne pensez pas que la régulation de Vespa vélutina, même au prix d'une petite part du feu concédée aux abords des ruchers, pourrait au contraire .... rendre service à l'environnement?
Une spéciale dédicace à Monsieur Jean-Marie BARBANCON
Directeur de la FNOSAD
Fédération Nationale des Organisations Sanitaires Apicoles Départementales
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- stf
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- Calluna
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J'ai fait une recherche sur le Forum, mais cela n'a rien donné.
Comme tu sembles assez calé sur les moyens de inhérents à l’éloignement du VV de nos ruchers (et + encore), as-tu déjà essayé cette électrificateur sur une harpe "maison" ?
Cet automne, j'ai été à deux doigts d'investir et installer une harpe perpendiculaire à l'alignement des ruches sur un rucher.
D'autres ont peut-être des retours...
Merci.
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- gfass2
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Garde tes sous Bixente, le système de la harpe ne fonctionne pas du tout heu! non, je voulais dire très mal pardon! ... (tu vas voir qu'avec 2215 invités en ligne tu n'en as pas un qui te dira le contraire.... :woohoo:
Plus sérieusement, c'était une idée mais le concepteur ne te montre que l'arc électrique produit par le dispositif sur une pince coupante isolée..... Ce serait beaucoup plus intéressant de voir son efficacité sur des frelons en vol devant une ruche.
En revanche, j'ai eu de bons résultats amusants avec ce prototype. Vous pouvez y aller, c'est pas breveté....
www.dropbox.com/s/hin2korrvssb4fz/20150908_154301.mp4?dl=0 Pour faire venir le frelon, soit on phéromone le tube et là pas besoin d'aller chercher les phéromones à TOURS (lol un jour je vais me faire taper :sick: ) on laisse le tube un moment dans un piège grosse capacité OU on y loge un morceau de poisson frais.... j'ai dit "frais le poisson".
Bon on en reste là, c'est un gadget ...
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- Calluna
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Sympa ton idée de tube THT. Il est alimenté avec un électrificateur de clôture ?
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- gfass2
- Auteur du sujet
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Un piège bouteille ou bidon bien amorcé fait beaucoup plus de dégâts que n'importe que électrificateur.
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- happy.bee
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- gfass2
- Auteur du sujet
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Si tu savais Michel combien j'ai essayé de trucs ... Je me suis moi-même donné le titre qui me convient le mieux "Professeur Tournesol" (non, rien à voir avec la plante) :woohoo: . Au final après avoir tout essayé ou presque ...je ne retiens .. qu'un seul truc qui fonctionne vraiment très bien... je l'ai découvert un jour de pluie, excédé et fatigué de combattre, un truc tout simple bien caché en plein milieu de cette vidéo...
Et maintenant, ça roule au poil.... j'ai transmis ça au Ministre de l'Agriculture, à ses collaborateus, aux syndicats..... je suis assez content de moi. Je pense que tout va rentrer dans l'ordre dans très peu de temps.... Le frelon, le plan sur l'apiculture durable, la professionnalisation....
Houps! attendez, on sonne à ma porte je reviens.......
Je dois vous laisser, deux messieurs en blouse blanche me disent que l'on m'attend en ville .... je reviens. :blink:
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- happy.bee
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Il sortent d’où ?. les nids sont presque délabrés a 100% .
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- morgan
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j'ai remis les pieges en route dans les ruchershappy.bee écrit: j'aurais pas du fermer les miens, quel hiver ! Tenez ! voici une petite anecdote ,cet aprem je grattais mes hausses et bien des frelons venaient dans l'atelier .
Il sortent d’où ?. les nids sont presque délabrés a 100% .
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- gallus
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happy.bee écrit: et bien des frelons venaient dans l'atelier .
Il sortent d’où ?. les nids sont presque délabrés a 100% .
Gfass confirmera sans doute mais d'après ce que j'ai compris:
les nids sont détruits mais des centaines de fondatrices sont dans la nature.
Elles se planquent quand il fait froid mais probablement que quand il fait plus de 12°C comme cet après midi,
elles font comme les abeilles, elles sortent.
Il me semble qu'un nid génère une centaine de fondatrices en fin de saison.
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- happy.bee
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- gfass2
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Des nids qui terminent leur vie en roue libre jusqu'à mi-janvier n'a jamais étonné personne. Avec cette météo clémente, ils vont un petit peu plus loin c'est tout. Vous voyez des nids dégradés dans les arbres mais vous ne voyez pas ceux qui sont planqués dans les toitures. Ceux-là sont peinards.
Si une fondatrice sortait maintenant de diapause, cela voudrait dire que son horloge biologique est bigrement déréglée. La diapause c'est une étape obligatoire pour le mûrissement des organes de la future reine. La sortie est conditionnée par la température printanière "et" l'augmentation de la durée d'éclairement journalier. On se rassure, la nature est trop bien faite pour permettre ce genre d'erreur qui condamnerait l'espèce.
Dommage heinnnnnnnn! :woohoo: :woohoo: :woohoo:
Help! on est hors sujet!!!! Morgan tu ne vois pas d'inconvénient à ce qu'on rouvre bientôt le fil:
"Pourquoi il ne faut pas piéger les fondatrices au printemps?" :whistle:
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- gfass2
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www7.inra.fr/opie-insectes/pdf/i69mauchamp.pdf
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- stf
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- frederic06
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- Calluna
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Voilà exactement ce qu'il ne faut pas faire s'ils ne veulent pas se retrouver avec deux nids à quelques mètres de distance, au lieu d'un seul initialement !frederic06 écrit: Les grands moyens chez nous
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- gallus
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Bixentebixente écrit:
Voilà exactement ce qu'il ne faut pas faire s'ils ne veulent pas se retrouver avec deux nids à quelques mètres de distance, au lieu d'un seul initialement !frederic06 écrit: Les grands moyens chez nous
Là, je demande à voir ( je prends le risque de subir les foudres de Gfass!! )
Mon voisin a procédé à ce genre d'exercice, le nid était très haut.
Au bout de 10 cartouches, tout le nid est haché menu, menu.
Le temps qu'éventuellement, de nouveaux nids apparaissent, il va s'écouler du temps.
A propos, question: de l'oeuf à l'émergence du frelon, c'est combien de jours ?
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- gfass2
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C'est bon là? www.academia.edu/4242480/Archer_1994b_Taxonomy_distribution_and_nesting_biology_of_the_Vespa_bicolor_group_Hymenoptera_Vespidae_
Tirer au fusil sur un nid quand les feuilles des arbres sont tombées on en a déjà parlé. Je pense que l'intérêt principal c'est qu'en le fracturant on donne un coup d'arrêt à la colonie qui va devoir se mettre au boulot pour sauver les meubles et donc lâcher un peu la pression sur le rucher. C'est exact qu'un ou plusieurs nids satellites peuvent être entrepris. Ils ne donneront pas grand chose à cette époque. Souvent la reine est déjà morte et les futures fondatrices sont parties.
Non, par expérience je signale simplement que l'aplomb du nid et ses abords peuvent être un secteur à risque pour un promeneur.
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- stf
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- stf
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http://guepes_frelons.e-monsite.com/pages/biologie/elevage-des-larves-developpement-et-eclosion.html
et le bon aramel
aramel.free.fr/INSECTES14ter-2.shtml
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- gfass2
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- gallus
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je relève cette phrase très intéressante:
"Au lieu de chercher un site de diapause, les jeunes fondatrices commencent la construction de leur nid au mois d’Octobre"
Ce qui pourrait expliquer la présence extrêmement tardive des frelons, si les conditions météos sont bonnes.
Plus loin:
"Le frelon lui, continue sont activité jusqu’à ce que les températures deviennent négatives sur une longue période"
On est mal barré !!!!
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- happy.bee
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Le nids contenait encore de nombreux frelons.
Ce qui prête a réflexion ,c'est que ce nid est le troisième dans un triangle de trois cents mètres .
Que conclure de ces constatations ?
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- Calluna
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Ici, nous sommes confrontés au VV depuis 2007 environs, des expériences en tout gendre etdes tires aux cartouches il y en a eu pléthores. Des constats de reconstruction j'en ai à la pelle (tout comme avec le S02, le feux et autres produits phytopharmaceutiques). Des chasseurs qui tirent depuis leur plombière sur le nid, descendent des échelles, et se réfugient dans leur voiture se faisant pilonner par les VV en furie, il y en a eu un paquet également !gallus écrit: Là, je demande à voir
En revanche, la méthode qui se révèle efficace et qui a de bons résultats sur le long terme, c'est l'utilisation d'un biocide mais sans retirer le nid avant 48h, le temps que toutes les ouvrières soient rentrées de leur escapade et atteinte par la molécule restée à l'intérieur du nid. Une fois descendu, les nids sont incinérés. Il y a des essais de compostage (mener par quelques chercheurs) qui semblent bien fonctionner. Car quand il y a 500-600 nids (par an) dans le jardin du professionnel dédié, ça fait une jolie pyramide qui a dû mal à se consumer.
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- gallus
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Quel produit ? permethrine ?
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- gfass2
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gallus écrit: En effet excellent site:
je relève cette phrase très intéressante:
"Au lieu de chercher un site de diapause, les jeunes fondatrices commencent la construction de leur nid au mois d’Octobre"
Ce qui pourrait expliquer la présence extrêmement tardive des frelons, si les conditions météos sont bonnes.
Plus loin:
"Le frelon lui, continue sont activité jusqu’à ce que les températures deviennent négatives sur une longue période"
On est mal barré !!!!
Ce qui n'enlève rien à la qualité de ce site, comme chez nous..... parfois on s'essaie à des hypothèses .
Les fondatrices, comme déjà rappelé, ont un besoin biologique du temps de diapause nécessaire pour que s'opère le mûrissement de ses organes. Une jeune reine fécondée et engraissée ne peut en aucun cas entreprendre une fondation. Si vous en voyez un jour une voler, vous comprendrez. En plus de dix années de destruction, je n'ai jamais observé une fondation (fondatrice seule) au delà du mois d’août .... jamais. On peut trouver des fondations "avortées" ou "abandonnées" toute l'année.... elles ont été construites au printemps et sont toujours vides.
On rappelle que pour affirmer être en présence d'une future fondatrice il faut l'autopsier, l'examen du phénotype n'apporte aucune réponse. On confond souvent les ouvrières moribondes, en fin de vie, dans les nids vides ou au abords des endroits sucrés avec les jeunes reines.
Par ailleurs, sur l'autre site, tout aussi convenable, on vous présentait une fondatrice sur le lierre un 15 novembre... Si vous relisez le commentaire aujourd'hui vous y verrez une rectification évidente .... il s'agit d'un mâle.... errare humanum est.
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