Pertes d'octobre 2016 à mai 2017
- du luy
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Avec quoi as tu traité celles qui sont mortes ?
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- Abeille4321
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- Apinoires
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du luy écrit: à abeille14,
Avec quoi as tu traité celles qui sont mortes ?
Bonsoir Du luy,
S'il est indéniable que pour 2016 les pertes sembleraient un peu plus représentatives que pour les autres années, je ne pense pas que la réponse soit à rechercher en raccourci direct et uniquement dans la comparaison des traitements anti-varroas, puisque pour beaucoup (ou même la majorité) ces traitements sont restés identiques aux années précédentes.
Tirer des conclusions hâtives est toujours très compliqué, mais de là à ne rechercher qu'une seule et unique cause (généralisée) et pour la France entière, je n'y crois pas non plus, par contre ce qui me semble le plus fréquent à souligner chez ceux qui se plaignent de pertes excessives (ou anormales), c'est un nombre bien plus important de colonies plus faibles que d'ordinaire en saison et même particulièrement sur les colonies créées au cours du printemps.
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- Abeille4321
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- Apinoires
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abeille14 écrit: Je suis d'accord avec toi les essains sont beaucoup plus petit que dhabitute .mosanto aurait il mis un virus sur la France sur nos abeilles?
Mosanto j'en sais trop rien, (quoi que) , mais ce qui peut sans aucun doute être invoqué dans les causes de faiblesse anormale, c'est certainement la météo très particulière de 2016, avec pour conséquence des carences indiscutables pour nos abeilles et comme ça c'est fort probable ce n'est certainement pas à exclure du tableau non plus ?
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- ardecho
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et si c'était la météo tous les ruchers seraient à égalité, ce qui est loin d'être le cas !
pour moi il y a quelque-chose en plus (virus, pesticides, traitements sur bétail, mélange de tout ça...)
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- blaireaudesbois
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- morgan
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donc manque d'abeilles d'hiver, un hiver chaud jusqu'en janvier suivi d'une vague de froid arrivé trop tardivement
il n'y a quasi plus de biodiversité alors le moindre caprice météo sur une miellée ou plusieurs peut vite devenir catastrophique, de plus en bio on a pas le droit de faire les corps meme si j'ai pris des cadres de miel pour faire des EA hivernés en fin de saison , les cadres gaufrés n'ont pas été construit car disette meme sur la miéllée de tournesol qui a été de 5kg en moyenne chez moi avec des ruches avec zero récolte et d'autres une hausse pleine suivant les ruchers
quand est -il sur les ruches de retour de lavande ou vous faites les corps?
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- Apinoires
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ardecho écrit: oui sauf que en 2014 la météo avait été complètement foireuse aussi et début 2015 on a pas retrouvé des ruchers entiers par terre pour autant...
et si c'était la météo tous les ruchers seraient à égalité, ce qui est loin d'être le cas !
pour moi il y a quelque-chose en plus (virus, pesticides, traitements sur bétail, mélange de tout ça...)
Tu ne m'as pas bien saisis et je me suis certainement pas très bien exprimé ou sans doute pas complètement,
je n'ai jamais prétendu que miraculeusement nos abeilles ne connaissaient plus de problèmes, mais bien au contraire que ces derniers sont divers ....!
Mais si on admet que dans la nature n'importe quelle cause peut causer les mêmes effets, c'est néanmoins toujours sur les éléments les plus fragiles que ces effets se manifestent en priorité .
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- ardecho
- Visiteur
blaireaudesbois écrit: Il y a t'il une parenté entre la "nosema" actuelle et le Syndrome d'Effondrement des ruches américaines?
j'ai trouvé ça :
www.lemonde.fr/planete/article/2011/11/05/antibiotiques-et-pesticides-un-cocktail-mortel-pour-les-abeilles-americaines_1599438_3244.html
à propos du CCD aux USA, à savoir que l'oxytétracycline est parfois utilisée chez nous sur les ovins en préventif comme en curatif :whistle:
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- Abeille4321
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- gfass
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Quand on voit l'hécatombe, exceptionnelle par endroits cette année, il n'est pas impossible d'imaginer que la fragilité puisse tout simplement être génétique. Un virus ou une virulence particulière de nosema ceranae peut très bien frapper telle race et pas telle autre se montrant plus résistante. Les ruchers composés de souches homogènes peuvent être complémentent ratatinés, ceux hétérogènes moins impactés.
Bien entendu, si telle était la cause, la préparation et les soins apportés au cheptel sont de nature à lui apporter une chance de résister... mais est-ce suffisant?
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- Apinoires
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Mais si chercher une réponse limpide qui serait à relier à tous ceux qui ont des problèmes cette année est un réflexe normal, je doute fort que ce soit si facile à démontrer et pour toutes les bonnes raisons différentes que tu viens de souligner, toutefois, si une chose me paraît plus évidente, c'est que courant saison 2016, le manque d'élevage et à des moments bien précis, à traduit un manque d'abeilles récurant, mais pourtant bien indispensable au bon équilibre des colonies et chercher plus précisément ces causes est à mon avis plus judicieux que de chercher un bouc émissaire au résultat final ?
Si un printemps capricieux, voire calamiteux à certainement contribué à ces problèmes de carences et de peuplement, certains ont également soulevé de graves problèmes liés à des cires de très mauvaises qualité, c'est certainement aussi une bonne raison à rajouter à une liste déjà longue, mais dont on ne parle que peu ?
Et si ma modeste expérience m'à appris une chose, c'est que dans les années ou la production est plutôt minable, on constate rarement que les abeilles se portent très bien et je crois pouvoir dire que 2016 doit représenter un modèle du genre !
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- MELILOTUS
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- ardecho
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je n'ai pas encore lu ou entendu d'api du nord qui ai plus de pertes que d'habitude. par contre, dans le sud, beaucoup disent avoir ramassé des mortes tout l'hiver.
c'est moi où il y a de ça ?
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- concors
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- blaireaudesbois
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Moitié sud, tu dis? Je me demandais s'il n'y avait pas un rapport avec les nuages de pollution aux particules fines, particulièrement épais depuis l'automne. C'est ce que dit la météo et certains jours les cartes étaient hallucinantes. Selon les vents, ça s'évacue ensuite vers l'est ou vers le sud, par la vallée du Rhone. Depuis quelques années, ces épisodes sont sensibles chez moi qui habite à 30 km du Rhône. Ces particules les étouffent peut être.
Mais enfin, ton observation montrerait plutôt le contraire, la pollution a été plus forte sur la moitié nord.
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- ardecho
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perso je ne vois pas de rapport entre les miellées de 2016 et toutes ces caisses qui se sont effondrées en automne. en octobre elles étaient belles et j'étais optimiste pour l'hivernage.
elles avaient tout pour bien passer l'hiver...
@ Blaireaudesbois :
je ne pense pas que ce soit ce genre de pollution, chez moi il n'y en a pas ou presque. sur les cartes de qualité de l'air je suis toujours dans le vert.
quand je parlais du sud je pensais plus de la maladie ou des traitements qui seraient utilisés seulement dans certaines régions.
il faudrait davantage de témoignages pour pouvoir se faire une idée précise de la localisation
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- Apinoires
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états des colos fin de printemps/été + récoltes moyennes totalisées et états idem, mais au mois d'octobre (après sécheresse) et ensuite états en fin d'automne juste avant hivernage ?
Car si pour chez toi tu nous signale 2 mois de sécheresse, tu es plutôt privilégié, pour beaucoup et pour chez moi par exemple, les premières pluies se sont manifestées le 5 octobre, ce qui nous fait si je compte bien (avec les derniers orages du 16 juin) = juillet + aout + septembre: donc plutôt 3 mois pleins de copieuse sécheresse, accompagnée d'une aussi sévère canicule, ce qui s'est traduit par une absence totale de fleurs et donc de pollens pour la période supposée de reprise d'après saison, puisque si on considère avec l'effet des premières pluies (après 5 octobre) nos abeilles n'auront pu profiter de fleurs et de premiers pollens abondants qu'a partir de 2° quinzaine d'octobre, sommes nous d'accord ?
La bonne question à se poser serait donc sans doute de savoir si de mi-Octobre à courant Novembre, les colos auront réussies à s'organiser pour un hivernage serein = élevage d'abeilles d'hiver et stockage de réserves suffisantes (dont pollens), à ceci et pour ceux qui le pratiquent, il serait également bon de noter l'éventuelle situation d'infestation Varroas, juste avant ou pendant cette reprise décalée en fin d'automne ??
PS: Pour Concors qui nous parle de nuits un peu fraîches à son gout, il faudrait peut être qu'il regarde bien au comportement de ses abeilles, si à choisir elles préfèrent des nuits un peu fraîches, mais avec possibilité de rentrées de pollens en journée comme en ce moment, ou plutôt des nuits bien tièdes de pendant la sécheresse (dépourvu de pollens) que je viens de citer ??
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- du luy
- Auteur du sujet
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Pour vous , dans tout ce que vous avez pu répertorier au regard des messages des uns et des autres , mais surtout sur votre cheptel , vous pensez que cette situation est liée à :
- manque de pollen en fin d'année
- manque de provisions
- environnement
- sécheresse
- traitement acaricide défaillant
- les cires
- le nourrissement (sirop ou autres compléments )
- maladies ( nosémose et autres )
- les fécondations
- les cadres à oeillet
- récolte de pollen sur chrysanthéme ( cimetiére proche )
- autres
Pour que l'on s'y retrouve , faites des phrases courtes .
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- berzab74
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J'ai été voire mes colonies le 22 février dans le Gard,avec mes petits enfants (vacances scolaire) . La météo superbe 18/19° de belles rentrées de pollen. importante . 1 ruche de périe sur 26 colonies :Toutes visitées Warré et dadant toutes sont belles en avance de 15 jours .Les meilleurs dadant 5 cc avec cellules de mâle operculés.Gros cadres de nourriture et pollen. Cadres de pollen décalés d'un cran vers extérieur, idem pour les Warrés 4/7 de cc
.Pas vue cela depuis bien des années ." Beaucoup d'émotions lames aux yeux " Premières pertes en 1999/ 2000 :120 colonies avaient péries + 50 très faibles avec une poignée d'abeilles sur 450 au mois d'octobre 1999 .
1980 / 2017 = 37 èmes années d'API
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- du luy
- Auteur du sujet
- Visiteur
Que fais tu comme traitement acaricide ?
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- blaireaudesbois
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Quelle est la part de rumeur?
On pourrait verser un peu dans la subjectivité. Chacun a en tête des soupçons qu'il n'ose exprimer de peur de paraitre bète. Ou de ne pas pouvoir justifier sa position.
Je commence, sans avoir aucune preuve de ce que j'avance: le Round up a été remplacé par un cocktail d'herbicides encore plus dangereux pour l'environnement. Par exemple contenant des hormones anti herbes.
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- shaman
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Apinoires écrit: La bonne question à se poser serait donc sans doute de savoir si de mi-Octobre à courant Novembre, les colos auront réussies à s'organiser pour un hivernage serein = élevage d'abeilles d'hiver et stockage de réserves suffisantes (dont pollens),
C'est pour cela que cette année je vais changer ma pratique de mise en hivernage:
- d'habitude, après les dernières récoltes (fin juillet pour moi) je transhume directement toutes mes ruches sur leurs sites d'hivernage. Cette année, je vais tenter d'en mettre le plus possible sur les dérobées polliniques pour qu'elles rentrent un max de pollens variés. D'après un article que j'ai lu (désolé, perdu le lien), ces cultures augmentent la durée de vie des abeilles d'hiver et les pertes hivernales sont moindres que les ruchers qui ne profitent que du lierre.
@ du luy : pour ma part, la hiérarchie des causes serait:
- varroa (traitement défaillant hiver 2015/2016
- nourrissement trop tardif
- nosema apis
- manque de pollen en fin de saison
Avec ça, j'ai quand même pas mal d'indices pour m'améliorer cette saison.
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- nuck
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Avant, je descendais les colonies en hivernage plus au sud dès septembre.
Depuis (il y a une bonne dizaine d'années), je les laisse en moyenne montagne assez tard. Cette année, j'ai descendu en octobre.
Les conditions météo ne sont plus les mêmes. Il fait souvent très beau et chaud en arrière saison en moyenne montagne maintenant.
S'il pleut en fin d'été, on n'a plus le coup de froid (ou très court) qui sonnait la fin de l'été. Et souvent une belle floraison de "l'été de la St Martin" et une petite miellée.
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- du luy
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Tu penses aux sulfonamides !.
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- du luy
- Auteur du sujet
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Tu penses que tu avais trop de varroas dans tes ruches pendant la saison 2016 .
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- Apinoires
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shaman écrit:
Apinoires écrit: La bonne question à se poser serait donc sans doute de savoir si de mi-Octobre à courant Novembre, les colos auront réussies à s'organiser pour un hivernage serein = élevage d'abeilles d'hiver et stockage de réserves suffisantes (dont pollens),
C'est pour cela que cette année je vais changer ma pratique de mise en hivernage:
- d'habitude, après les dernières récoltes (fin juillet pour moi) je transhume directement toutes mes ruches sur leurs sites d'hivernage. Cette année, je vais tenter d'en mettre le plus possible sur les dérobées polliniques pour qu'elles rentrent un max de pollens variés. D'après un article que j'ai lu (désolé, perdu le lien), ces cultures augmentent la durée de vie des abeilles d'hiver et les pertes hivernales sont moindres que les ruchers qui ne profitent que du lierre.
@ du luy : pour ma part, la hiérarchie des causes serait:
- varroa (traitement défaillant hiver 2015/2016
- nourrissement trop tardif
- nosema apis
- manque de pollen en fin de saison
Avec ça, j'ai quand même pas mal d'indices pour m'améliorer cette saison.
C'est certain Shaman, ce n'est que par ses propres expériences et donc des leçons à en tirer, qu'on avance !!
Toutefois, moi qui ne suis plus non plus tout jeune, je suis bien d'accord avec Nuck au niveau des changements, donc "Autrefois", (je vais bientôt parler comme Victor Hugo) Lol
on avait coutume de parler des fameux orages de mi aout (qui souvent déjà n'arrivaient que début septembre) ce qui conditionnait le repli des caisses vers l'hivernage et ne l'oublions pas non plus, avec un rapport certain avec les risques d'incendies éloignés, qui à l'époque menaçaient bien plus que de nos jours et qui décimaient chaque année, bon nombre de ruchers !!
Bref, météo aidant, force est de constater que ne nous pouvons plus compter fidèlement sur ces fameux orages (à ces dates), qui déclenchaient 5/10 jours après une reprise significative de toutes les colonies et ou encore 15/20 jours après, il était donc facile et surtout toujours dans les temps, de s'apercevoir des quelques caisses à réunir ou à ne pas conserver ??
Donc, avec tous ces paramètres évolutifs, peut être ou sans doute liés au réchauffement, il n'est pas interdit de se remettre en question, pour ma part, bien que pratiquement convaincu que 2016 ne se reflétera certainement pas en 2017, mes essaims à hiverner seront fait et fin prêts en fin d'élevage de printemps, si je peux encore en faire ensuite en septembre/octobre tant mieux, mais si je ne le peux pas comme en 2016, ce sera un regret de moins !!!
Pour répondre à Du luy,
1/ manque de pollens et donc d'élevage (ou de bons élevages) à des moments cruciaux,
1 bis/ et surtout pour la reprise d'après saison, : solde + de 12% de caisses anormalement faibles et réunies avant hivernage (dont également essaims de l'année)
sinon:
pertes hivernales : statu quo (ménage fait avant)
Maladies et donc traitements : statu quo (rien de nouveau à l'Ouest)
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- blaireaudesbois
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du luy écrit: à blaireau ,
Tu penses aux sulfonamides !.
Euh non, parce que je ne m'y connais pas assez. C'est une suite de réflexions: carence de pollen, quasiment aucun fruit chez moi, les amandiers pollinisés 1 mois et demi n'en ont pas fait une seule. Le buis et le lierre ne sont pas butinés. Ensuite, récolte nationale .calamiteuse de céréales, grains trop petits pour l'export. Récolte miel à 8000 t pour 11 000 t de sirop. Les abeilles n'ont pas eu assez à récolter. On sent une perturbation du processus de fécondation. Une anomalie de la production de pollen et nectar.
Ca me fait penser à une hormone empéchant la reproduction des mauvaises herbes, qui interférerait avec le mileu naturel. Sans aucune garantie.
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- ardecho
- Visiteur
pas mal de caisses bourdonneuses et orphelines.
pour les autres sont sont mortes avec du couvain compact et de belles réserves (de juillet à octobre en montagne) je dirais maladie ou intox ou les 2.
plus globalement je serais un peu de l'avis de Blaireaudesbois, je me demande si l'on a pas passé un cap dans la dégradation de l'environnement et les quantité de pesticides en tous genres accumulés. + les nouvelles molécules.
même avec du beau temps et des ruches à mâles ça devient vraiment compliqué d'avoir de bonnes fécondations. je pense que la qualité du sperme est en chute libre (comme chez les humains...) à cela s'ajoute la qualité des cires qui semblent de plus en plus chargées en tous ce qu'on veut. et les maraichers et autres qui ont aussi de plus en plus de mal à gérer les parasites, pucerons, chenilles, etc avec le réchauffement climatique et la remontée des bébètes du sud.
d'où une augmentation des traitements en tous genre.
en bref les abeilles en prennent plein la tronche !
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