Pertes d'octobre 2016 à mai 2017
- du luy
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Sur google , tu cliques : desherbant métabolites sulfonamides ( sur la méme ligne ) .
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- shaman
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pour les autres, qui font tilleul, châtaignier, j'emmènerai sur les dérobées polliniques car je change les reines avant.
Celles qui vont sur la lavande iront directement à l'hivernage.
@ du luy, oui je pense avoir eu trop de varroas en juillet/aout sur mes ruches reines 2015. L'hiver avait été trop doux, l'AO moins efficace... J'ai fait de la découpe de couvain de mâles en avril/mai, ce qui a retardé le plafond critique mais en aout elles ont dérouillé. Je n'ai pas fait de comptage mais les symptômes parlaient d'eux-mêmes...
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- Apinoires
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ardecho écrit: moi je dirais pour une partie des ruches mortes : carence de pollen suite à la sécheresse/canicule d'aout/septembre + mauvaises fécondations des reines en 2016.
pas mal de caisses bourdonneuses et orphelines.
pour les autres sont sont mortes avec du couvain compact et de belles réserves (de juillet à octobre en montagne) je dirais maladie ou intox ou les 2.
plus globalement je serais un peu de l'avis de Blaireaudesbois, je me demande si l'on a pas passé un cap dans la dégradation de l'environnement et les quantité de pesticides en tous genres accumulés. + les nouvelles molécules.
même avec du beau temps et des ruches à mâles ça devient vraiment compliqué d'avoir de bonnes fécondations. je pense que la qualité du sperme est en chute libre (comme chez les humains...) à cela s'ajoute la qualité des cires qui semblent de plus en plus chargées en tous ce qu'on veut. et les maraichers et autres qui ont aussi de plus en plus de mal à gérer les parasites, pucerons, chenilles, etc avec le réchauffement climatique et la remontée des bébètes du sud.
d'où une augmentation des traitements en tous genre.
en bref les abeilles en prennent plein la tronche !
Très certainement, pour les premiers point cités et carences diverses et à cela s'ajoute la qualité des cires qui semblent de plus en plus chargées
mais ?
je dirais maladie ou intox ou les 2. peut être aussi en conséquence à la faiblesse des colonies et aux traitement bio qui te sont imposés ??
même avec du beau temps et des ruches à mâles ça devient vraiment compliqué d'avoir de bonnes fécondations.
Pour ce qui est des ruches à mâles (et des fécondations qui en découlent), là aussi quel est ton programme ?
élevage spécifique dans ce sens pour assurer les fécondations (abondantes et choisies) ou attente uniquement après les largesse de dame nature ??
Sur ce point aussi les % de fécondations boiteuses, moyennes ou supposées appartenir à d'autres causes, peuvent être amplement favorisées par le boulot de l'apiculteur lui même, ce qui souvent n'est pas forcément fait ou alors bien insuffisamment, la aussi à méditer ??
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- ardecho
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(ou cadres de hausse dans le corps avec le bas bâti en mâles), les EA sont amenés là, reçoivent une CR à J+10 et les reines sont fécondées sur place puis les EA sont emmenés sur les ruchers de production.
c'est vrai que depuis 2/ 3 ans il y a une certaine proportion de reines qui flanchent rapidement. quand j'ai commencé l'apiculture il y a 18 ans je ne me posais même pas la question. pas de ruche à mâles et toutes les reines pondaient comme il faut pendant 2 ou 3 années... on voit bien que les choses ont évoluer dans le mauvais sens.
pour le traitement varroa mon protocole bio est rigoureusement le même depuis 7 ans et c'est le 1er hiver où j'ai autant de pertes.
c'est ce que je répète sur ce post depuis le début : si la surmortalité vient de mauvaises pratiques apicoles, pourquoi les lourdes pertes seulement cette année ? pourquoi les autres hivers ça "passait" ?
après il y a la météo et c'est sur que 2016 n'a pas été facile. ça explique que les EA fait tard en saison aient succombé, de même que les ruches avec des reines pas top. mais pour les autres...?
je trouve étrange en lisant ce post que la plupart des apis victimes de pertes anormales et d'autres nous resservent encore le varroa et la météo.
bien sur que ça joue mais on met de coté la catastrophe écologique qui se déroule sous nos yeux; il me semble évident que les abeilles souffrent de plus en plus d'un environnement devenu toxique et hostile.
ce que je peux entendre c'est qu'il faut être de plus en plus pointu pour réussir à maintenir un cheptel en bon état. et j'ai surement moi aussi fait des erreurs. mais qu'on en soit à un tel degré d'exigence pour y arriver me fait peur. quand je me souviens de mes débuts, c'était vraiment une autre apiculture !
il ne faut pas ignorer les agressions que subissent nos abeilles autres que les varroas : pesticides dans les sols, les plantes, l'eau, les cires, pollution atmosphérique, smog electro-magnétique, etc...
si on se contente de dire "zut j'ai du mal traité varroa" on joue le jeu des marchands de phyto-mortifères et de leurs potes
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- Apinoires
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pour les mâles et favoriser les fécondations, si comme tu l'explique le rajout de cadres en saison pouvait se montrer satisfaisant, ce n'est plus forcément le cas et surtout en début d'élevage ou seulement une très forte densité pourra assurer de garantir la sélection indispensable des plus vigoureux !
Sans vouloir non plus tout ramener sur le compte de la varoase, (qui fait tout de même sa part de dégâts) pour les traitements qui semblent te donner la même efficacité, as tu au moins vérifié systématiquement tes caisses en cours d'automne et avant hivernage ?
toutes ces causes mises en relations et à rajouter à ce qui fut particulier à 2016, c'est (à mon humble avis) le résultat de la faiblesse constatée des colonies ou là dessus la moindre agression devient catastrophique, à vol d'oiseau nous sommes pas très loin l'un de l'autre et je pense que si un fléau quelconque avait touché l'Ardèche, sois en sur il serait arrivé chez moi, mais pour l'instant il faut positiver avec un tout début de saison qui ne se présente pas trop mal et des colos qui semblent en profiter, on va surement parler des nouvelles reines dans quelques jours et de nouvelles colos dans pas très longtemps, une année chasse l'autre et ce n'est finalement qu'une vieille histoire qui dure depuis fort longtemps !!!
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- blaireaudesbois
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miel ! Pourtant les abeilles n'interfèrent pas avec les céréales. Quel est le lien?
La baisse de fertilité des males s'inscrit dans le mème registre, perturbation de la reproduction. Ces jours, ils ont analysé les cheveux des dirigeants écolo. 59 perturbateurs endocriniens dans les cheveux de Nicolas Hulot! A la télé, ils font un parallèle direct avec la baisse du nombre de spermatozoïdes chez les humains. Les perturbateurs endocriniens, c'est tout ce qui a une influence hormonale.
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- Frèro-du-43
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J'ai pu effectuer un petit tour d'horizon de mes colonies la semaine dernière.
Sur 26 colonies hivernées, 2 sont mortes! Je suis très étonné vis à vis de l'une d'elle car un très beau couvain durant la saison et de bonnes réserves, la seconde était faible avant de commencer l'hiver.
C'est la première année ou je subis des pertes! Certes j'ai débuté il y à que 3 ans avec 2 essaims mais voilà les conditions sont restés les mêmes car j'effectue un traitement Apivar à la fin du mois d'aout ou au tout début de septembre puis je sirote jusqu'à ce qu'elle atteigne un poids convenable pour débuter l'hiver.
Mais je reste tout de même bien content car les colonies sont assez régulières, occupent 3 cadres de couvains et les quelques nucleis que j'avais essayé de faire hiverner se portent très bien (il ne sont pas compté dans le nombre de colonies.
Je reste d'avoir avec certains vis à vis du besoin de nos colonies à disposer d'une diversité de pollen la plus importante possible.
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- stf
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rucherecole68.thann.free.fr/Calendrier%20apicole/Reconnaitre_les_maladies.pdf
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- ardecho
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couvain sain, réserves, juste il n'y a plus personne.
sinon se serait simple
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- chaize
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mais sur le haut d'un cadres des abeilles agglutinées sur une dizaine de centimètres celles de dessous complétements enfoncées dans les alvéoles et très peu d'abeilles mortes dans les ruches,
Incompréhensible je me demande ce que j'ai pu faire de travers de plus pour moi c'est une perte financière car je suis parti de zéro il y a cinq ans je ne sais pas ceque je vais faire avec une seule ruche.
Henri
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- maya76
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Tu est de quelle région?
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- papoun
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Jamais vu de telles pertes les dernières années je tournais à 30%. Il n'y a pas d'agriculture dans le secteur. j'avais traité au thymol.
Ardécho as-tu des info sur les pertes dans le 07? Y a-t-il un organisme chargé de ce recensement?
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- Apinoires
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Selon le principe que la nécessité d'un certain volume d'abeilles (Saines) est aussi important que les réserves elles même pour l'hivernage, si ce besoin en abeilles était très faible ou très insuffisant et aidé en prime sur de telles colonies par des traitements bien souvent trop soft ou insignifiants ou encore mal administré ou mal réussi, les réponses peuvent se trouver dans des explications rationnelles et qui ne relèveraient d'aucun phénomène exceptionnel très nouveau !
personnellement j'ai cette année anormalement plus réuni que d'ordinaire, (+ 12%) et c'est également le cas pour beaucoup d'Apis de mon entourage, mais sur le constat flagrant de reprises d'après saison insuffisantes causées par une sécheresse remarquable (+ de 3 mois) et le manque évident de pollens qui va de pair, empêchant tout élevage et donnant comme résultat des colonies trop faibles pour envisager un hivernage serein, quand bien même, si ces mêmes caisses possédaient 30 ou 40 kg de réserves (miel) avant hivernage, ce qui pour certains serait un gage suffisant ?
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- ardecho
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chez les apis que je connais dans le coin c'est aussi une hécatombe.
perso j'ai du mal à me contenter de la sécheresse, des frelons et du varroa...
au risque de me répéter, je ne vois pas pourquoi tout le monde aurait foiré ses traitements varroa la même année. ensuite la sécheresse dans les coins les plus méditérrannéens d'Ardèche je veux bien mais en Cévennes en altitude ça ramenait pollen et nectar jusqu'à la toussaint.
en ce qui me concerne fin octobre les colos étaient lourdes et populeuses avec du beau couvain fermé.
on va me dire et les comptages varroa ? ben oui mais pour quoi faire ? en bio arrivé fin octobre trop frais pour le formique et trop de couvain pour l'oxalique... je fais quoi je les dépiotte à la pince à épiler ?
bon peut-être que c'est ça, on est une tripotée à avoir traité varroa comme des manches et en plus par temps de sécheresse !
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- Apinoires
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Je ne sais pas si tu te rend bien compte de ce que peut représenter l'impact de 3 mois de sécheresse et surtout juste à une période ou pour une colonie la population doit se reconstituer et faire également ses réserves (naturelles) hivernales, vu que l'espérance de vie d'une abeille en saison ne dépasse guère plus d'un mois, si la relève ne peut pas être assurée, une caisse se dépeuple forcément en un rien de temps et si là dessus et sur une population qui s'essouffle on rajoute encore le moindre pépin ou problème, frelons, varroase et les virus qui en découle, la colonie est tellement affaiblie qu'elle est condamnée d'avance, !!
C'est pour cette raison que j'ai posé ma question ci-dessus sous cette forme, de savoir qui avait vraiment pris la peine d'évaluer correctement ces problèmes mi ou fin octobre, car vois tu, c'est exactement à cette époque ou moi même j'ai évalué pour finalement réunir une douzaine de % supplémentaire aux 5 ou10 % environ que je réuni habituellement et comme tu sais compter, si tu rajoutes l'un à l'autre, je n'ai pas non plus à me réjouir de 2016, mais vu mes observations et constatation d'octobre, je n'ai pas besoin non plus d'aller chercher ailleurs un bouc émissaire !!
à ceci, si tu veux tout savoir, l'addition n'est malheureusement pas terminée et pour personne, pour exemple j'étais cet aprem sur un rucher d'une cinquantaine de caisses ou je n'ai pas de pertes certes, mais ou 3 caisses n'ont pas plus que 4 à 5 cadres de C1, alors que j'ai posé les hausses sur les voisines et ça je vais le rencontrer encore ailleurs, si pour beaucoup ça pourrait convenir pour s'amuser ou attendre un miracle, je suis désolé mais pour le boulot c'est 3 caisses qui sont à considérer comme non valeur et qui seront à couper en deux pour recevoir une reine sous peu, ce qui va encore me faire 5/6% à rajouter au palmarès de l'année 2016 et qui en toute franchise et sans me faire gonfler les chevilles, ne m'arrive Jamais et pourtant .....???
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- blaireaudesbois
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- aldem62
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- cdsjo
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Il me semble que si on a conduit les colonies de la même façon que les années précédentes (parcours et traitements identiques) et qu'on a des pertes inhabituelles, on peut laisser ces facteurs de côté sauf à les impliquer éventuellement dans un effet cumul d'autre chose)
J'ai vu ce qu'il s'est passé cet automne: les 2/3 des abeilles pourtant fort nombreuses jusque là se sont volatilisées en Novembre et les populations se sont retrouvées trés ou trop faibles pour passer l'hiver.
Aucune activité utile à la ruche de septembre à décembre inclus ; je pense à une carence alimentaire seule ou , et avec les facteurs qui s'y rajoutent.
J'ai noté (jamais d'observation comme celle là) une absence totale de butinage du lierre en septembre octobre ; sur les lierres il y avait des frelons en quantité mais aucune abeille.
C'est peut être une piste.
Lorsque les ADA qui font le travail auront collationné les résultats de l'hivernage des colonies et l'auront fait remonter à l'Itsap, en fonction de ces résultats, cet organisme pourra entreprendre les travaux s'il s'avère que ces pertes sont sévères et ou généralisées.
Sinon, (pourtant c'est à l'autre bout du pays) je fais la même conclusion que le 67, automne sec + frelon ont perturbé le fonctionnement habituel de nos colonies cet automne.
Les pertes maxi sont sur des ruches revenant directement du tournesol.
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- auvernat
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voila un beau reve avec 70ans d apiculture et 500 ruches je ne crois plus a toute ses betises
cest multifactorie l
!
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- samdu47
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auvernat écrit: Lorsque les ADA qui font le travail auront collationné les résultats ?
voila un beau reve avec 70ans d apiculture et 500 ruches je ne crois plus a toute ses betises
cest multifactorie l
!
quelle est ton hypothèse sur ces mortalités? autre que multifactoriel...
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- gfass
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- l'un en zone périurbaine harcelé par les frelons s'en sort comme chaque année avec des pertes négligeables comme j'avais l'habitude d'observer depuis 15 ans. Il redémarre bien et ne donne aucun signe d’inquiétude.
- le second situé à 6 km du premier mais en zone de quartiers (urbain et forestier) absolument pas perturbé par le frelon a sérieusement dégusté... et s'en sort doucement.
Pour le multifactoriel pourquoi pas et le vv ne serait qu'une cause parmi d'autre.
Si je cherche des éléments pour coller à certaines hypothèses avancées je dirais que le rucher en zone urbaine aurait peut-être bénéficié d'une ressource plus tardive, plus abondante et plus variée que le second. Il a d'ailleurs donné une belle récolte alors que le second n'avait produit que pour lui.
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- ThinkBee
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Ariège environ à 750 m, 1 rucher de 11 ruches, perte 9 ruches, 2 ruchettes en survies. Ruches évacuées et enfermées avant inspection. Les causalités non définies. Cadres plein de miel, abeilles "disparues", retrouvé abeilles mortes juste sur une ruche.
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- ian
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Je suis dans le Nord Est .
Pertes hivernales 2016 2017 : 26 % sur 40 ruches .
Habituellement , je tourne entre 0 et 5 % de perte .
Mon constat: ce sont les jeunes reines qui s'en sortent le mieux. On les repère bien dans leur activité en ce moment sur le pollen de saule
Les colonies prévues pour un remérage en 17 sont quasi toutes mortes . Petite population peu vigoureuses à l'automne.
J'ai fait Apivar et Nozevit fin d'été.
Les ruches sont dans un secteur grandes cultures et forets.
Nourissement à l'automne pour les légères , et candy en février .
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- thierry84
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je suis dans le sud est,
Pertes hivernales ,12 ruches sur 80(dont 4 bourdes)
Etat des ruches catastrophiques apres la lavande,pas de couvain,très peu d'élevage donc
Elles se sont retapées en automne sur raisin,bruyère callune,et lierre
Pas de réunion a l'automne
Traitement apistan en aout et flash amitraze il y a 10 jours(peu de varroa)
Ca mielle un peu déja
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- Apinoires
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gfass écrit:
Pour le multifactoriel pourquoi pas et le vv ne serait qu'une cause parmi d'autre.
.
Sans aucun doute, mais à force d'en rajouter si tu veux mon avis ça commence à faire beaucoup, non ?
Pour le frelon, je pourrai te répondre que ce qui est évident n'est pas forcément vrai, car si aux yeux du spectateur ça apparaît comme un prédateur impitoyable, nos pauvres abeilles sont le plus souvent massacrées ou laminées par bien d'autres causes plus insidieuses !
et c'est finalement le vrai problème, car si l'abeille n'avait qu'un seul souci (à la fois) elle s'en tirerai à merveille, mais maintenant on en est à souhaiter que les soucis n'arrivent pas en même temps, sinon on à droit à la réponse qui fâche avec le mot magique qui répond à tout et à tous, comme l'à bien dit plus haut Auvernat le Multifactoriel, !!.., ce qui me donne toujours l'impression de sortir de la bouche de ceux qui semblent avoir tout compris, mais qui sont bien incapables de donner une réponse concise ?
Si on s'amusait à répertorier ce que chacun suppose être le plus dévastateur pour ses abeilles et pour faire ensuite un classement hiérarchique, je serai prêt à parier que pour la cause arrivée en tête nous aurions tout faux !!
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- Apinoires
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ThinkBee écrit: Bonjour,
Ariège environ à 750 m, 1 rucher de 11 ruches, perte 9 ruches, 2 ruchettes en survies. Ruches évacuées et enfermées avant inspection. Les causalités non définies. Cadres plein de miel, abeilles "disparues", retrouvé abeilles mortes juste sur une ruche.
Plein de miel en prévision de l'hiver, rien de surprenant, mais faut il rappeler ici que les abeilles ne se nourrissent pas de miel ?
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- ardecho
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on nous parle de sécheresse, de frelons asiatique, de déficit en abeilles d'hiver à cause des carences en pollen.
mais ce que je voit c'est que les plus lourdes pertes sont localisées dans des régions qui sont loin d'être les plus sèches et les plus envahies de vv :
Ardèche, Lozère, Ariège, Isère... des coins montagneux où les sécheresses sont relativisées par des orages et où la flore est riche et varriée. des coins aussi où le vv n'est implanté que depuis peu et où ce n'est pas encore l'invasion totale comme en aquitaine. et de surcroit des zones sans grandes cultures.
alors ? pourquoi les hécatombes ne se sont pas plutôt produite dans les coins les plus secs comme la provence et le languedoc ou les coins blindés de vv du sud-ouest ???
j'ai un rucher d'altitude où ça a miellé jusque octobre sur les bruyères et le lierre (versant nord bien humide) et où je n'ai jamais vu un seul vv.
résultat des course : c'est ce rucher là qui a le plus morflé ! et pourtant varroa traité hors couvain fin aout (rupture de ponte post chataignier avec des noires).
le seul point commun que je vois à ces régions c'est l'élevage ovin omniprésent. je pense à ça car c'était la piste principale lors de l'hécatombe en Ariège/PO de 2014.
après j'en sais rien, je cherche à comprendre pour ne pas revivre ça l'an prochain et je trouve qu'il y a quelque chose qui cloche dans les explications que je lit, même si sur le papier elles tiennent la route...
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- concors
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Si toute fois il arrive à faire profiter du lierre ou autres pollen a ses colonies. L'apiculteur peu éviter cette sélection impitoyable qui est faite en automne/hiver mais mais en réalité cette sélection aide à supprimer les génétiques non adaptées. La sélection naturelle quoi. C'est donc un mal pour un bien.
Il ne vaut mieux pas chercher à chiffrer le manque à gagner pour ce seul rucher et tout le travail à faire pour le retaper ainsi que la dotation du propriétaire du terrain qu'il faut quand meme payer. D'ailleur juste avant les vérifications des pertes il ma réclamé son miel.
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- Apinoires
- Visiteur
J'ai un ami près d'Arles qui nous fait un sans faute : 2% , un autre près de Salon qui lui dépasse les 20 % et donc tous deux très proches l'un de l'autre et avec des traitements varroas similaires, ce qui exclurait bien évidemment Que le climat et également d'autres apis entre Aubagne et Six fours (40 km) mêmes constats en dents de scie !!
Mais tout naturellement tous ces apis n'ont absolument pas les mêmes miellées et déplacements, (dont moi même) et sur ce point pour exemple, (tu pourras en tirer des conclusions si tu veux), un peu dépité par la canicule je n'ai transhumé qu'un seul de mes ruchers sur la Sarriette, à 700 m d'altitude pour être précis (essaims tardifs de 2016 qui ne sont pas montés sur la lavande) et ou la sécheresse ou les pluies tardives, (comme tu voudras), m'à obligé de différer un peu la récolte et donc de redescendre mon petit monde fin octobre, ce qui aura tout naturellement différé aussi leur traitement, bien que ces essaims étaient au départ Nickel-chrome : 0 varroas fin juin/ mi juillet, et bien c'est sur ces caisses que mon % est le plus bas, voire ridicule, puisque sur 62 caisses, seulement 5 qui présentaient tout début Novembre : entre 3/4 cadres de C1 ont été réunies et dont certainement une partie auraient peut être pu passer l'hiver, Alors va comprendre les pertes si chaque cas est un cas ....?,
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- Damien05
- Visiteur
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